2021 : Les BDs

Annotation :

Très belle histoire (à rebours) servie par des dessins impeccables.

Il y a de la douceur, de la naïveté et de la bienveillance dans ce récit, qui est également mis en valeur par cette narration inversée vraiment maîtrisée qui apporte beaucoup à la découverte des personnages par le lecteur.

Un vrai souffle de fraicheur.

Annotation :

Histoire curieuse et (un peu) surréaliste sur le pardon.

Vraiment desservie par des dessins très moyens.

Annotation :

Un récit historique à hauteur d'homme servi par de très bons dialogues et des dessins magnifiques. Les personnages, même si peu nombreux sont bien campés.

En général, on a des auteurs qui racontent ceux qui font l'histoire, ici c'est ceux qui la vive. Les personnages ne sont pas dévorés / limités à leur parti pris idéologique et restent humains.

Une vraie réussite.

Annotation :

Qualité préservée pour ce second tome. La dimension humaine est toujours au centre de ce solide récit historique. Un vrai coup de cœur.

Annotation :

Dans la lignée des précédents.

On regrette quand même le manque d'impact de ces presque vingt ans écoulés, que ce soit sur l'apparence ou la personnalité des personnages.

Annotation :

Un dessin tout en douceur pour un sujet dramatique, le pire qui soit.

Un bonne dose d'optimisme, de l'humour, de la folie douce et de la tolérance. C'est à la fois perturbant, grave et léger. C'est réussi.

Annotation :

Un univers (très) intéressant dans un récit d'aventure un peu suranné, limité par des personnages humain lisses et assez peu originaux (le méchant, le gentil, la femme, celui qui fait souffrir, celle qui souffre)

Annotation :

Conclusion qui aurait mérité plus de développement (j'imagine que c'est le cas dans les romans). Il reste les personnages (humains) qui sont toujours quelque peu insipides et une fin qui est un peu timorée.

Annotation :

C'est toujours aussi beau mais l'histoire se répète cependant un peu.

Moins de surprise, un Mattéo qui doute moins.. Que ce soit le lecteur ou le récit qui s’essouffle, la série reste de très bonne qualité, mais on y trouve moins de fulgurance que précédemment.

Annotation :

Dans la veine du précédent. C'est beau mais ça s’essouffle car ça se répète.

Même si j'adore ses personnages féminins, le parti pris de ne pas faire vieillir Amélie, s'il reste un détails m'a un peu fait sortir de ce joli théâtre de l'histoire...

Annotation :

De la belle ouvrage. Visuellement très réussi.

Contrairement à beaucoup, même si c'est indéniablement une œuvre qui manque d'humour, je n'ai pas trouvé le propos trop indigeste ou trop solennel. Les thèmes abordés sont poussés jusqu'au bout, parfois trop explicitement, mais ça fonctionne. Malgré un côté indéniablement pessimiste, on a tout de même plus de lumière que dans Shangrila.

On regrette bien sur l'impasse sur certaine choses fondamentales (en particulier le siège de la conscience, la limite de l'accès / contrôle des réseaux des I.A, la gestion des infrastructures informatiques post-ère industrielle) qu'on excusera face aux autres qualités de l'ouvrage.

Je passe gentiment sur la post-face de Damasio, qui boursoufle l’œuvre de plus d'orgueil qu'elle n'en a réellement.

Annotation :

Œuvre intéressante mais pleine de paradoxe.

Une mise en page et un découpage de haute volée, mais un dessin trop basique (à mon gout). Un personnage à contre-courant pendant toute l’œuvre (ce qui le rend parfois agaçant) mais qui se dédit à la toute fin.

Annotation :

Une bon univers de fantasy, très classique mais qui marche bien avec moi. Les personnages sont bien campés. Le dessin est simple, propre, efficace.

Une série qui ne va pas déborder d'originalité, mais qui donne vraiment envie d'en connaitre la suite.

Annotation :

Un conte, à la fois simple et étonnant, avec ce qu'il faut de manichéisme et de sagesse, accessible à tous. L'histoire marche en un seul tome, ce qui est notable.

On regrette un dessin parfois trop rugueux, mais parfois très inspiré.

Annotation :

Toujours aussi rythmé, drôle beau et percutant. On est cependant un peu moins en haleine à mesure que le mystère se dévoile.

Mais ça reste du très bon!

Annotation :

Visuellement ça reste quand même excellent. Par contre, on a à l'impression de n'avoir pas beaucoup avancé à la fin du tome, on est clairement dans une séquence intermédiaire.

Annotation :

Ça continue de bien marcher. Je trouve certains passages un peu moins détaillés et c'est dommage, mais on commence à voir avancer de nouveau l'intrigue.

Annotation :

Visuellement vraiment réussi. Une histoire fascinante mais un poil trop mystique.

Annotation :

Un monde (vraiment) décalé, de la poésie, de la folie et de l'humour.

Un premier tome très intéressant.

Annotation :

Vraiment pas séduit par le graphisme et la mise en scène. Les chapitres semblent vraiment trop courts et s'égrènent trop rapidement

Il y a une morale rafraîchissante dans cette apologie de la légèreté, mais elle est paradoxalement intégrée dans récit emprunt de sérieux sur les souffrances individuelles et collectives.

Annotation :

Un récit intéressant sur les relations inter-générationnelles, la famille, la fin de vie. Un peu amoindri par un dessin parfois approximatif.

On regrette également une vision plutôt sévère de la "jeune" génération, mais ce n'est (sans doute) pas (toujours) volé.

Annotation :

Un dessin simple mais somptueux au service d'une histoire qui est raconté sans émotion, ni enjeux.

La vie de Mata-hari est déroulé vitesse grand V sans que l'auteur ne parvienne à nous attacher à elle ou à son mythe, et il ne reste plus que l'histoire d'une personne un peu égoïste, un peu mythomane, et un peu perdue.

Annotation :

L'histoire est intéressante, mais un peu décousue dans ce premier tome.

On a parfois du mal à saisir la logique de la zone, avec des moments ou sortir, c'est mourir, d'autres où l'on peut siroter un cocktail ou se balader tranquillement.

Y'a un petit côté "les bobos font la guerre" que je trouve pour ma part marrant mais qui agace parfois. C'est un peu trop grandiloquent par moment.

Annotation :

Le volume est très inégal. Quelques historiettes (vraiment) quelconques à la fin, et deux gros morceaux au début "Travaux publics" et surtout "Tirs amis".

Ces deux parties (surtout la seconde) ne corrigent pas les soucis de cohérence globale de l'univers mais sont excellents dans la mesure où ils abordent des problématiques liées à la guerre contemporaines et les mettent en exergue en les transposant à la ville de New-York et à la société occidentale.

Curieux de lire la suite.

Annotation :

Toujours un peu inégal à cause des partie qui sortent de la trame principale, la série monte en puissance, à mesure que le récit avance. On gagne en cohérence, et on assiste à une évolution du protagoniste (dans une direction discutable) qui est diablement intéressante, qui nous éloigne encore plus d'un manichéisme basique...

Annotation :

Visuellement, c'est toujours magnifique.

Je regrette un peu l'effet Trône de Fer, où la situation n'a pas le temps de s'établir qu'un rebondissement vient la bouleverser à nouveau.Mais ça reste de grande qualité.

Annotation :

Les différents arcs continuent de se développer. J'ai faillit croire à un écho du deuxième volume, mais on part bien sur une série au long court, qui ne chamboule pas tout à chaque volume.

Vraiment prenant. Et toujours aussi réussi visuellement.

Annotation :

Qualité constante pour cette très bonne série. On regrette un peu de ne pas voyager plus, mais j'imagine que les autres Terres seront développées dans leur propre cycle.

Annotation :

Toujours d'aussi bonne qualité. Pas de manichéisme, le dessin est toujours impeccable. Une vraie prouesse quand on voit le rythme de parution.

Annotation :

Toujours un peu inégale, la série fini par se prendre les pieds dans le tapis.

Après un parti pris courageux de déchoir Matty de sa neutralité, on observe une conclusion étrange, puis un rétro-pédalage pour revenir au statut précédent.

Il reste des moments assez réussis, mais on a l'impression que l'auteur n'a pas su quoi faire de ce qu'il avait plutôt brillamment amené. Dommage.