2024 // CINE

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REVU
ça bouge ap merci Peter

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REVU
Pareil, keep it up boy

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Un super concept traité avec émotion et intelligence et qui évite de tomber dans le piège d'un Black Mirror sur grand écran. Le dernier tiers sur la cancel culture aurait gagné néanmoins à être soit raccourci soit plus finaud, même si il donne l'occasion à Nicolas Cage de faire un peu le foufou.
D'ailleurs Cage est incroyable dans le film, à mille lieux de sa persona foldingue et cabotine. Peut-être un de ses meilleurs rôles ?

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ARTE
Concept brutal et hyper efficace, Les Dents du Bonheur c'est 25mn d'horreur filmées avec un talent certain pour les images, mais aussi pour la direction d'acteurs, les gamines sont parfaites. Vivement un long !

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FRANCE TV

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CINOCHE
QUEL PLAISIR ! Du cinéma du samedi soir cool et généreux, qui fait peur juste ce qu'il faut, sans oublier d'écrire ses personnages... On croit globalement à tout, on s'amuse, on rit, on sursaute. Du genre français malin, avec des moyens et surtout des idées, une mise en scène efficace. Seul petit bémol, le message politique qui aurait pu être UN POIL plus subtil.

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YOUTUBE
Un bon mélange de Assaut, le Convoi de la Peur, avec un zeste de The Raid, le tout avec l'énergie du cinéma tamoul... ça défonce, malgré un scénario gentiment débile, qui se suit sans déplaisir. Bon ça aurait pu être réglé en 1h30 et pas en 2h30, mais ça fait partie de l'expérience.

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GOOD GOD quel bordel ! Un remake tamoul maboule de History of Violence, qui n'a absolument AUCUN SENS dans son écriture, mais qui compense chaque faiblesse avec une envie de faire de la mise en scène coûte que coûte, d'enchainer les séquences les plus folles... C'est un vrai plaisir de cinéma pur, qui ne s'embarrasse pas de vraisemblance, ou de sérieux. C'est génial.

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CINOCHE
Les 40 premières minutes installent efficacement une tension au sein de cette famille, mais une fois que l'intrigue se déploie complètement on a un peu du mal à saisir où ça va. Le personnage assez passionnant de la mère est bazardé au profit de son fils, qui joue mal et n'est pas très intéressant. Les sous-intrigues n'ont pas vraiment d'intérêt, et les acteurs sont convaincants sans être démentiels. Dommage.

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Parfois les meilleurs films d'horreur n'en sont pas vraiment. Ici Pascal Plante nous fait un récit glaçant, tendu, violent, sans jamais montrer quoique ce soit (ou presque). On plonge avec un personnage remarquablement écrit et ambigu dans la noirceur de l'âme humaine, en apnée, sans directions. Sorte d'anti-Millénium, le film est âpre, dur, et propose quelques séquences à la folie sourde qui impressionnent.
Et les "vidéos" jamais montrées, mais entendues, ont les hurlements les plus terrifiants vus au ciné depuis looooongtemps.

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REVU // Petit -1 avant de refaire un +1 la prochaine fois
C'est super mais la fin est interminable.

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NETFLIX
La puissance absolue de Bayona... En s'attachant aux individus et au groupe qu'ils forment, il fait de cette catastrophe une odyssée en huis-clos, une étude viscérale des mécaniques de survie. Sa mise en scène épouse parfaitement son sujet, sa violence... sans jamais regarder ailleurs. La terreur s'installe, et le film laisse un poids sur le spectateur pendant 2h20. Ressenti 1h20 grand max d'ailleurs.

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Vu un peu en accéléré pour comprendre comment la nouvelle de Barker avait été adaptée. C'est carrément moche, mais j'ai eu un haut le coeur sur LA scène avec le steak. Sinon c'est du sous-Saw qui a le mérite de raconter quand même une histoire.

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Pareil que pour Dread, curiosité de voir comment on adapte une nouvelle qui partait déjà un peu en couille sur 20 pages. Résultat ça ajoute des personnages pas très utiles, mais l'ambiance est cool et crado.

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CINOCHE
Un peu revu à la baisse depuis la sortie de salle, Lanthimos propose son film le plus ludique, mais tend à laisser la forme prendre le pas sur un fond qui se veut plus intelligent qu'il ne l'est réellement. N'empêche que Emma Stone livre une prestation complètement hallucinante. Et que ça aura le mérité d'emmener des gens voir un film beaucoup plus chelou que ce à quoi ils se seraient attendus.

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Je m'attendais à un film de bande, mais le récit se ressert assez vite sur quelques personnages. Comédie douce-amère, qui s'inspire du passé sans le révérer aveuglément (contrairement à son personnage principal). C'est doux, plutôt mignon.

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Assez difficile de se positionner face à un film aussi chelou, qui mélange teeeellement d'éléments et de genre. Dans ses atours de thriller vénéneux explorant l'adaptation d'un fait divers, lui même adapté d'une histoire vraie, il se glisse un ton décalé, surligné par la musique de Michel Legrand. Chaque interaction, chaque cadre est étrange... et vise à nous perdre dans une superposition de couches de méta et de narration.
Les actrices et acteurs sont superbes.

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EH BEN c'est pas si pire. C'est nul hein, mais tout le monde le sait, et s'amuse quand même un peu, ce qu'on voit rarement dans les prods Marvel.

Par contre JPP de Jason Momoa. Le rigo-beauf c'est lourd. Après avec du vernis dans Fast and Furious ça passe un peu mieux.

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Mignon, mais ÇA CASSE PAS TROIS PATTES À UN CANARD

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Bayona avait commencé comme un disciple de Del Toro, mais dès son deuxième long, révèle sa fibre spielbergienne. Le film est un magnifique mélo, brutal, efficace, lyrique... Une démonstration assez ouf de mise en scène et surtout de maitrise de ses effets. On pourrait croire à de la manipulation tire-larmes, mais globalement, si ça marche aussi bien, c'est que c'est très bien fait.

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CINOCHE
Glazer traite l'horreur au cinéma dans un geste qui pourrait presque réconcilier Rivette et Spielberg. Il fait de son récit sur la banalité du mal un dispositif très esthétique, qui se rapproche quasiment de l'oeuvre d'art contemporain, un anti-cinéma qui refuserait toute mise en scène (presque), tout récit, toute narration. Et il traite le "hors-champ" d'une façon extrêmement intelligente, sans jamais rien montrer, mais sans occulter la présence du camp. Les bruits, les tours, les baraques, le mur... tout nous rappelle cette présence qui écrase l'image.
Un film qu'on ne reverra sans doute jamais, mais qui marque à vie.

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ILS SONT LAAAAA ! DANS LES CAMPAAAAAGNES !

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Plus creepy que l’original, les ajouts sont géniaux : l’invasion en milieu urbain qui rend le début du film hyper ludique, le cri, l’ambiance poisseuse des thrillers parano des 70s

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Le moins bon des trois mais ça reste quand même très bien ! L’idée de mêler la rigueur militaire à l’effondrement de la cellule familiale donne au film un arrière-goût de fin du monde nihiliste dérangeant et la photo très 90s contribue complètement à cette ambiance mortifère et crado.

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CINOCHE
Inception si Nolan avait un peu d’imagination. Bon après ça reste un Dupieux mineur, encore fait à la va vite avec une photo peu inspirée et des comédiens qui en font un peu trop. Mention à Pio Marmai qui devait pas être là quand ils ont donné les consignes pour l’accent.

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CINOCHE
Du A24 malayalam qui a pour lui une superbe DA, une photo magnifique et quelques idées de mise en scène efficaces. Après c’est dommage que ce soit si looong et finalement pas si effrayant, alors que le potentiel était clairement là pour faire de grosses séquences de flippe.
Et good god le sound design est efficace mais tellement fort en salle

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Je m’attendais à un truc plus vénéneux style Elle ou Inexorable… ça reste globalement très sobre et sage. Drucker est géniale, et ça doit être marrant un repas de famille chez les Kircher, ils sont tous chelous à leur façon.

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Je sais pas si le pire c’est le jeu de Anglade et Le Bihan ou la vieille gueule du monstre… si c’était pour le faire bouger comme ça, autant laisser les fils et les mecs qui actionnent la marionnette.

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REVU
Film d’architecte plus que de cinéaste, Dune se contente d’images mais ne produit jamais de cinéma. Tout est froid, morne, fixe, expédié, sans construction scénique ou narrative. C’est plat, comme sa photographie.
Et chiant.

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SHADOWZ
What the fuck… visuellement magnifique mais sinon on ne comprend absolument rien à cette histoire de zombies cosmiques. Restent des scènes d’effroi (surtout celle du cinéma) très efficaces et une ambiance singulière.