2021 - Musique

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[Death Metal]

Grosse ambiance : Immolation trouve le bon équilibre entre l'efficacité pure et simple et la peinture de paysages, apocalyptiques bien entendu. Un résultat tellement musclé qu'il en devient monstrueux, une prod qui sait mettre tout ça en valeur (adieu le son étouffé du death 90s, bienvenue dans le nouveau millénaire où la disto brûle le visage et la double grosse caisse donne des claques), voire nous rappelle que sur cet album, il ne s'agit pas seulement de briser des nuques mais aussi d'invoquer le grand malin. Du grand art.

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[Death Metal]

Plus mélodique que son successeur (avec lequel j'ai découvert le groupe), voire plus poétique parfois, même si dans l'ensemble les passages death et atmo sont dans la même veine de cosmic horror.

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[Pop]

KKB annoncerait-il une nouvelle évolution avec cet EP ? Si c'est le cas, je les suivrai dans cette pop post-apocalyptique spirituelle : finie la j-pop anglaise sucrée, finies les chansons indie pop, bienvenue les prières à la terre mère dans des mélodies contemplatives sans jamais perdre en efficacité. Vivement l'album.

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[Ambient / Vaporwave]

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[Rap]

Dans la lignée de l'album, autant en terme de style que de qualité.

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[Armaggedon]

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[Ambient]

Les Ambient 1 et 2 de Budd et Eno en plus cohérent, plus réussi pour ma part.

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[Ambient]

Un premier CD tranquille avec des morceaux courts se baladant dans des contrées reposantes, puis un dernier morceau de plus d'une heure terrassant de mélancolie contemplative, amenant l'auditeur dans des territoires ambiguës.

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[Rock / Punk]

Il est donc possible de produire de l'énergie rock aussi convaincante en 2017 ? Comme un post-punk qui serait revenu à l'énergie du punk sans perdre son génie accrocheur et sa diversité... Idles fout des mandales dans une pure tradition prolo anglaise, et on y croit à fond. Incroyable.

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[Hip-Hop ?]

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[Death Metal]

Portal fidèle à sa réputation : un jusqu'au boutisme qui fait lorgner son death metal vers le black ambient et le drone.

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[Black Metal]

Rotting Christ trace sa propre voix plutot que de suivre le courant norvegien, un black qui descendrait plus du heavy 80s que du thrash : des riffs mid tempos et une ambiance solennelle pour une vision forte du satanisme en musique.

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[Space Stoner]

non mais matez moi cette pochette qui sent bon l'heroic fantasy sf 70s et la musique à la hauteur qu'elle renferme

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[Pop]

Cet abum joue d'un équilibre qui force le respect : des mélodies exigeantes mais qui ne perdent jamais l'auditeur, psychédélique mais jamais bizarre, folk mais jamais répétitif, pop mais toujours d'une grande intensité émotionnelle (merci la voix)... À la croisée de plein de chemins tout en se permettant une identité forte et en gardant une sensibilité à fleur de peau (ces arrangements toujours subtils). Bref un grand album.

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[Black Metal]

Un black pagan porté sur la mélancolie guerrière contemplative, utilisant ses instruments traditionnels avec parcimonie, donnant au groupe un sens de la mesure qui fonctionne parfaitement.