2.0.1.9

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NETFLIX
Vu avec l'ensemble des fins disponibles (avant qu'une possibilité secrète soit révélée). Intéressant comme expérience, mais bon si on a déjà joué à un jeu vidéo ou à Livre dont vous êtes le héros, le côté révolutionnaire est bien amoindri. N'empêche que l'intrigue méta est agréable à suivre et on prend quand même un peu de plaisir à se perdre et tout essayer.

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NETFLIX
C'est nul. Concept de base prometteur mais le film tourne à vide sur les 3 idées qu'il a, l'actrice est pas mauvaise mais n'a rien à jouer, la fin nous est balancée à la gueule sans aucune explication parce que personne n'a pensé à l'écrire... Décevant, heureusement que c'est court.

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NETFLIX
Roger Stone est tellement bigger than life qu'on a du mal à y croire... Pourtant, ce trou du cul 2000 a modifié pour de bon la politique non seulement américaine, mais aussi dans tout l'Occident, en y infusant la haine, la méfiance, le mensonge et la tromerie. Un docu qui tape fort et qui fait émerger un tout nouveau système, The Stone Age.

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CINOCHE
C'est dommage, on avait un sujet en or, un mix plutôt cool entre film d'époque, de cape et d'épée, policier, historique... et ce gros beauf de Richet enchaine les plans dégueulasses, les bastons illisibles, les dialogues débilos au possible, les acteurs sont horribles, sauf Cassel qui surnage un peu au-dessus du fumier.
ET L'ALSACIEN DE L'HISTOIRE EST JOUÉ PAR UN PUTAIN D'ACTEUR ALLEMAND C'EST PAS CROYABLE ÇA.

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NETFLIX
Origines du National Lampoon et portrait d'un comique brisé en quête de reconnaissance paternelle, le film est une comédie plutôt honnête, avec pas mal de jeunes (et moins jeunes) talents, mais c'est quand même dommage de parler de gens qui ont révolutionné l'humour avec un film autant "dans les clous" à quelques exceptions prêt... Ça donne envie de voir le docu en tout cas.

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Nan mais sans déconner, c'est quoi cette prothèse de maboule qu'ils ont mis dans la bouche de Rami Malek ? On dirait qu'il joue tout le film avec une patate chaude dand la tronche, il a toujours l'air à deux doigts soit de l'avaler, soit de la recracher... La meilleure façon de kiffer cette bouse c'est de se mettre les Greatest Hits de Queen sur Spotify. J'ai vu des concerts d'Aya Nakamura sur Snapchat filmés avec plus d'idées et de génie que ce truc.

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Dans GUY, les choix de mise en scène, de cadre, de positionnement de caméra racontent tout : le regard est délicat, en retrait, et illustre à merveille la distance entre le réalisateur et ce père qui ne se doute de rien, les jugements et leurs évolutions dans le regard de son fils, la volonté de comprendre cette star du passé, plus vraie que nature grâce au jeu d'Alex Lutz (et les maquillages de fou)... Un très beau film.

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Oh putain que c'est long, prétentieux et boursouflé... quelques images un peu glauques relancent périodiquement l'intérêt pour le destin des personnages, mais globalement j'en ai jamais eu grand chose à foutre. Et le final m'a fait hurler de rire, je ne pense pas que ce soit l'effet recherché.

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Une intrigue vraiment trop prévisible, basée sur un MacGuffin des années 2000, du hacking pour les nuls où tout ce qui est un peu électrique peut-être piraté... C'est dommage parce que Claire Foy est top, Lakeith Stanfield aussi, et Fede Alvarez arrive à créer des ambiances visuelles assez cool et glauques. Mais ça ne suffit pas...

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Dès la première rencontre entre Bonnaire et Bisset, la tension est insoutenable... Thriller campagnard slow burn sur fond de lutte des classes, La Cérémonie déroule implacablement son intrigue, avec des comédiens et comédiennes incroyables. Un vrai film marxiste comme on en fait plus.
Avec en prime ce rapport à la télévision que je ne sais pas trop comment analyser : extrêmement présente dans les scènes des "deux côtés", il faudra le revoir pour mieux saisir ce que Chabrol voulait développer comme idée.

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REVU - NETFLIX
On peut voir 1000 films, 1 fois, mais on ne peut pas voir 1 film, 1000 fois... Enfin on peut essayer.

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REVU - NETFLIX
Juste pour le plaisir de ces environnements cyberpunks complètement hallucinants, et le sentiment d'ampleur et de majesté dans la réalisation. Incroyable.

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C'est l'affiche du film qui m'avait donné envie de le voir, ainsi que la tagline "El Mal Existe", et effectivement, une ambiance surnaturelle, fantastique plane sur ce thriller politique argentin. Dans les succursales du pouvoir tout est éclairé comme un film d'horreur, la musique est menaçante, la confusion plane.
Juste dommage que la conclusion du film tombe si rapidement, on a l'impression qu'il y avait encore de la matière pour 2 ou 3 films.

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REVU - YOUTUBE https://www.youtube.com/watch?v=aHCZr5baQaY

Toujours aussi dinguo, plongée dans l'enfer de la production hollywoodienne, combat entre passion et business, choc entre créateur et exécutants.

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NETFLIX
Netflix continue son OPA sur les réalisateurs de genre indé : après Saulnier, Garland et Evans, c'est au tour de Dan Gilroy (l'excellent Nightcrawler). Malheureusement ça donne assez souvent le même genre de film, un essai intéressant, souvent original, mais auquel il manque quelque chose... Ici on a le milieu de l'art contemporain, des intrigues entremêlées et vaines à la Easton Ellis, des acteurs excellents, mais l'ensemble manque cruellement de liant et le sous-texte, passionnant, aurait pu être mieux exploité. Le grand film féroce et acide sur le milieu d'un art phagocyté par les égos et les lois du marché devient donc une simple curiosité, qui aurait de toute façon été un échec dans les salles.

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NETFLIX +1 + keur
Plus je revois ce film, plus j'en oublie les défauts pour retrouver le plaisir d'être avec ces personnages... On retrouve leurs traits particuliers, même avec fatalement moins de temps à l'écran pour chacun, le ton de Firefly est toujours aussi cool, même avec cette histoire un poil plus sombre.
Alors oui ça doit être impossible à mater sans connaitre la série, mais quand on est en manque de Mal Reynolds et toute sa bande, ça fait très très bien le taf.

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CINOCHE
Retour devant et derrière la caméra pour Eastwood, 11 ans après le sublime Gran Torino. Mais LA MULE n’est pas un testament crépusculaire (il est mort à l’écran dans Gran Torino justement), bien au contraire, dans cette fable libertarienne où se mêlent personnage public (sa fille à la ville joue sa fille à l’écran) et héros de Cinéma, Clint raconte surtout le présent, les instants de vie, les plaisirs simples, la recherche de liberté, et au final le paradoxe d’être un cow-boy solitaire mais toujours en recherche d’une communauté à recréer (de préférence en dehors de l’Etat)...
Il n’est sans doute pas immortel, mais ses films le sont.

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Ouais c'est une comédie française, de bonne facture certes, mais ça reste une comédie française, ça casse pas 3 pattes à un canard.

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NETFLIX
Petite envie d'Eastwood après THE MULE, on commence light avec ce thriller politique bien troussé, qui aurait pu être juste anecdotique sans la tronche de Clint, qui arrive à poser un personnage à l'instant où il entre dans le champ...

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NETFLIX
Comme tout bon docu, il dépasse son sujet : en faisant le portrait de Billy, cet entrepreneur star qui s'est lancé dans un projet beaucoup trop grand pour lui (à dessein ?), c'est finalement toute une génération Instagram, de millenials en recherche de quelque chose de "spécial" et d'exclusif qui est passée au microscope.
C'est d'ailleurs très bien résumé par un des intervenants : le festival s'est monté sur des carrés oranges postés par des influenceuses sur Insta, et s'est fait descendre par une photo d'un sandwich postée sur Twitter.
Génération Nan-nan.

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NETFLIX
Très intéressante plongée dans l'Histoire de l'internet, son évolution, et possiblement sa fin? Faut parfois s'accrocher à son slip pour comprendre ce que racontent les mecs, mais j'adore la voix posée d'Herzog dans ses docus, et le côté exigeant de l'ensemble.

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NETFLIX
C'est difficile de savoir où le doc veut en venir... Faire des portraits de personnes seules dans leur vie mais suivies par des millions de gens ? Parler de la vacuité de l'époque et de l'entertainment ? Y'a des moments plutôt sympas mais l'ensemble reste globalement vain.

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NETFLIX

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Enfermé entre la thématique de l'héritage qui lie les Pères et leurs descendants/successeurs, le film n'est qu'un remake trop emprunté de Rocky III déguisé en suite du 4 (soit pas franchement les meilleurs). Ne sachant pas trop quoi raconter, ni comment le faire, on perd l'empathie qu'on avait pour Adonis au profit de Viktor, rejeton chien de la casse élevé aux poings dans un environnement dur et aride, qui n'est malheureusement pas assez traité dans le film. Stallone est relativement transparent, vu qu'il avait tout raconté dans le premier, mais Lundgren arrive à surprendre, et à émouvoir. Donc ça ne peut pas être si mauvais.

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Petite musique de chambre baroque, sardonique et cruelle magnifiquement interprétée par 3 actrices sublimes (et une réalisation au cordeau), trois personnages odieux qui illustrent la bassesse humaine et la soif de vaine reconnaissance, tour à tour couvertes de boue, de sang, de sueur et de honte. Enfin un film en costumes qui ne sent pas la naphtaline, mais plutôt le soufre.

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C'est fou on a plus l'habitude de voir un film de super-héros qui innove, pas tant sur le fond ici que sur la forme, mais ça fait un bien fou. Et surtout le film dose hyper bien le méta (coucou Deadpool) qui ne prend pas trop de place, ne nous sort pas du film, mais au contraire, renforce la mythologie et la richesse de l'univers.

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Détonant mélange d'animation japonaise et française, l'univers de la BD est hyper bien rendu à l'écran, le scénario se déroule très bien dans cet espèce de syncrétisme de genre, entre la SF et le film de gangstas. Les interprètes sont bons... mais ça m'a un peu gêné de reconnaitre si clairement les voix d'Orelsan et Gringe qui ne font pas d'efforts particuliers pour jouer la comédie.

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Je m'attendais à plus foufou, mais Adèle Haenel et Pio Marmaï sont hyper bons ! ça fait du bien de voir une comédie française qui ose un peu sortir des sentiers battus et qui utilise les coupes et le montage pour faire de l'humour. Qui fait du cinéma quoi. Mais bon on a les Tuches et Qu'est-ce qu'on a fait à mes couilles pour satisfaire le public donc ça va, pas la peine de se prendre la tête.

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Errance enfantine dans le parc de la Villette qui se mue par moments en petit manuel d'éducation au monde extérieur (la scène du parc avec Paul), un condensé de bienveillance, de douceur, un cocktail qui se fait rare dans ce monde de brutes.

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REVU / +1
Alors, vous vous souvenez de la critique précédente sur la douceur et l'errance enfantine ? Eh ben ici c'est tout l'inverse, les enfants portent le diable au corps, les parents sont mabouls + et le bouc de la ferme murmure aux âmes des pêcheurs. Succession de tableaux d'une beauté terrifiante, de moments de violence sèche, et de visions apocalyptiques sporadiques... Hâte de voir où Robert Eggers va aller après ça.