Odyssée cinématographique 2021

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Vu pour la première fois.

Ça ne commençait pourtant pas trop mal. La scène d’intro est plutôt bien et donne envie de voir où Alexander Witt compte aller dans cette adaptation de RE3 qui ne dit pas son nom.
Malheureusement, la réponse arrive bien vite : nulle part. Inconsistant, se prenant terriblement trop au sérieux pour ce qu’il propose et oublié aussi vite qu’il est vu, RE Apocalypse mérite sa réputation catastrophique. Mention spéciale au Némésis qui tombe in love, même si depuis que j’ai fait Code Veronica ça me fait beaucoup moins rire.

Vu dans la nuit du 23 au 24 janvier.

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Vu pour la xième fois, avec 3 < x < 10.

Revoir la prélogie après la postlogie, c’est une expérience intéressante. Et cela commence dès le 1er épisode. J’étais déjà un assez gros défenseur de cette trilogie, sans que son contenu soit mon préféré de la saga pour autant.
Mais après le passage de Disney, les qualités de ces épisodes crèvent d’autant plus l’écran : quelle inventivité ! Chaque dizaine de minutes qui passe est plus inventive que la totalité de la postlogie. Le monde de Star Wars est riche, vivant, crédible. Quels décors somptueux. C’est ça Star Wars, un univers qui fait rêver. En sus, cela paraît bête à dire, mais on nous raconte une histoire qui a du sens, qui veut nous amener quelque part. L’OST comprend également son thème de légende, Duels of the Fate. C’est beau, c’est classe, c’est Star Wars.
Au rayon des points négatifs, Jar Jar est à la réflexion aussi insupportable qu’on le dit. Et le tout pourrait être mieux écrit, c’est indéniable. Reste que redécouvrir cet épisode une énième fois fut un sacré chouette moment.

Vu en deux fois, les 28 et 29 janvier.

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Vu pour la xième fois, avec 3 < x < 10.

J’avais un plutôt mauvais souvenir de Star Wars 2. Je me rappelle avoir été cruellement déçu il y 8 ans, lors de mon précédent visionnage. Cette fois-ci, le processus fut inversé.
Je lui reprochais principalement deux points : le premier, c’est Christensen. Bon, il est toujours très médiocre, on ne va pas se mentir. C’est sur le second point que je confronte un peu plus mon moi du passé : je reprochais l’énorme focus sur l’histoire d’amour. Certes, elle n’est pas très bien écrite et est relativement mal amenée, mais de nos jours je trouve ce focus bien plus logique et cohérent pour la suite de l’histoire. Lorsqu’on sait un peu plus à quoi s’attendre, ces choix ont du sens et servent l’histoire de la saga. On pourrait aussi arguer que les décors sont globalement moins beaux, mais Coruscant est tellement incroyable qu’elle suffit presque à elle seule pour tout le film selon moi. La montée en puissance de Palpatine est également habile. Et l’affrontement final entre Yoda et Dooku est toujours aussi classe.
En somme, Star Wars 2 reste un film bancal de par son écriture, qui oscille entre le franchement raté et le plutôt pas mal. C’est un film qui aurait pu facilement être beaucoup mieux. Mais, après la trilogie Disney, c’est un Star Wars qui fait quand même plaisir.

Vu en deux fois, les 11 et 13 février.

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Vu pour la xième fois, avec 3 < x < 10.

Le seul véritable défaut de cet épisode est définitivement le revirement bien trop rapide et peu crédible d’Anakin. C’est dommage, car si on excepte cette faille, tout y est : une histoire prenante et relativement bien écrite, qui possède ses moments magistraux. De l’exécution de l’ordre 66 aux combats contre Dooku, Grievous ou encore Dark Vador, en passant par des moments plus intimistes, Star Wars 3 a tous les ingrédients d’un très bon épisode de la saga. Difficile de mettre pause avant la fin de cette fresque illustrant la chute des Jedi et de la République. L’occasion de se rendre compte une nouvelle fois, après la postlogie Disney, de toutes les qualités de cette prélogie.

Vu le 14 février.

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Vu pour la première fois.

Le concept est génial, et il aura pourtant eu du mal à m’accrocher. Le héros, qui décide de faire croire à sa mère que le Mur n’est pas tombé (car il est tombé quand elle était dans le coma) est attachant, mais l’histoire peine à décoller. J’ai trouvé la première moitié longue et répétitive, et j’ai fini par ne plus vraiment croire en l’obstination insensée d’Alex alors qu’il est très clair que sa mère commence à comprendre ce qu’il se passe sans s’en porter plus mal pour autant. Le dernier tiers est plus intimiste et plus intéressant à bien des égards, mais les 2 heures du film m’ont semblé un peu longues, quand bien même je l’ai regardé en deux fois. Reste une belle idée, mais qui n’a pas tant de choses à raconter malheureusement.

Vu en deux fois, les 06 et 07 mars.

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Revu pour la xième fois, avec x quelque part entre 10 et 20.

Toujours un immense plaisir de revoir ce premier épisode. Plus de 5 ans après mon dernier visionnage, ce qui m’a le plus frappé est cette fois l’inventivité folle de A New Hope. Il suffit de repenser à tout ce qu’il a créé et ancré dans la culture pour en avoir le vertige. Si Star Wars est aussi intemporel, c’est en grande partie grâce à lui ; lui qui met en place toutes les fondations de la saga, le rendant d’autant plus incroyable.

Vu en 2 fois, les 10 et 11 mars.

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Revu pour la xième fois, avec x quelque part entre 10 et 20.

A chaque revisionnage de la saga, le constat est le même : l’Empire contre-attaque en est probablement l’apogée, atteinte dès le deuxième épisode. Une magnifique fresque épique et émotionnelle, toujours aussi impactante 41 ans plus tard.

Vu le 12 mars.

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Revu pour la xième fois, avec x quelque part entre 10 et 20.

Après 8 ans à défendre corps et âme cet épisode, le charme s’est cette fois brisé. Serait-ce la trentaine qui me guette ? Deviendrais-je à mon tour vieux et con ? Difficile à dire, toujours est-il que j’ai moins aimé cet énième visionnage. Il fonctionne toujours très bien, mais je n’y ai pas retrouvé le cocktail émotionnel et épique de mes souvenirs. Peut-être est-ce une simple question de mood, mais en attendant il dégringole à la troisième place de la trilogie originelle. A charge de revanche.

Vu en 2 fois, les 21 et 22 mars.

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Vu pour la seconde fois.

Le revisionnage de Rogue One m’a soufflé : s’il s’agissait d’un épisode que j’avais déjà particulièrement apprécié lors de sa découverte au cinéma, j’ai cette fois-ci été plus captivé encore. Rogue One est une véritable histoire Star Wars, peut-être la seule à date de tout l’axe Disney de la saga. C’est une histoire qui possède un cast de personnages variés et attachants, réunis autour d’une mission suicide. Son côté plus sombre que les autres SW se ressent vraiment, et accentue la pression ressentie pendant le film. De l’autre côté de la barrière, son humour est également très réussi. Visuellement, c’est toujours une claque folle, avec des moments incroyables. A ce niveau, la bataille de Scarif est probablement la plus belle de la saga avec la bataille de Hoth. Et puis le charisme de Vador dans cet épisode, mon Dieu. Quelle menace fantastique. Quelle fin.

Vu le 28 mars.

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Vu pour la première fois.

Découvrir Solo après tout le monde, c’est partir avec pas mal de préjugés. A vrai dire, je l’avais sciemment zappé à sa sortie, un peu blasé de cette orgie Disney de Star Wars, couplé aux retours plutôt médiocres sur le film.
Et pourtant, 3 ans plus tard, Solo est plutôt une vraie bonne surprise. Si on pourra lui reprocher d’être une origin story un peu poussive et doté d’explications pas forcément finement ficelée (le pourquoi du « Solo » est un bon exemple), j’ai passé un très agréable moment à suivre cette aventure. Bien rythmée et humoristiquement au niveau, elle comporte de bonnes trouvailles, à l’image du robot, encore une fois excellent (probablement le truc que Disney sait faire le mieux, quand on y regarde de plus près). En somme, vu comme un divertissement sans prétention et sans attente, Solo m’a vraiment emporté et – j’ose le dire – a même embelli ma journée. Au final, il est dommage que la suite ait été annulée, même si le twist final rend autant curieux qu’inquiet.

Vu le 28 avril.

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Vu pour la première fois.

Un film légèrement meilleur que son prédécesseur. Cinq mois après mon visionnage, c’est à peu près tout ce dont je me rappelle de RE Extinction. Difficile de faire plus oubliable, ce qui en dit long sur l’absence totale d’intérêt de ce 3ème opus. Malgré quelques passages sympas, la licence cinématographique reste à ce stade embourbée dans une médiocrité à la réputation somme toute méritée.

Vu dans la nuit du 1er au 2 mai.

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Vu pour la première fois.

Palm Springs est un véritable film feel good, devant lequel j’ai passé un super moment. A fois drôle, malin et émotionnellement riche, il est réussi en tout point. On pourrait chipoter devant une résolution forcément un peu tordue vu le concept, mais la vérité c’est qu’on s’en fiche : une chouette réussite.

Vu le 19 septembre.

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Vu pour la première fois.

Pour ma première sortie ciné depuis presque 2 ans, j’ai choisi Dune. C’est qu’il me fallait bien un film unanimement salué pour son côté « expérience à voir au cinéma » pour me décider à enfin retrouver le chemin d’une salle obscure.
Ne connaissant pas du tout l’histoire de Dune, la découverte fut totale, et les surprises que réservent le scénario ont très bien fonctionné. Visuellement splendide, Dune est également une expérience audio particulièrement chouette. J’ai beaucoup aimé la première partie du film, la découverte de l’univers. Les acteurs sont tous incroyables, on y croit vraiment. J’ai d’ailleurs eu envie de passer bien plus de temps avec eux ; cela m’a donné envie d’une série Dune.
Il n’y a finalement que le dernier tiers qui m’a moins convaincu : le rythme retombe brutalement, avant d’osciller en dents de scie puis de remonter de manière un peu artificielle dans le dernier quart d’heure. C’est là qu’on commence à doucement sentir les 2h35 du film. Au vu de la direction prise, j’ai également un peu peur que la suite soit d’un classicisme un peu triste. Mais j’irai tout de même probablement la voir avec enthousiasme à sa sortie.

Vu le 27 octobre.

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Vu pour la première fois.

Brouillon, mal filmé et mal monté - j’ai cru vomir 3 fois en 1h30 – j’ai pourtant trouvé Quantum of Solace pas si mal que ça. Craig y est très brutal et paradoxalement plus intimiste. Le scénario est simple et parfois lacunaire, mais comporte quelques moments forts, et j’ai trouvé le rythme assez bon pour ne jamais m’ennuyer. L’humour est fonctionnel, et il y a pas mal d’idées intéressantes. Ce James Bond a de plus le bon goût d’être assez court, ce qui est parfait pour ce qu’il a à raconter. Une assez bonne surprise donc, compte tenu de sa réputation sulfureuse.

Vu le 1er novembre.

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Vu pour la deuxième fois, pour la première fois en VO.

Skyfall et moi c’est une histoire complexe. Très déçu au cinéma des aboutissements de ce que j’avais trouvé être un « gâchis de potentiel », il est souvent un sujet de discordance entre la plupart des fans de Bond et moi-même. J’étais quand même curieux de le revoir un jour, et ce jour a fini par arriver.
Ce qu’il faut dire d’emblée, c’est que c’était un peu mieux que dans mes souvenirs. Mais en relisant mon avis de l’époque, je me rends compte que – en redécouvrant totalement le film – mon avis 10 ans plus tard reste finalement assez similaire.
Le gros point positif, c’est une très bonne première partie, bien rythmée, prenante, intéressante. Une intro coup de poing fantastique, aussi. Des personnages charismatiques, et un Daniel Craig qui impressionne une fois de plus. Cet homme est définitivement James Bond. Tout part donc pour le mieux. Mais, une nouvelle fois, impossible d’accrocher à l’antagoniste du film. Probablement trop excentrique pour moi dans ce contexte. Le tempérament d’un Joker passe parfaitement dans Batman, mais pas dans un James Bond. Pas pour moi en tout cas. Le moment où il débarque en hélico avec la sono à fond en mode Apocalypse Now en est un bon exemple. Skyfall reste un film très sympa et un vrai bon moment, mais cette seconde partie – bien que réussie dans son genre – ne me plaît pas vraiment et maintient donc de justesse la note à 6, quand bien même le 7 n’avait jamais été aussi proche.

Vu le 07 novembre.

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Vu pour deuxième fois.

Tout en m’attendant au pire, j’ai plutôt bien aimé ce revisionnage de Spectre. J’aime notamment toujours beaucoup le James Bond de Craig, j’ai trouvé les scènes d’action vraiment impressionnantes pour la plupart et le rythme globalement plutôt correct. J’aime toujours autant Léa Seydoux, qui est - je trouve - une James Bond girl très classe et intéressante.
Mais… il y a ce gros mais, qui fait définitivement pencher le 6 vers un 5, à la réflexion. Blofeld est beaucoup trop nul. Même en le sachant, la déception ne peut être qu’immense. Le mec est devenu un serial killer car son père a appris à un orphelin à faire du ski. Savoir qu’un scénariste a sérieusement écrit cette origin story, c’est complexe. Et puis toutes ses apparitions sont vraiment décevantes, c’est terrible. Le complot est également assez bancal, on peut se laisser emporter, mais à la seule condition de ne jamais se poser de questions.
Spectre passe finalement assez proche d’être un vrai bon film, mais la marche qu’il loupe était importante. Dommage, mais je suis quand même curieux de voir la suite.

Vu le 19 novembre.

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Revu pour la xième fois, avec 6 < x < 15.

Quel film incroyable ! Toujours aussi excellente 22 ans après, cette histoire de SF réaliste est absolument fondatrice pour ma génération. Et sûrement pour d’autres. Les Wachowski y ont tous mis, et plus encore. Indémodable et inégalable.

Vu le 21 novembre.

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Vu pour la première fois, au cinéma.

Une belle conclusion à l’arc Daniel Craig. L’introduction, suivie de la magnifique chanson de Billie Eilish, est réussie. D’ailleurs, tout le début du film est vraiment très bon. Mention spéciale au passage à Cuba, qui est assez splendide. De manière générale, j’ai aimé plus ou moins toutes les scènes du film. Le scénario est – à l’inverse de Spectre – plutôt bien écrit et mis en scène. Il y a toujours des facilités, notamment dans la 2ème moitié, mais ce n’est pas très dérangeant. Ce qui est dérangeant en revanche, c’est le rythme du film. No Time to Die est interminable, et j’ai failli m’endormir durant le passage en Norvège (qui est avant le final, qui est assez long lui aussi !). Ce moment est pourtant bien en lui-même, c’est juste qu’il arrive sur les 2h du film, et qu’à cet instant on a plus envie de se diriger vers la conclusion que vers d’énièmes péripéties. Je pense que j’aurais préféré le film s’il avait été condensé en 2h-2h15 maximum. C’était suffisant pour ce qu’il avait à nous faire vivre. A l’heure du bilan, ce James Bond s’en sort toutefois avec les honneurs. En transformant la licence en une sorte de série de films d’aventure, l’ère Craig a souvent trébuché, mais propose au final quelque chose d’aussi imparfait qu’intéressant. Inégal mais divertissant.

Vu le 29 novembre.

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Revu pour la xième fois, avec 4 < x < 10.

Etonnante réhabilitation que ce revisionnage de Matrix 2. Là où son blabla à faible intérêt et son action continue et interminable m’avaient passablement ennuyé en 2013, j’y ai trouvé 8 ans plus tard un film divertissant et passant plutôt bien malgré sa durée. Changement de goût ? Moins d’exigence ? Dans de meilleures dispositions pour le voir ? Difficile de mettre le doigt sur ce qui a changé, peut-être un peu de tout ça. Peut-être aussi que le côté kitch et débridé de l’action a désormais un côté vintage divertissant, là où il semblait juste ridicule 10 ans après la sortie du film. Le plot twist final est toujours aussi réussi, je l’aime encore beaucoup. En somme, j’ai passé un bon moment devant ce deuxième épisode, bien plus qu’attendu, et c’était donc plutôt une bonne surprise.

Vu le 02 décembre.

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Revu pour la xième fois, avec 4 < x < 8.

Matrix 2, que je ne portais pas dans mon cœur, m’a agréablement surpris au revisionnage. Matrix 3, que j’aimais beaucoup, m’a légèrement déçu : je l’ai trouvé un peu moins fou que dans mes souvenirs. Il reste toutefois un film très solide, une conclusion comportant de belles scènes d’action sans être dénuée de réflexion. La conclusion, sujette à interprétations, est réussie. Je vois désormais plutôt Matrix 2 et 3 comme les 2 faces d’une même pièce, deux suites intéressantes et plaisantes, qui resteront forcément à jamais dans l’ombre de leur grand frère fondateur.

Vu le 03 décembre.

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Vu pour la première fois.

Cet ensemble de courts métrages dans l’univers de Matrix est globalement assez moyen. Chaque court métrage est une nouvelle proposition artistique, une nouvelle histoire, et c’est en soi plutôt osé. Il y en a certains qui sont d’ailleurs réussis, comme le dernier vol de l’Osiris ou bien l’histoire du Détective. Mais la plupart de ces 9 segments m’ont semblé inintéressants, sans autre intérêt que le cachet artistique – que j’ai rarement apprécié par ailleurs. Dans tous les cas, il s’agit d’un ajout très dispensable à l’univers de Matrix, à réserver aux fans les plus acharnés. Les autres peuvent passer leur chemin sans hésiter.

Vu en 3 fois, les 07, 23 et 27 décembre.