.2024 Journal de bord/mémo

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1-01/01/2024

Le paraitre et la réalité, perception des choses, quand le faux devient vrai.

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2-01/01 de 5 à 6

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3-01/01 de 7 à 5

C'est un peu la dégringolade pour ce Yuzna mais j'ai eu du mal à y adhérer une seconde fois. Tout ce qui me semblait fun, déluré et audacieux a des allures de Grand-Guignol et la mise en scène hyper-démonstrative de Yuzna n'est pas parvenue à me séduire à nouveau.
A dire vrai le film se repose un peu trop sur ce qui a fait le succès du premier à savoir le personnage de Herbert West et la relation avec son faire-valoir 'béni oui oui'.

Le film de Gordon se prend un peu au sérieux et c'est justement ce qui lui donne une certaine valeur dans son scénario, qui fait résonner l'humour des situations et les enjeux plus dramatiques, quitte à faire dans le bis.
Dans ce II, et j'avais fais en 2022 la comparaison assez maladroite entre Frankenstein et The bride of Frankenstein, le minimum syndical semble être fait dans le récit, par contre ça a mis le paquet pour multiplier les plans foireux et lourds (le coté démonstratif de Yuzna qui peut-être une qualité parfois suivant les scénarios) et le grotesque gratuit.
(à éclaircir)

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4-02/01

De base je ne suis pas particulièrement un gourou de Cronenberg, que je trouve passablement surcoté par la secte cinéphile francophone, chose assez risible particulièrement au regard des raisons qui poussent à l'appréciation immodérée de crocro.
A savoir que le monsieur serait un n'ôteur voyez. Il a des obsessions, des thématiques, c'est le roi du body horror, de l'anti spectaculaire et compagnie.
Calmons-nous, le bougre se débrouille bien dans quelques films mais s'inscrit dans son époque. Réaliser 'Rabid' en 1977 ça a rien de fou ou de précurseur. Saluons toutefois l'effort de faire la production de ce film fauché dans un petit pays comme le Canada.

Mais c'est assez 'chiant' en fait. J'ai rien contre les films sans action, ce qui n'est pas le cas ici puisqu'on suit quand même les péripéties d'une jeune femme habitée par une sorte de parasite qui la pousse à tuer des gens et répandre une 'rage'. J'adore la manière dont le film (et le scénario, et David) élude complètement de creuser, justifier ou apporter du grain à moudre à son histoire... un micro dialogue où un personnage, téléphonant à un des principaux protagonistes lui dit ''oh mince si vous pouviez lire ça c'est fascinant'' (à propos du cas de la jeune femme). Puis hop.

Laissant ainsi le film dans une sorte d'atmosphère quasi surréaliste, bis et mal foutue, alternant des phases grotesques de 'poursuites' escargotesques, d'épidémie dramatique gagnant tout un Québec -tabernacle- fauché aussi bien par le manque de budget du film que par la pertinence de ce qui nous est donné à voir. Reste une imagerie pas désagréable de l'actrice principale déambulant ci et là l'oeil hagard et les formes en évidence.

4 et je suis très gentil.

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5-02/01

Premier film de notre ôteur Crocro et encore ce problème de rythme. Je veux bien que ça soit propre à chacun, on a tous un tempo différent, mais là l'apparent soucis tiens plus de la conception même du film. Ça commence par la direction des acteurs (sans avoir vérifié ça fleure bon la post-prod pour les 3-4 des dialogues), le montage (respirations, étirement des plans et de l'action) et le manque flagrant d'audace une fois que tout les éléments dramatiques sont installés.

Autre chose détestable c'est la facilité crasse avec laquelle nous sont présentés les enjeux dirais-je ''philosophiques'' ... oui il parait que Cronenberg est un cinéaste cérébral, à part jouer sur mes nerfs et me filer une migraine à la vision de la plupart de ses films pour cause d'exaspération je cherche encore à savoir pourquoi ce qualificatif.
Attention suspens; une citation sur un frigo (“Sex is the invention of a clever venereal disease”) devant lequel un type mange un cornichon de façon purement gratuite et une longue exposition verbale pour clarifier pourquoi un docteur cinglé à créé un parasite pour transformer les humains en d'insatiables partouzeurs. Très malin et d'une grande subtilité.

Je salue tout de même quelques plans bien trouvés, comme le final pris depuis des hauteurs permettant de mettre en évidence la tour (pénis) et sa base de laquelle se disperse les humains guidés par le parasite et qui vont contaminer le reste du pays.

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6-03/01 de 7 à 6

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7-05/01 (rien le 04/01)
La création sans amour n'est rien.

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8-05/01

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9-05/01

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10-06/01

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11-06/01

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12-06/01 de 8 à 6

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13-07/01

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14-07/01

La porte ne s'ouvre plus, le temps s'est arrêté. Magnifique thème musical. Un n&b tranchant qui ne confère pas de 'misérabilisme' et qui contraste avec l'ambiance Strip-tease.

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15-09/01 (rien le 08/01)

Enième brassage de vent sur le sujet dont le développement a pour objectif que de définir clairement l'ennemi et de marteler la propagande.

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16-09/01

Evidement que les parties de reconstitutions historiques font toujours un peu tâche dans ce genre de production TV, ça sent le cheap et ça n'apporte pas grand chose. Mais mine de rien sur un sujet aussi "banal et pointu" j'ai pas mal appris et le film m'a captivé pas forcément à cause de mon ignorance sur le sujet mais parce qu'il parvient à maintenir l'attention de bout en bout en étant pertinent sur de multiples disciplines (ingénierie, histoire, sociologie, architecture et Art de manière générale).

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17-09/01

Le documentaire (de presque deux heures quand même...) s'enfonce de lui même dans un ridicule des plus obscènes quand il s'agit de traiter de l'Iran des ayatollah et de leurs ramifications islamico-terroristes au travers le Moyen-Orient.

Autant de complaisances sous couvert d'antisionisme c'est assez honteux. Néanmoins la qualité de ce film est d'exposer de manière chronologique les faits clés de cette saga dont nous verrons prochainement le dénouement.

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18-09/01

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19-09/01

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20-09/01

Deux choses à retenir de ce documentaire. La première est que le gluten, mis à part chez les cœliaques, n'est pas un problème, chose qui parait évidente dite ainsi mais qui ne l'est pas forcément tant il est facile de discréditer cette protéine ''non assimilable'' et pourtant fort utile.
La seconde est que les coupables de ce qui s'apparente à une épidémie d'intolérants-sensibles au gluten, se cachent -forcément- dans nos méthodes de production agro-alimentaire, à commencer par des pratiques totalement scandaleuses comme la dessiccation au moyen d'herbicide tel le glyphosate afin ''d'optimiser'' les récoltes. Mais aussi par la surutilisation de produits céréaliers et de gluten dans l'agro-industrie.

Par son cheminement narratif proche d'un policier, brossant le spectre de différents suspects, le film parvient à captiver de bout en bout l'attention et dissèque les différents enjeux qui se cachent derrière le lobby -qui n'est pas un gros mot- céréalier contemporain.

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21-09/01

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22-09/01

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23-11/01 (rien le 10/01)

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24-11/01

Ce documentaire en deux parties (série comme on dirait sur senscritique, grotesque) parvient à brosser en deux heures l'aspect le plus primordial de l'or noir; ses conséquences sur la géopolitique internationale et par extension l'esquisse clair du monde qui est le nôtre.

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25-11/01

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26-11/01

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27-11/01

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28-12/01

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29-12/01

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30-12/01