2024 : Découverte (côté musique)

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Décembre :

Tourné nord américaine de 1971, Led Zep commence à abandonner le premier album (sauf Dazed and Confused !) en concert, pour se concentrer sur les II, III & IV.
Il n'y a rien à jeter, Page gratifie Heartbreaker d'un long solo électrique comme seul lui savait faire, avec la petite note classique au milieu, Since I've Been Loving You est très intense, la trop rare What Is and What Should Never Be est géniale et la conclusion Thank You magique et époustouflante, les claviers de John Paul Jones sublimant tout.

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Décembre :

Plutôt mitigé sur cet opus solo de Jack White, assez inégal, surtout la première partie de l'album.
On sent qu'il ne sait pas très bien vers quoi se diriger, il expérimente et alterne entre très bonnes compositions comme That Was Then, This Is Now et d'autres, clairement moyenne, comme Fear of The Dawn.

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Décembre :

Une œuvre incroyable, une compilation restaurée par Jimmy Page himself de plein de bout de concerts de Led Zep, des débuts à la fin, permettant de voir l'évolution du groupe (l'apport grandissant de John Paul Jones, un style qui évolue sans cesse etc).
Et en concert, donc incroyable, on ne le dira jamais assez à quel point ils étaient uniques, avec de longs solos, des impros et un feeling incroyable de chacun des membres.

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Décembre :

Un concert extraordinaire, d'un jeune zeppelin (peu de long jams ou solo, pas de claviers) encore brut et hard, un bon représentant des deux premiers disques.

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Décembre :

Si en studio on voit bien l'évolution de Led Zep, c'est moins le cas en concert, dans le sens où les impros et long jam étaient déjà de mise dès le début (John Paul Jones ne quitte pas sa basse pour le clavier par contre, c'est peut être là que le groupe évoluera).
Le concert au Royal Albert Hall de 1970 permet de s'en rendre compte, et en plus, vu que Led Zep n'avait que deux albums à son actif, on a droit à des chansons qui ne seront plus jouées par la suite.
On a notamment droit à une version dingue de How Many More Times, un I Can't quit you baby parfaitement exécuté, un électrique Communication Breakdown, Bring It On Home toujours aussi génial en concert, les classiques Dazed and Confused et Moby Dick où Page et Bonham s'amusent comme des petits fous.
Et, évidemment, aucune fausse note !

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Décembre :

Un concert incroyable, tant pour les classiques que celles (un peu classique quand même) moins connus comme la groovy Trampled Underfoot, la jolie et mélancolique Tangerine, Bron-Yr-Aur Stomp (Page à l'acoustique c'est tout autant génial qu'à l'électrique) ou In My Time of Dying.
Bonzo tape toujours aussi fort et bien, Page est inspiré (comme toujours à cette époque), John Paul Jones continue de développer autant son génie à la basse qu'au clavier et Plant a, comme toujours, un feeling incroyable.
Et, évidemment, on a droit à des jams (dont Sex Machine au milieu de Whole Lotta Love !) et solo d'enfer.

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Décembre :

Ce double concert à Knebworth pourrait apparaître, à mes yeux, comme le vrai testament du Led Zep, encore au complet et en grande forme, jouant sans le savoir ses derniers grands moments de bravoure.

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Décembre :

Vendu comme un autre Elvis Presley, Ricky Nelson aura quelques belles et bonnes chansons à son actif, et son album de 1958 en contient pas mal, comme les rock My Babe et Shirley Lee, ou la très jolie Poor Little Fool.

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Décembre :

Avec Wanderer, Cat Power signe un album paisible, assez calme où elles poussent surtout le côté folk. C'est souvent mélodieux et inspiré, sans atteindre la qualité de ses meilleurs albums. On retiendra notamment quelques titres comme l'émouvante Nothing Really Matter ou You Get.

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Novembre :

Je découvre Johnny Mafia (groupe de l'Yonne, à souligner!) pour l'occasion, du punk rock très bien ficelé et efficace. Pas grand chose à jeter, c'est lourd et énergétique.

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Novembre :

Incroyable concert bootleg comme seul Led Zep pouvait en faire, plus de 3 heures de concerts, des chansons qui n'ont parfois plus grand chose à voir avec la version studio une fois passé l'intro.
Bref, que du lourd pour cette soirée à Vancouver en 1975.
Rien à jeter, c'est le contraire, No Quarter est démentiel, In My Time Of Dying aussi, la plus rare en concert Trampled Underfoot nous rappelle qu'il y a pas/peu de Led Zep mineur.

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Novembre :

Album assez étrange, avec un sentiment d'un groupe qui s'est assagie. Ici, la veine punk/bordélique/énergétique du groupe n'est peu/pas représentée, contrairement à celle des mélodies et de la pop.
C'est cet aspect là qui est mis en avant par les Pixies avec The Night the Zombies Came, offrant ainsi un album plutôt réussi, à défaut d'être marquant ainsi qu'innovant. Il n'y a pas vraiment de fausses notes, une atmosphère plutôt douce traverse l'album contrairement à ce que son titre pourrait présager.

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Novembre :

Un album un peu moins inspiré de Didier Lockwood (et en plus c'est un double), il y a bien des fulgurances, mais rien de bien marquant.

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Novembre :

Mmmmh
Déjà bizarre cette démarche de volontairement oublier John Paul Jones, et de donner comme nom d'album une composition phare dont son apport était génial.
Sinon, cette reformation est intéressante, débouchant sur quelques moments mémorables (Thank You & Kashmir notamment), mais au final qui donne surtout envie de se replonger dans Led Zep, tant Plant n'a plus forcément le même feeling, et que Page est privé d'improvisation (sans oublier l'absence des deux autres Zeppelin, indispensable au groupe).

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Novembre :

Comme souvent (toujours ?) dans ses concerts des années 1970, le King est extrêmement bien accompagné, un orchestre qui joue bien ensemble et sublime les vieux titres ou les reprises.
Derrière des classiques entendus un paquet de fois (soulignons tout de même sa superbe version de Polk Salad Annie), on notera, notamment, une belle version de la ballade Don't Cry Daddy ou de l'entrainant country Walk a mile in my shoes.

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Novembre :

Ce qui est bien avec King Gizzard & The Lizard Wizard, c'est qu'on sait jamais sur quel style on va tomber.
Pour Flight b741, ils vont puiser dans le blues/rock américain 70's (steppenwolf, etc) et ça fonctionne bien, même si parfois ça manque d'âme. Comme s'il voulait copier ceux qui ont façonné ce style mais sans imagination.
Au final, ça rend bien, c'est sympa mais on passe vite à autre chose.

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Novembre :

Ces dernières années, Clapton est bien plus en forme en concert qu'en studio, et ce nouvel album ne déroge pas à cette règle.
Déjà, il y a beaucoup de titres qui sont déjà sortis (6 inédits sur 14) et surtout... il manque d'inspiration.
Quelques titres sortent du lot (Moon River avec Jeff Beck par exemple), mais la majorité sont assez banales, sonnant parfois même un peu FM...
A oublié, pour ce qui est du Clapton en studio, on va plutôt retourner quelques années en arrière.

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Octobre :

Le Police des début, le meilleur, lorsqu'ils sont encore un groupe rock-punk avec de très légères touches reggae, c'était électrique et ce show le retranscrit bien.
Il y a beaucoup d'énergie, c'est punk, la basse et la guitare se répondent bien quand Copeland tape comme un forcené.
On retiendra notamment les survolés So Lonely, Born in the '50s ou Peanuts.

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Octobre :

Je connaissais vaguement Neil Diamond, juste à travers quelques titres, et c'est assez sympa, un concert majoritairement accoustique, folk, ballade et un peu rock.
C'est électrique, l'album retranscrit bien l'ambiance et le lien avec le public, il y a une chaleur qui s'en dégage, et quelques titres sont assez marquants (Girl, You'll Be a Woman Soon, Porcupine Pie, etc).

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Octobre :

De très jolies versions lives, jouées classiquement et rappelant à quel point Ennio Morricone fut un grand compositeur, et très marquant.
Les grands moments ne manquent pas (Cinema Paradiso, les titres liés à la trilogie du dollars, etc). C'est tour à tour beau, mélancolique, triste et nous renvoi à bien des images mémorables...

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Octobre :

Ce qui est bien avec King Gizzard, c'est que d'un album à un autre, voire d'une chanson à une autre, ça peut n'avoir rien à voir !
Omnium Gatherum est une curiosité tant il est capable de faire le grand écart d'une chanson à l'autre.
On retiendra surtout l'ouverture géniale, très rock (The Dripping Tap) ainsi que Gaia et son super riff, ou l'envoutant Red Smoke.
Là où c'est plus compliqué pour des titres comme la "pop/electro" un peu mollasse de Kepler 22-b ou Ambergris par exemple, ou même la curiosité The Grim Reaper, assez mauvais il faut le dire.
Le mélange fonctionne mieux avec des titres comme Evilest Man, où une ambiance est créée.
De manière générale l'album est du coup trop long, les coups de mou se ressentent une fois passé les superbes 20 premières minutes, c'est dommage car comme toujours avec eux, les idées intéressantes ne manquent pas.

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Octobre :

Cette version : https://www.discogs.com/release/2108336-Tony-Joe-White-The-Best-Of-Tony-Joe-White :

Une compilation sur une partie de ses meilleurs années, ses 3 premiers disques, les choix sont parfaits et retranscrivent ce que pouvait être Tony Joe White, avec une voix grave et suave, un côté swamp du bayou et de superbes chansons.

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Octobre :

Regroupement un peu arrangé (mais de manière assez classique) de chansons de westerns, c'est bien joué, sympa et rappelle plusieurs films.

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Octobre :

Un folk un peu mou, pas dénué de bonnes idées et de chansons qui fonctionnent, comme Luka ou Wooden Horse, mais ça reste assez léger, peu marquant. C'est dommage, car la voix est jolie, il y a des arrangements sympa etc.

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Octobre :

Je découvre Blood Incantation avec Absolute Elsewhere, et c'est prenant, l'ambiance est soignée, c'est envoutant souvent, cosmique beaucoup, avec une alternance réusie entre moments calmes et d'autres plus métal. Quelques riffs sont vraiment explosif, et donnent envie de bouger la tête dans tous les sens.

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Octobre :

Les sessions du King avec Sun Record, enregistré en 1954 et 1955, permettant d'avoir un bel aperçu de la palette country/rockabilly/ballade du jeune Elvis. Aucune fausse note, on est plongée dans le fin fond de l'Amérique des années 1950, c'est brut et superbe.

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Octobre :

Jazz/Rock/Fusion, à la sauce années 1980, c'est sympa et bien joué, mais ça manque d'idées, d'ambiance, malgré de très bons moments et une bonne alchimie entre les musiciens.

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Octobre :

Album prévu pour le marché américain, regroupant "le meilleur" des deux premiers albums ainsi que l'inédit Built for Speed, c'est donc une réussite, tant les deux premiers albums sont réussis (ainsi que l'inédit).

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Septembre :

Album sombre, mélancolique, Close est une belle découverte, un voyage musical où les riffs lourds se mêlent à diverses ambiance allant jusqu'au jazz. Trop long par moment, l'album reste prenant, avec des moments particulièrement intéressants comme Rubero.

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Septembre :

Live récent des Stray Cats, Rocked this Town est un concert incroyable, très dynamique, et avec de superbes versions de plusieurs chansons (Built for Speed, Runaway Boys, (She's) Sexy + 17, etc).
Setzer est en feu à la guitare, sa voix n'a rien perdu avec le temps et on se retrouve coincé dans le temps, entre les années 1950, 1980 et maintenant, dans un show enflammé.