Les oeuvres musicales les plus joyeuses

Annotation :

Ce n'est pas la joie virevoltante d'un Mozart, d'un Vivaldi, d'un Bach. C'est la joie calme, voluptueuse, sûre d'elle-même. Ceux qui ont vu ce film qui parle de la foi et de l'espérance comprendront sûrement. Ennio Morricone livre ici une partition qui ressemble à celle du paradis. Nulle envie de danser ou de rire. Ce sentiment jubilatoire est tout interieur. C’est celui, peut-être, de la plénitude.

Annotation :

L'Ave Verum Corpus de Mozart, composé la même année que son requiem, celle de sa mort, est le pendant de ce dernier : une sorte de plénitude confiante et absolue s'en dégage. La joie calme et tranquille d'un homme serein et confiant en sa foi.

Annotation :

La force tranquille et sereine d'Edward Elgar fait de cette oeuvre une sorte d'hymne officieux du Royaume-Uni, un air optimiste, qui sait où il va et d'où il vient, avec une certaine noblesse.