24 images x 2018

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30 décembre

• Revu

Finir l'année avec Paddington et Sally Hawkins ou comment finir dans la douceur.

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24 décembre

Joyeux Noël! (lol)

À part le design de Michael Myers, ce film n'offre rien. Et cette introduction incroyablement débile...

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20 décembre 2018

• Cinéma

Animation géniale. Plein de bonnes idées comicbookiennes. Fun. Mais au final, toujours la même soupe, le couvert est juste plus beau et moins cheap que la merde Marvel habituelle. Toujours pouvoir, responsabilités, on perd un être cher, on surmonte les épreuves, l'amour, l'amitié, etc. J'ai hâte que la vague des super-héros passe. Mais Nicolas Cage en Spider-Noir, c’était a nice touch. Mais cette blague du film genre tout le monde est Spiderman, mais le héros se fait un peu dégager parce qu'il n'est pas assez un bon Spiderman. Wow. Vraiment, les gens ordinaires me manquent.

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15 décembre 2018

• Cinémathèque

Le festival des humiliations. C'est ce qui me freine parfois dans certains Bergman, ce trop-plein. Mais je reste à genoux devant Sven Nykvist.

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14 décembre 2018

• Cinémathèque

L'amour naïf, celui de jeunesse, n'est au fond pas une chose très cinématographique. La candeur lasse. Je préfère quand on est du côté de Scènes de la vie conjugale.

Ce que je retiens surtout: https://i.pinimg.com/originals/8d/52/9b/8d529b9a85f0ed4441161e59be250382.jpg

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12 décembre 2018

• Cinémathèque

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11 novembre

• Revu

Je me pose souvent cette question: est-ce que je préfère le commentaire en anglais ou en français?

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9 novembre

• RIDM

Je ne peux que saluer la patience de la cinéaste et sa volonté de développer un arc narratif tout en montrant un peu de la réalité palestinienne.

Et puis ce sentiment étrange de revoir Balata Camp sur un écran de cinéma.

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8 novembre

• Au cinéma

C'est très laid.

Je préfère repenser à Akerman, Benning, Frampton...

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30 octobre

• Cinémathèque, 35mm

Par ses longueur, sa langueur et un refus de la voix-off, Visconti parvient à créer un état étrange de transe galvanisé par la beauté des lieux, des êtres, de la musique et des images, une transe qui se brise quand c'est justement trop long (sérieux, le saltimbanque édenté, il n'avait pas besoin d'être aussi présent). C'est envoûtant, bien que malaisant.

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29 octobre

Avant, un bouffon brûlé pouvait faire peur... de nos jours, il suffit juste de regarder les résultats d’une élection présidentielle dans un pays d’Amerique du Sud.

Sinon, je ne me rappelais pas de la débilité profonde de tous les personnages, de la mère surtout, je ne me rappelais pas des règles d’horreur sans subtilité de la sexualité et de la religion, je ne me rappelais pas comment ce film annonçait Home Alone, et je ne me rappelais pas à quel point Freddy était risible et terriblement incompétent. À un moment, je pensais qu’il voulait juste chatouiller l’héroïne. Et pourquoi tu cours quand tu peux apparaître où tu veux? Je comprends que tu sois joueur, espiègle comme un chaton et tout ça, mais quand même... Ah, pas toujours facile d’accepter l’illogisme des films d’horreur.

Après, oui, la prémisse est toujours aussi géniale et il y a des images fortes ancrées dans notre panthéon de l’horreur, et c’est déjà pas mal.

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21 octobre

• Revu

Il y a cette danse frénétique et maladroite, il y a cette caméra se promenant le long d’une façade sans jamais, jamais entrer, il y a cette scène dans un pré et Gabin courant après un train, et cette montée avant cette chute, et cette réplique finale. Et entre tout ça, un peu d’ennui, et mon cœur un peu brisé de voir que revoir un film qui nous a conquis dans le passé, nous le ternit un peu dans le présent. Mais damn qu’Ophüls savait filmer.

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17 octobre (et 3 novembre)

• Cinéma (100e film de l'année)
• Revu

Quand Scotty retrouve Madeleine alors qu'elle sort de la salle de bains, on ne voit que les lettres MP du néon Hotel Empire. MP, comme Marcel Proust. Ne me dites pas que c'est un hasard. Ah, tant d'images ancrées dans notre histoire... Hitchcock avait vraiment pris le contrôle de l'univers, et le garde encore.

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14 octobre

• Festival du Nouveau Cinéma

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8 octobre

• Festival du Nouveau Cinéma

Le plaisir de retrouver Vimala Pons.

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8 octobre

• Festival du Nouveau Cinéma

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8 octobre

• Festival du Nouveau Cinéma

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8 octobre

• Festival du Nouveau Cinéma

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7 octobre

• Festival du Nouveau Cinéma

Au moins, c'est plus drôle que Nymphomaniac.

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6 octobre

• Festival du Nouveau Cinéma

J'aime l'absurde et es jeux avec le temps, c'est pour ça.

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5 octobre

• Festival du Nouveau Cinéma

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27 septembre

<3

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27 septembre

Dans l'avion, de Tel-Aviv à Montréal.

Je préfère voir Spielberg travailler que le résultat.

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27 septembre

Dans l'avion, de Tel-Aviv à Montréal.

Claire Denis m'a rappelé ma tendance au mépris pour l'amour.

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12 septembre

Dans l'avion de Montréal à Tel-Aviv.

(avec un documentaire HBO sur Steven Spielberg et des passages de Die Hard)

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8 septembre

NÉCESSAIRE.

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2 septembre

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31 août

Les images sont belles, voir Chishū Ryū et Yūharu Atsuta est extrêmement touchant, et en plus, il y a même une apparition de Chris Marker dans le bar La Jetée... Tokyo, Ozu, Chris Marker, je devrais être aux anges! Pourtant... Pourquoi, Wim, n'as-tu pas donné le commentaire de ton film à une autre voix que la tienne? Chris le faisait parfois, et sa voix était magnifique. Ça n'ôte en rien le côté personnel, tu sais.

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28 août

Koudelka est une icône de talent et d'humanité au sein de Magnum mais aussi dans le monde de la photographie, et ce documentaire le confirme bien. Et les silver balls du mec à se tenir devant un checkpoint pour prendre des photos, et continuer alors que la tour lui somme d'arrêter. Sérieux, j'avais peur pour lui.

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21 août