2020 au cinéma

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01/01 - décuver dans la salle de cinéma mais ne pas s'endormir, la preuve que ce film a quelque chose de captivant

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12/01
Parfois ça vient comme une vague et me submerge

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13/01
Je suis contente de l'avoir vu, ça me réconcilie un peu avec Bergman. Peut-être même que je retournerai voir Persona, histoire de verifier que je ne suis pas passée à côté de quelque chose. Je viendrai à bout de la liste.

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13/01. Qu'est-ce qu'on a ri. Mention spécial au vieux qui a demandé qu'on rigole moins fort et qui, voyant qu'on arrêtait pas, a juste lâché un "connards" et s'est rassi.

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14/01.
Me suis endormie pendant la première heure, on va dire que c'est parce que mon réveil était trop tôt ce matin. C'est étrange parce que j'ai beaucoup apprécié sans me sentir réellement touchée. Fascination pour le montage.

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14/01. Il souffre un peu de la comparaison avec Sacré Graal vu la veille, mais on a quand même ri.

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16/01. c'etait mimi et rigolo mais ça ne m'a pas fait oublier mon échec monumental

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17/01
Je crois que je baisserai ma note un peu plus tard, mais ça faisait longtemps que je n'avais pas été aussi touchée par un film.

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19/01
J'ai pas tout compris mais j'aime les maisons en feu.

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20/01. J'aime toujours regarder des maisons brûlées et me perdre dans les images.

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21/01
Je commence à développer une légère obsession.

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22/01.
Contrainte de quitter la salle en avance pour cause de voisin envahissant, j'ai du regarder la fin à la maison, on va dire que ma situation d'angoisse ne m'a pas réellement permis de me plonger dans le film.

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25/01.
Quand je pense que j'ai laissé tomber Stalker pour aller le voir, j'ai quand même un petit pincement au coeur. Mais dans la vie on fait des compromis, et finalement c'était une bonne découverte.

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27/01.
En vrac : images sublimes, presque une clip par moments, références bibliques, font oublier ses défauts (d'écriture notamment)

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28/01.
Déçue que le film ne s'attarde pas plus sur la douce folie qui règne dans cette maison de retraite pour artistes. Déçue qu'il ne soit pas plus critique envers son personnage principal, un vieux monsieur qui aime les très jeunes filles, les violente et aime les contrôler. On a quand même un peu ri.

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03/02
Sensation d'être manipulée par les affects, mais ça fonctionne très bien, il suffit de finir avec David Bowie.

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04/02
Une famille qui se délite. Brillant.

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06/02
On est plus admiratif face à la "prouesse" technique du plan séquence qu'autre chose, mais on peut noter un très bon sens du rythme dans l'écriture. Heureusement que mes dates me trainent voir autre chose que des films de plus de 2h ultra-contemplatifs d'intello.

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09/02.
Premier film vu hors salle.

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11/01
Enfin vu, j'ai du mal à exprimer concrètement ce que j'en pense, mais c'était bien.

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21/02
drame plat

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23/02
c'était comme avoir un bon polar entre les mains

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27/02
Je me suis beaucoup assoupie mais c'était beau

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29/02
Un drame écologique comme on devrait bientôt en voir de plus en plus au cinéma et en littérature

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01/03
Une douce comédie comme j'aimerais en voir plus souvent

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01/03
Vu les deux tiers du films. Je ne regrette pas de m'être accroché après la fin de la première partie, ça valait vraiment le coup. J'attends la fin avec impatience.

03/03
Dernier tiers, il faudra du temps pour digérer

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09/03

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11/03

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12/03, soirée d'ouverture du Festival Cinéma du réel

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13/03
Melancholia un vendredi 13 de début de pandémie