2023

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213 pages.

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102 pages.

Magnifique friendzone.

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120 pages.

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1021 pages.

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121 pages.

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156 pages.

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200 pages.

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120 pages.

Insupportable

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390 pages.

Essai qui retrace un bout de l'histoire de la philosophie et de la biologie pour tenter d'expliquer comment le rapport de la pensée nietzschéenne au vivant s'est construite.

Evolution & Incorporation (inspiration darwinienne)
Cogito Ergo Sum
Remise du corps comme point de départ (plutôt que la conscience)
Mésinterprétation de Heidegger qui pense que ce déplacement ne change rien
Description du corps comme un ensemble de consciences autonomes qui se sont assemblées pour former ce semblant d'unité
Rapport avec Kant. Les deux sont d'accords sur le fait qu'il faut ramener à soi du divers. Et on vient à une dualité problématique : la séparation radicale entre le pur penser et le pur sentir. (c'est cette opposition qui permet à Kant de déployer finalement toute sa science de l'a priori). Cependant Nietzsche réfute les notions d'apriori ou d'objets "purs", car pour lui absolument TOUT vient de l'empirique. Et comme la pensée vient du corps physique, les deux ne peuvent être totalement isolés.

Justification :
"Le comprendre est originairement une sensation de souffrance et la reconnaissance d'une puissance étrangère." À chaque fois que le corps pense, c'est à partir d'une sensation de souffrance

Schopenhauer : proche de Descartes => problème du solipsime qu'il résoud en invoquant la souffrance du nous

3 corps => corps objet, corps vivant, corps de chair (en français on a le même mot, en allemand c'est trois différents)

Nouvel écran: Ce qui a permis le darwinisme c'est Hegel dans le sens où il est le premier à avoir réinséré dans la philosophie une notion d'évolution (les choses "sont" chez les latins, mais en réalité elles ne sont pas constantes, elles évoluent très lentement). Mais parallèlement, à vouloir trop incorporer cette notion à la vie, Hegel s'est mépris à penser la vie avec une finalité, avec un sens presque métaphysique, ce qui s'est avéré être un écran supplémentaire.

Problème de Lamarck: il applique une loi (toujours plus complexe + effort)
Problème de Hegel : finalité historique (+ lien providentiel avec l'état actuel de l'homme)

Socialisme : révolution pour libérer l'individu des contraintes sociétales
Ultra-libéralisme: adaptation à une économe mondialisée

Annotation :

354 pages.

Jeanne Diel utilise un poil trop la sémantique de la psychologie de la motivation, et c'est dommage. On se retrouve ainsi à lire une interprétation par sa femme de la vie de son mari selon sa propre compréhension de la méthode introspective, plutôt qu'une biographie écrite avec la volonté d'être le plus désintéressé possible. De plus, le style est assez lourd. Néanmoins, très intéressant d'un point de vue factuel.

Deux soucis pour moi sur la psychologie de la motivation:
- justification biologique à vérifier (quelques divergences par rapport à Nietzsche, dont j'apprécie beaucoup la théorie)
- justification du pathologique (névroses, psychoses) à partir du normal qui se conçoit dans la théorie, mais qui mériterait de mon côté de creuser dans les sources expérimentales.

Quant au reste, l'applicabilité de la méthode est indiscutable.

Annotation :

317 pages.

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203 pages.

Ouvrage assez intéressant. L'écrit est truffé de raccourcis houleux et d'arguments rhétoriques dont la probité est discutable. Mais il nous donne les prémisses de l'édifice psychanalytique avec un style plutôt agréable à lire.

1ère leçon: l'hystérie serait provoquée par des réminiscences (traumas).

Métaphore du londonien: il s'arrête devant les monuments commémoratifs des souffrances passées, ce qui l'empêche de s'adonner à ses occupations principales.

2ème leçon: Janet dit que le clivage psychique vient d'une inaptitude innée de l'appareil mental à la synthèse. Pour Freud, c'est le conflit conscient-inconscient.

La tâche du psychanalyste revient donc à ramener à la surface le refoulé afin de le dissoudre et ainsi soigner le symptôme.

3ème leçon: les rêves, voie royale d'interprétation de l'inconscient

4ème leçon: sexualité infantile + la sexualité est à l'origine de tous les symptômes.

5ème leçon: transfert et synthèse

De manière générale, les grandes idées de la psychanalyse sont bonnes à prendre. Passé l'omniprésence de la sexualité, le rapport entre la société moralement rigide et l'individu sans repères (ce qui lui vaut son inadaptation) semble être le matériau le plus précieux de cette science des profondeurs.

Un point qui m'embête: la tendance pour tous ces psychologues à décrire des phénomènes banals de la vie à partir de leur propre terminologie.

Annotation :

175 pages.

Tentative d'explication des névroses à partir de la perte de sens.

Quelques bonnes idées.

Annotation :

187 pages.