2020 : carnet de lecture !

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Janvier - 429 pages
Comment dire... pas emballée du tout... J'ai aimé l'alternance des points de vue et le jonglage entre les personnages tous reliés les uns aux autres, mais c'est à peu près tout...
J'ai eu beaucoup de mal avec le style, avec le vocabulaire. Ok, ce sont les pensées des gens, ok je suis peut-être trop attachée à la langue et ça n'aurait pas été aussi représentatif des gens qui sont présentés, mais j'ai trouvé ça presqu'un peu vulgaire... Je suis bien d'accord, on lit les pensées de quelqu'un de raciste, ou de quelqu'un d'homophobe, etc. Mais je n'ai pas envie de lire ça en fait. Ça m'agresse. Et puis rien ne m'a emmenée, j'ai vraiment du me forcer pour finir... Je dois avoir manqué quelque chose, ou vraiment être fermée, pour ne pas aimer alors que tout le monde crie au chef-d'oeuvre... Mais vraiment, la suite de la trilogie ça sera sans moi.

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Commencé en 2019, fini en 2020

Essentiel. Tout simplement. Convient autant pour de jeunes ados que pour les adultes. Et peut aussi être lu par les hommes (oui oui !!). J'y ai appris pas mal de choses. Le format et l'organisation des pages est ludique. C'est vraiment un super outil, à partager en masse. Pour briser une bonne fois le tabou qui entoure les règles !

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Janvier. 298 pages.
J'y ai pris plus de plaisir que pour le premier, je ne sais pas pourquoi... (la libraire elle-même m'a dit "vous savez c'est pas très bien..." ! hahaha !).
Parce que je me suis habituée peut-être (malgré tout j'ai l'impression de trouver le style un petit peu moins pompeux...). Et puis parce que, rien à faire, j'adore ces personnages. Vraiment. Ils font partie de moi depuis toujours.

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Janvier.
Déçue... je lis beaucoup de lettres en ce moment, et je m'atrendais à ce que ça soit bouleversant. Sans doute que j'en attendais trop.
J'ai trouvé ça très répétitif, déjà. Dans les mots employés mais aussi dans les idées. Redondant. Pas si bien écrit donc...
Et puis, quelque part ça donne l'impression que c'est seulement parce que l'Allemagne nazie ne lui donnera pas la possibilité de garder sa foi qu'il ne veut pas poursuivre. Pas tant parce qu'il trouve ça mauvais.
J'attendais aussi secrètement quelques beaux passages pour sa femme, même si même dans le film, les sentiment sont du domaine de l'indicible.

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Janvier.
J'ai trouvé celui-ci plus intéressant que "Piano intime". Il y a des passages longs, peut-être même vains. Mais tout ce qui concerne sa relation à l'instrument, apprivoiser LES instruments, sa relation à la scène, au public, aux compositeurs, ses rituels... C'est très intéressant !
(lu majoritairement pendant une nuit d'insomnie...)

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Janvier. 247 pages
Très facile à lire. Le ton est léger, on rit un peu. C’est sans aucun tabou, ça parle vraiment de tout. On sent clairement que l’auteure veut brasser bien plus large que son simple avis, en proposant toujours d’autres solutions que les siennes. Beaucoup de sujets rarement abordés (les règles dans le sport, les règles dans l’art, …). C’est presque comme la confession (documentée !) d’une bonne copine. C’est un outil précieux !


Extrait : "Comment faire, alors, pour inclure les règles dans les conversations banales du quotidien et cesser de les traiter comme un secret d'Etat qui ne doit surtout pas tomber dans les mauvaises oreilles ? La réponse est simple : en parler, et puis c'est tout. Ne plus se cacher, ne plus utiliser de métaphores, ne plus chuchoter ou grimacer de honte quand il s'agit de signaler qu'on a ses règles, c'est déjà une premier étape. Apprendre à dire simplement : "J'ai mes règles"

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Janvier
Inégalement convaincue : j'ai adoré certains passages, vraiment (tout le début notamment). Mais j'ai un peu décroché dans la partie concernant le droit... Les lois, la finance, ça me dépasse...
Pour le reste, ça dit incroyablement bien l'horreur de la perte, la douleur du partir...

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Je me suis sentie tellement proche du personnage de ce livre. C'est impensable de voir comme ça son propre cerveau couché sur le papier... Folle de lecture, folle des mots, utilisant les phrases des autres pour coucher ses émotions sur le papier, vivant par procuration... Et puis cette histoire d'écran interposé. Ça m'est arrivé bien des fois. Le rêve, les projections. C'est rigolo. Je ne trouve pas si bien écrit que ça d'ailleurs, dans le style, et pourtant, certaines phrases percutent d'être si réelles : les mots sont bien choisis, et étonnent de tant de vraisemblance. J'en garde un petit souvenir ému, comme si ce livre m'était proche.

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346 pages. Février

Brut. Un peu dans la veine de La vraie vie (mais en moins convaincant toutefois). Il y a quelque chose de marquant dans ces personnages, ces lieux imprégnés. Ce qu'on pourrait appeler le destin.
A lire, une fois.

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Février - 159 pages
Lu pour la 3ème fois.
Le coeur plein, et les yeux embués.

(cf critique)

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Février - 315 pages


Lu 2 fois

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Février - 149 pages

Je n'ai pas été entièrement entraînée. Pourtant il y a quelque chose de charmant dans cette "cabane", dans ces rituels du matin. Quelque chose de cruel aussi. Je ne regarde plus de la même façon les voies du métro. J'imagine maintenant les vies que les couloirs peuvent contenir...

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Février-mars
220 pages

Implacable. Violent. Il y a quelque chose de dérangeant dans ce goût de vengeance, on se demande jusqu'où ça va pouvoir aller...
Ça sonne incroyablement juste, ça bouleverse juste comme il faut. Pas de faux semblants, pas d'échappatoire, il nous emmène dans ses pensées, elles sont sans filtre et il nous les livre cruellement. J'ai eu le sang glacé l'espace de quelques pages, quelques coups au coeur. Et puis ça dit des choses incroyables sur les parents, les enfants...
Il restera sûrement en mémoire.

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409 pages. Mars
Déçue. Je ne sais pas si j'en attendais vraiment beaucoup. Peut-être pas niveau style (et heureusement, parce que ce n'est quand même pas si bien écrit...) mais niveau idées. J'attendais d'être émue, d'être étonnée, de puiser de l'inspiration dans ces pages. Et puis en fait non. Quelques fulgurances, quelques doux sourires. Ça s'oubliera malheureusement trop vite.

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Mars - 85 pages
Le concept de commencer par la fin, j'aime bien. J'aime d'ailleurs bien cette fin (enfin ce début. Bref). Ce style incisif, sec, net, brutal. C'est sans chichi. C'est direct. Ça va à l'essentiel.
Après ça en paye un peu le prix, c'est un peu décousu...
Mais ça représente bien la fulgurance.

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J'ai eu du mal à accrocher... D'ailleurs j'écris bien plus tard ce bébé compte-rendu et je peine à en avoir de réels souvenirs -sinon un certain énervement pour certaines personnages...

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Intéressant. Mais peut-être pas sur la durée.
J'ai peiné à finir.
Parce que les choses reviennent, se répètent. Une synthèse m'aurait suffit...

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Mars - 341 pages
Dispensable... totalement.
Beaucoup de clichés. Et puis, à mon sens pas très bien écrit...

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Avril
Relu

Toujours aussi intéressant. Bref, concis. Essentiel. Une mini-bible à relire de temps à autre. Et pendant cette période de confinement, ça s'y prêtait !

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Mai
Ça décrit bien l'univers de la glace, c'est un beau récit de leur carrière. Et puis ça dit tellement de choses sur la mémoire traumatique, sur ces petits riens qui vont déclencher des flashs, sur les énormes répercussions que ça a au quotidien.
Pas le meilleur ouvrage sur la question (La petite fille sur la banquise restera sans doute toujours mon n°1) mais on ne peut pas demander à quelqu'un qui n'est pas écrivain -même aidé- d'émerveiller par ses mots...
Seul le témoignage reste, compte.

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Juin
J'ai été assez surprise par la qualité de ses mots. Je n'en attendais pas tant. Je les ai trouvés juste, froids mais percutant, sans fard. Jamais rien de trop, et c'est déjà tellement...
Cette peinture d'une époque, d'une enfance, d'une mère, de tout ce qui provoque des ravages. Tout est décrit avec précision, nos cinq sens sont en éveil.
Et je pense que la lecture de son premier livre suivra très vite.

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Juin
Pas totalement emportée par ce roman inachevé (je n'ai pas lu la version terminée par un autre), par les personnages, etc.
Mais enfin le décor est planté, petite parenthèse comme une autre.

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Juin
Peut-être un peu sceptique. Pour avoir lu beaucoup de livres un peu similaires, je ne suis pas totalement emballée par la façon de faire. Un petit goût amer sans doute, et certainement lié à tout le bruit qu'on a fait autour de ce livre.
Après ça se lit bien, c'est intéressant. Mais pas inoubliable.

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Juin
Un brin déçue. J'avais tellement aimé La consolation que j'attendais sans doute trop de celui-ci (et pourtant j'étais prévenue).
Quelque chose dans ces phrases courtes laisse un peu sur le bord de la route. On ne sait pas toujours quoi, comment, pourquoi. J'ai trouvé ça décousu, pas aussi incisif que ça aurait pu être.

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Juillet.
Inégalement emballée. La deuxième partie m'a laissée sur le bord de la route. J'ai beaucoup aimé la première, je suis assez fascinée par les descriptions de la vierge, je ne me souviens pas d'en avoir lu de semblables.

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Août

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Août

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188 pages. Août

Il est des claques qui sont bonnes à prendre. Des livres qui font du bien. De ces combats salvateurs qui portent et inspirent. De ces mots tranchants et tellement justes qui pansent les blessures.
Même si je me serais peut-être bien passé des quelques chapitres de la fin, que le récit était une bataille en lui-même, qui n'appelait pas d'autre lutte.
Sur plusieurs livres le sujet (ce doit être mon cinquième cette année), peu dépasseront le simple témoignage. Une histoire ne se suffit pas à elle-même, elle ne fait pas les mots. L'écriture ne s'invente pas...
Parfois c'est dans les livres qu'on trouve le repos, la compréhension. Celui-ci est de ceux-là.

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169 pages - août

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Août
Si j'ai aimé l'atmosphère de cette première nouvelle, ces regards de fenêtres en fenêtres, j'ai été glacée par cette deuxième. Beaux mouvements de recul en lisant L'inondation, aux descriptions glaciales, implacables.