Dans mon iPhone en 2020

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5 janvier :

Premier album de l'année, Girlpool qui montre une certaine évolution dans son style en s'éloignant du Lo-Fi pour aller chatouiller un peu le Dream Pop. Un album sympa qui selon moi n'atteint pas la fraicheur des débuts de Before the World Was Big.

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11 janvier :

Malheureusement pas convaincu par cet album, un style et flow trop proche de ce que l'on trouve sur ses EP pour vraiment marquer un tournant musical, et on poursuivra ce reproche au niveau de la production qui à nouveau ne se démarque pas franchement du reste du rap français. Les textes restent relativement bien écrit et c'est globalement la qualité qu'on lui reconnait.

Népal était un bon artiste qui aurait surement fini par sortir un classique original sans cette triste tragédie.

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12 janvier :

Look like tout les morceaux de rap US à la mode en ce moment.

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17 janvier :

Difficile de trouver des bons points à Music To Be Murdered By tant cet album est faible. S'il veut se présenter comme un "concept album" dans la lignée de Relapse, il n'est finalement qu'un ramassi "d'expérimentations" (dans le mauvais sens) balançant des prods particulièrement mauvaises, une logique d'enchaînement assez étrange, et des flows répétitifs.
C'est un manque cruel d'originalité dans la lignée du Eminem des années 2010.

Quelques morceaux restent tout au mieux sympathiques, mais seront oubliés d'ici quelques semaines.
On en arrive au point où ce manque total de musicalité rend la chose complètement inécoutable d'une traite, et alors qu'est-ce que c'est looooong.

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17 janvier :

Première belle découverte de 2020 avec cet album d'Alexandra Savior, productions majestueuses accompagnées d'une voix qui rappelle par moment les meilleurs instants de Lana Del Rey, dans une pop psychédélique lancinante et soignée. Un vrai plaisir.

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19 janvier :

Un dernier album d'un étrange effet, moi qui n'ai jamais été un grand fan de Mac Miller, j'avoue mettre laissé surprendre par qualité de celui-ci.

Une ambiance joyeusement mélancolique se dégage tout au long des 50 minutes de l'album finalement assez loin du rap et plus proche de la néo-soul. Production et écriture de qualité en font déjà l'un des meilleurs disques de l'année.

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21 janvier :

Un album assez intéressant qui demandera pas mal de temps pour être plus apprécié, je pense. Le coté expérimental fonctionne bien mais j'avoue ne pas être totalement convaincu par tout les choix, en tout cas 070 Shake, en plus d'être bonne une rappeuse, à l'air d'une artiste de talent.

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22 janvier :

J'ai bien aimé les passages un peu plus hard et inspiré métal, pour le reste j'ai trouvé ça assez long, de la pop finalement très classique et des paroles qui manquent de renouveaux.

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26 janvier :

J'ai du tomber sur la mauvaise version parce que j'ai écouté 14 fois la même musique pas ouf :/

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9 février :

Alexandra Savior restera très certainement dans mon top 10 découverte de l'année.

Un premier album magnifique qui présage déjà le sublime The Archer, bien écrit, chanté d'une voix superbement posée sur des mélodies entrainantes. La recette est certes classique, mais fonctionne parfaitement bien.

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12 février :

Bon concept (pas sans rappeler MF DOOM) qui montre tout le talent de Kenny et surtout celui de Denzel, évidemment on sent que c'est fait sur une courte durée, mais c'est 22 minutes ultra efficaces, au même titre que ZUU l'année dernière.

Denzel est très productif en ce moment et ça pourrait être cool qu'il se pose un peu pour sortir un projet aussi travaillé que TA13OO qui reste de loin sa meilleure sortie.

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13 février :

De l'horrorcore comme Denzel sait y faire.

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15 février :

Je n'étais déjà pas super fan de ce que j'avais écouté de Tame Impala, et là je trouve ça franchement ennuyant et pas bien original.

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28 février :

Bon, voilà encore un album de rap français avec lequel j'ai du mal à comprendre le succès. Pourtant l'idée d'un "Yeezus à la française" avait de quoi me donner envie, allant jusqu'à pomper la pochette, inspiré de l'autotune (parfois très raté il faut le dire) et des instrus glitchées de Ye. Pourtant on se retrouve assez vite à tourner en rond dans un album assez vain et vide de sens, en se voulant (trop) complexe et (trop) réfléchi, c'est juste un aspect "branlette" qui en ressort (l'esprit de Damso plane sur le rap francophone...).

Si il faut lui accorder des instrus plutôt réussies, le rap de Laylow reste finalement assez générique, voir en retrait tant ça sonne le déjà vu, aujourd'hui en 2020. Parfois ça essaye d'être plus sentimental et émotionnel, mais ça ne fonctionne pas car aucun décalage n'est créé avec le reste, comme s'il y avait encore ce truc de ne pas vouloir se montrer trop sensible. C'est dingue que certains rappeurs aujourd'hui aient besoin de rester "strong" et "insensible", même quand ils essayent de l'être (un complexe à cacher ?)

Enfin bref je vais quand même forcer les réécoutes (j'en ai déjà pas mal pourtant...), parce que j'avoue apprécier le parti pris (bien que trop long) du rap "expérimental" en France.

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21 mars :

Sympa mais assez répétitif, et j'avoue avoir du mal à écouter autre chose que Pumped Up Kicks qui fonctionne toujours autant après ces presques 10 années.

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22 mars 2020 :

Assez déçu pour l'instant, j'ai beaucoup de mal à voir où ça va exactement, je trouve que ça manque de logique et globalement c'est bien moins surprenant que Because the Internet, et surtout Awaken, My Love.

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28 mars :

Rien de particulier à dire à part que c'est pas franchement un style que j'apprécie.

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27 mars :

Un petit album pop, doux et coloré.

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29 mars :

Un album pop très cool aux inspirations rétro qui parviens à être intéressant pour sa maîtrise générale.

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10 avril :

Étonnant retour de The Strokes qui livrent un album réfléchi et élégant, sans fioriture en allant droit au but : 9 morceaux puissants, émouvants et bien écrits.

En respectant assez l'ambiance générale du groupe, on retrouve quand même quelques passages originaux et une utilisation des synthés qui propose enfin quelque chose d'autre qu'une simple copie des années 90.

Les réécoutes restent de mise, mais je pense que je le préfère même à Is This It.

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15 avril :

Un air joyeux et drôle survole tout un album qui a pourtant bien des choses à dire.

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15 mai :

Ça fait un moment que j'écoute Freeze Corleone, mais je n'avais jamais pris le temps d'écouter tout l'album d'une traite et il faut avouer que ça tabasse pas mal. Les prods sont cool, mais c'est surtout le flow de Freeze qui est vraiment impressionnant, tout en jeux de mots il y place ses originales références qui demandent parfois plusieurs réécoutes avant de bien assimiler le délire. On pourrait reprocher une trop grosse répétition surtout dans cette mauvaise manie à tout comparer (comme si j'ai, j'arrive comme, j'suis comme, etc.), mais c'est contrebalancé par tout le vocabulaire propre à Freeze que l'on entend presque pas - pour ne pas dire nulle-part - ailleurs, s/o les francisations et changements de prononciation.

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28 mai :

Bel album mais un peu répétitif.

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29 mai :

Album hommage au jazz rap, mais que je trouve assez décevant et répétitif.

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28 juin :

Un album en plein écho de l'actualité, toujours très hardcore, RTJ s'autorise tout de même quelques passages plus rock et électro qui fonctionnent très bien, d'où la présence de Zack de la Rocha et Josh Homme notamment. Certainement la meilleure proposition du groupe.

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5 juillet

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25 juillet :

Un bon album mais je trouve qu'il lui manque quelque chose, c'est très efficace sans jamais être marquant, rien à jeter mais rien d'exceptionnel non plus.

'ai dit 3 fois la même chose... bien à l'image de l'album donc !

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3 aout :

Bon début, puis perte d'intensité et d'intérêt.

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11 septembre :

8 pour l'instant mais c'est tellement dommage d'avoir des feat aussi mauvais, Despo ressemble à un crackhead de porte de la Chapelle et Heenok... plus loin dans le cliché de son personnage tu meurs... heureusement que l'énorme feat avec Alpha Wann est là, et celui avec Stavo plutôt cool aussi.

Sinon c'est vraiment du Freeze Corleone poussé à son maximum, au point où on risque presque la répétition (ça se ressent dans les prods surtout).
Album de l'année, non, ça aurait pu être le cas sans les mauvais feat, ce qui aurait aussi raccourci cet album un peu trop long.

Freeze Rael - Hors Ligne - Rap catéchisme - Numérologie - Chen Laden >

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18 septembre :

Aller c’est bon flemme, j’vais même pas écrire de critique parce qu’on va encore m’insulter mais sérieux, quelle daube.