C'est quoi Ludwig von 88 ?

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Avec Mon coeur s'envole, il figure sur un EP sur les Jeux Olympiques de Séoul.
Un skeud sur les JO bordel.

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Présente sur le premier album.
C'est vraiment l'époque où, à la rigueur, on pouvait coller une étiquette "punk" sur le groupe. Cette chanson est pas vraiment marrante d'ailleurs, au contraire du reste de la disco.

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Redécouvert en live. C'est vraiment le titre qui aurait du être le tube des LV88.
"Quand je ferme les yeux, le monde est soumis
Abreuvs sont nos sillons, par le sang la mort
L'emprise du mal, l'emprise du bien, lequel des deux ira plus loin
Destins bancals, rêves incertains, lequel des deux est bon à rien?"

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Et en parlant de tube, le voilà. Certainement l'une des chansons les plus bêtes que je connaisse : pas de paroles, deux accords. Mais ça marche en concert.

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"La chanson du petit indien"

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Ouverture du set lors du concert à Nancy.
Beaucoup de foirages pour synchroniser la gratte et la boite à rythmes, idem avec Louison Bobet.
A part ça, la chanson raconte que Oui-oui a failli mourir.

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Issu de l'album de reprises "17 plombs pour faire pêter les tubes".
Karim (le chanteur) disait à ce propos, dans une interview chez Noisey :
"Bon, [cet album]-là, ce n'est que des reprises, hein ! Le but était de faire des reprises les plus éloignées possibles de l'original. On a donc fait « Stairway To Heaven » en death metal et des gens nous ont dit qu'on avait manqué de respect envers Led Zep."

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En vrai, peut-être ma chanson préférée du groupe.
Des paroles étonnamment poétiques et jolies.

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Tantôt en français, tantôt en anglais dégueulasse.
Si j'ai bien compris, c'est une reprise.

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Encore une chanson triste des Ludwig. Je pense que si t'es allergique au côté "festif débile" des zigotos, la lourdeur de la thématique peut être une bonne porte d'entrée sur ce qu'a fait le groupe.
Découverte indirectement en live par Los Tres Puntos qui l'ont reprise.