2023 : keep on, keppin on.

Annotation :

Vu le 2 Janvier.

Une année qui commence sous le signe de la sobriété et de la finesse.

Annotation :

Vu le 3 Janvier.

Annotation :

Vu entre le 3 et 4 Janvier.

Annotation :

Revu le 4 Janvier.

Annotation :

Vu le 6 Janvier.

Annotation :

Vu entre le 7 et le 8 Janvier.

Un rattrapage en bonne et due forme qui permet de contempler ce qui est peut être l'une des oeuvres signés par Del Toro des plus touchantes depuis un moment... et peut être aussi l'une de ses plus personnelles.

Annotation :

Vu le 13 Janvier.

Le jeu de massacre opéré par Johnson a tout pour provoquer l'irritation de certains et c'est en partie ce qui fait son sel (ca plus la maitrise des codes qu'il exploite, son absence de décomplexion et un casting qui se fait foutrement plaisir). Et rappelle aussi que derrière le malin se cache un créateur passionné plus affable qu'au premier abord.

Annotation :

Vu le 24 Janvier.

Laissé passé lors de son exploitation en salles, cela demeure pourtant une bonne surprise ponctuée de bons moments de rire, fait avec plus de malice et d’humilité qu’au premier abord. A savourer à plusieurs.

Annotation :

Revu le 26 Janvier.

Un film plus que nécessaire pour comprendre la relation à l'image que nous pouvons potentiellement entretenir. Et qui s'avère toujours aussi unique dans la manière de poser son point de vue.

Annotation :

Vu le 27 Janvier.

Il y a des rattrapages qui valent le coup ; d'autres... un peu moins.

Annotation :

Vu le 1er Février.

Tout en décalage et en finesse, le croisement entre plusieurs formes de culture mené par Jarmusch a de quoi amuser comme émouvoir. Je garde une réserve sur les enseignements insérés au gré du métrage même si instructifs ; et Whittaker imprègne tout le film de son aura calme mais redoutable.

Annotation :

Revu le 2 Février.

Note amené à baisser ; j’ai beau avoir de la sympathie pour le style de Demy, c’est plus compliqué avec ce cas là.

Annotation :

Vu le 02 Février.

Au premier regard, on pouvait s'attendre à une relecture de Taxi Driver (Schrader transposant de nouveau son histoire dans un New York chaotique) avant de se rendre compte qu'on est proche du miroir se voulant plus optimiste, malgré son anti héros qui se prend toute la misère de ces quartiers. Et c'est peut être ce qui a joué contre lui pour sa longévité...

Ce qui est bien dommage tant A tombeau ouvert (habile titre français soit dit en passant) s'avère foutrement prenant dans son trajet infernal et donnant l'occasion à son casting d'illustrer la folie de fort belle manière. On peut retenir notamment un Nicolas Cage fabuleux mais mes préférences se tourneront vers les personnages excellements incarnés par Cliff Curtis et Tom Sizemore.

Annotation :

Vu le 04 Février ET revu le 2 Septembre.

Chazelle est bien décidé à lâcher les chevaux et laisser place à la démesure, quitte à laisser sur le bas côté tant il n'y va pas avec le dos de la cuillère concernant l'aspect "vulgaire''. Même si elle est loin d'être gratuite et que il y a inévitablement des parties qui peuvent sembler négligeables sur ces 3h, pour moi rien est à jeter. Un tournage en pellicule qui laisse carte blanche à l'artisanat et sert admirablement son récit, un propos riche et loin de s'arrêter au pessimisme le tout mené par un casting en très grande forme, chapeau à Diego Calva pour ne pas se laisser grignoter par Brad Pitt et Margot Robbie. J'y retiendrai également un Tobey Maguire marquant en gangster maitre d'un enfer (mais ca c'est très personnel).

Le bide fait mal au cœur mais tant pis, Chazelle a réussi son pari avec assurance et maitrise, tout en rendant un humble hommage au maximum de corps de métiers lié au cinéma ainsi qu'à son public. Et c'est sans nul doute ce qui importe le plus.

Annotation :

Revu le 5 Février.

Y'a pas à dire, elle décape toujours autant la boite de conserve.

Annotation :

Revu le 6 Février.

Annotation :

Revu le 6 Février.

Annotation :

Revu le 8 Février.

… A bien y réfléchir, ça sent le slip.

Annotation :

Revu le 7 Février.

Annotation :

Revu (enfin) le 9 Février.

Annotation :

Vu le 10 Février.

... Je vous jure que j'avais pas le choix ce soir là.

Annotation :

Vu le 13 Février.

Peu confiant comme beaucoup d’autres au potentiel de cette suite tardive, elle a pourtant été l’occasion pour Dreamworks de continuer à prouver leur renouvellement (au point de faire des choses que Disney Animation Studios peine à atteindre). Un récit simple mais mené avec maîtrise, une galerie de personnages pensés avec jugeote (on est quand même face à un beau trio d’antagonistes dont un en particulier qui s’est hissé au rang des plus inquiétants et aboutis de ces dernières années) combiné à un style graphique qui claque.

Avec le temps, ce Chat Potté 2 a clairement les atouts pour se hisser au rang des meilleurs suites du studio comme Dragons 2 ou Kung Fu Panda 2. J’ai franchement hâte de voir comment le studio va continuer désormais.

Annotation :

Re-revu le 19 Février.

Même si les failles sont plus visibles, rien à faire, je reste hilare devant cette immense farce dont le cynisme m’apparaît bien mieux maîtrisé qu’ailleurs ; Scorcese et ses collaborateurs ne manquant jamais de mordant.

Et cette VF est juste géniale avec en tête un Witecka au summum de sa forme.

Annotation :

Vu le 26 Février.

Légère hésitation pour statuer sur le cas The Fabelmans, divisé entre un respect toujours solide envers Spielberg ainsi qu'une sympathie pour ce film mais une hésitation face à certaines décisions narratives... C'est vraiment un cas où il faut prendre du recul pour mieux estimer.

Est ce que j'irais lui reprocher le ton ''mièvre'' qu'on lui reproche ou la "séance de psychanalyse" ? Certainement pas. Je ne suis pas toujours en accord avec l'avis de certains membres réputés pour leur exigence... mais au vu de la manière de tourner leurs arguments, difficile de ne pas soupçonner du cynisme.

Annotation :

Vu le 4 Mars.

Annotation :

Revu le 5 Mars.

Annotation :

Vu le 11 Mars.

Annotation :

Vu le 22 Mars.

Annotation :

Vu le 25 Mars.

Si cet opus s'avère être la fin de la route pour son héros éponyme alors on peut dire qu'il est parti avec les honneurs ; ce Chapitre 4 décidant à la fois de se reposer sur ses propres bases en réexploitant bon nombre de motifs... mais aussi le renouvellement notamment en termes d'impact. En plus de disposer de parmi les antagonistes les plus intéressants de toute la saga (une star comme Donnie Yen ca aide aussi). Si inévitablement la saga éprouve ses limites au niveau narratif en faisant face à son propre cycle, il n'en reste pas moins cohérent en lui même et affronte ses limites comme elle le peut (même si il est difficile de passer outre un certain dosage dans la manière d'appuyer ses idées).

Et je maintiens toujours que l'argument du "no-brain" n'est qu'une piètre excuse pour ne pas chercher à décomposer ce qui compose cette saga. En plus d'un aveu d'échec.

Annotation :

Vu le 27 Mars.