►2025

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L'insert de la fin du premier au début du film ne fait que rendre plus impressionnante la transition rapide vers le quasi-nanar. Les effets spéciaux, les masques, le traitement des thèmes, y a rien qui va

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Étonnamment réussi malgré la rupture de ton et le scénario extrêmement casse-gueule, mais disons que son ambition mesurée limite son intérêt.

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On va pas se mentir, il y a plein de trucs qui vont pas (notamment le montage qui est éclaté), mais l'esthétique de ce film est folle, j'adore.

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Bon y a plein de trucs qui vont pas, mais j'apprécie quand-même l'esthétique globale du film, le retour aux grands espaces et au post-apo.

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A la fois captivé par certaines images très fortes et un peu froid devant le grotesque (surtout dans le sound design) et les inévitables jumpscares surement inévitables dans ce genre.

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Direct dans le top des meilleures thrillers politiques ET des meilleures comédies françaises (j'ai beaucoup ri, chaque démenti est une farce, à peine aidée par l'excellent travail de montage !)

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J'avais un peu peur de finir sur celui-ci mais il y a quand-même plein de trucs intéressants : l'origin story, les costumes et décors, le parti pris de faire ressortir un peu plus l'animalité des singes. Par contre dans le détail plein de trucs ne marchent pas : l'écriture du scénario et des personnages (top des triangles amoureux les plus pétés). Il y a aussi un entre deux un peu gênant dans le jeu des singes, entre articulation et expression difficiles et surimposition de vrais cris de singes... Le twist final référence au livre est cool, le problème c'est plutôt qu'il arrive comme un cheveu sur la soupe après une résolution un peu bâclée.

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Franchement, si on aime le Seigneur des Anneaux, c'est un visionnage très intéressant, avec un certain nombre de partis pris artistiques intéressants dont un certain nombre ont inspiré Peter Jackson par la suite. Bien sûr, presque tout est raté : l'animation notamment laisse souvent à désirer (mais les décors peints sont souvent magnifiques !) et le rythme est haché, certaines scènes sont trop longues alors que d'autres ne posent même pas les enjeux.

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3 points pour la chanson When there's a Whip, there's a way ( www.youtube.com/watch?v=YdXQJS3Yv0Y ) qui est absolument fantastique, à part ça pas grand chose à sauver, entre le scénario qui prend comme postulat que le film précédent n'a pas existé et qui se débat dans son propre piège et les voix off omniprésentes pour rattraper l'animation inexpressives c'est assez douloureux.

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En tant que profane peu fan de Bob Dylan, j'ai apprécié ce film qui met en contexte certaines de ses plus grandes chansons. Ça m'a donné envie de refaire un petit tour dans sa discographie mais aussi convaincu que je ne serai jamais un grand fan de sa musique ni de son attitude.