Il faut un début à tout

Annotation :

"On a le droit de faire ça ?!?"

Tels étaient les premiers mots qui sortait de ma bouche à l'écoute de ce morceau. C'était la première fois que j'écoutais de l'IDM/Drill 'N Bass et OH BOI je n'écoute que ça depuis ce jour là.

Annotation :

La chose la plus frustrante c'est tout d'abord de commencer Clark avec un morceau qui ne lui ressemble pas du tout tout en suintant tous ses gimmicks, l'autre chose frustrante c'est que je ne sais pas comment ce morceau s'est retrouvé dans une de mes playlists Youtube donc jamais je ne saurais comment j'ai réellement découvert ce qui est aujourd'hui pour moi le plus grand artiste de tous les temps :)

Annotation :

Merci à Sleeping Dogs qui en plus de me faire découvrir Lorn, m'a aussi fait connaitre, Plaid, The Cinematic Orchestra, Battles, Andreya Triana, Bonobo, Loka pour ne citer qu'eux.

Et commencer Lorn avec Soft Room c'est un peu la même qu'avec mon expérience avec Clark, c'est à la fois un morceau qui n'a pas grand chose à voir avec Lorn mais qui possède tous ses codes. Et même si la musique en elle même ne m'avait pas fait devenir fou, c'est en cherchant sur le net d'autres morceaux du gars que je tombe sur Cherry Moon... Et Bordel à fion, quelle claque, la mélancolie morbide est pas aussi violente que dans l'album Ask The Dust mais y'avait déjà cette impression que chaque instrument est une voix qui dégueule toute sa haine et son désespoir, et c'est putain de beau.

PS: Quand en plus tu apprends que c'est Clark qui s'est occupé de mixer Nothing Else Matter où apparait Cherry Moon, y'a de quoi devenir fou.

Annotation :

Je ne sais plus réellement comment j'ai découvert OPN si ce n'est que c'était en me baladant sur des listes/top Sens critique. Et si officiellement le premier morceau que j'ai écouté du monsieur était la première track de son album R Plus Seven, si il y a une piste qui m'aura exploser la cervelle c'est bien Still Life et son "drop" qui te fait voyager en une fraction de seconde dans une autre dimension. il faut par contre mettre en garde, c'est un morceau qui a du sens que lorsque l'on écoute l'album dans son intégralité, sous peine amoindrir sa puissance évocatrice.

PS: Mention spéciale à Mutant Standard (de l'album Garden of Delete) qui, écouté la nuit avec de la fièvre, fut une des expériences auditives les plus impressionnante que j'ai pu avoir.