Pas passés loin du top 2018

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Découvert grâce à Bandcamp. Je sais pas encore quoi en penser, mais je suis séduit par l'approche classe, limite trop guindée et proprette, mais belle, d'un Doom qui semble un peu trop lumineux et moderne pour en être vraiment. Ca ira sûrement vers un 7.

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Sensation aigre-douce

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Si bien que ça m'en a donné mal au crâne. Premier album écouté en BT sur mes nouvelles Magnat Shadow 203. Grosses basses.

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Ca peut paraître trop classique pour du Post-Metal post-Deafheaven 100% instrumental mais c'est sacrément gratifiant.

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De ce que j'ai retenu d'une première écoute distraite, ça ressemble à du Death prog chelou car axé sur les riffs de basse. Mais c'est curieusement rafraîchissant pour le coup. Un bon petit 7.

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Très agréablement surpris par cette petite découverte, écoutée en même temps que le nouveau Drudkh, et qui s'avère plus convaincant que ce dernier.

PS : oui c'est définitivement mieux que le dernier Drudkh. Les émotions sont à fleur de peau, sans trop d'ornements ni d'emphase (on n'est pas chez Agalloch), entre BM atmo et DSBM, mais toujours de manière intimiste et sincère.

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Death bestial con comme mes pieds mais bien bon. A réécouter sûrement mais après 2 écoutes distraites ça reste satisfaisant.

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Une belle petite découverte Electro grâce à Treize. 6,5

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Compense son manque de compo d'enfer par une ouverture sans limite

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Sûrement mon album de "Dark Rock" crypto-romantique de l'année

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Un bon petit voyage varié en terres instrumentales où l'ombre du Hex de Earth plane au-dessus de nos têtes. Assez intéressant pour avoir envie d'y retourner plusieurs fois, sans jamais vraiment en retenir quoi que ce soit, sauf une impression de bon et de beau.

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2018 selon NN donc je pose ça ici. C'est cool, ça me rappelle les heures sombres de mes jeunes années, quand je lisais Vibrations et autres mags qui traitaient de World Music et compagnie. Ca me manque un peu d'ailleurs, mais pas le courage de retrouver une bonne source web pour ce genre de zics fanfaronnes plus cuivrées/ensoleillées.

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Mon album de Dream Brit Rock de l'année.

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Funky Soul / Punk de bourge à la Clash / Garage psyché

Un bon album multi-influencé avec de bons petits morceaux pas très ambitieux mais qui mis bout à bout forment une belle oeuvre variée et enthousiasmante. Mention spéciale au chant habité typiquement Soul.

Un 7 facile à la première écoute, plus nuancé une fois qu'on a mieux capté le format "torché" des morceaux (comme d'hab' avec les albums "populaires" quoi).

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Un album qui prend du temps à être apprivoisé. Son atmosphère me renvoie au Catch 33 de Meshuggah, ce qui est plus que bon signe. On peut regretter des morceaux peut-être pas assez aboutis, et un chant clair parfois discutable mais qui lui aussi s'apprivoise à force d'écoutes. Malgré ça, c'est quand même un des brûlots Mathcore/Djent atmo de l'année

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BM bouchonnois (comprendre de péquenaud) plus que correct, avec un fort goût de reviens-y, meilleur que l'album précédent, mais j'en ferais pas mon album de chevet non plus, par faute d'un sentiment de manque de consistance.

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Je l'ai pas encore cerné parfaitement. Son mélange improbable de Metal de d'jeuns et d'autres musiques contemporaines n'aidant pas vraiment à trier le grain de l'ivraie. On sent que le groupe veut dépasser les carcans, mais c'est difficile de voir si c'est pas juste de l'esbrouffe. En tout cas les riffs sonnent simples et bien, les compos sont assez entraînantes, le côté "Metal moderne" pas trop horripilant, bien qu'assez emprunt de "gimmicks" brutasses/proprasses. Un album de Metal à la croisée des chemins, un peu comme le Centaurus-A que je n'ai pas bien cerné non plus.

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Post-Metal à chanteuse aux ovaires pleins.

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Voyage astral synthétique nappé dans la soie puis qui s'électrise avec un Sound System débarqué de l'Enterprise. 6,5 tirant sur le 6,75 mais j'fais pas mon radin (pour une fois), 7. En plus va noter un album misant principalement sur l'ambiance... Paye ton Sens Critique.

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Première écoute décevante, voire très décevante, puis au fur et à mesure tous les morceaux plus emportés (par rapport au single tout minaudant façon Green Day) gagnent en sens et donc en valeur. On s'prend même à apprécier des riffs jusqu'alors pas vraiment remarqués. Un bon cru, pas extrêmement mémorable mais quand même. Je dois poursuivre l'écoute sur le long terme pour voir comment mon jugement évolue.

EDIT : bon ben comme d'hab' j'me fais avoir sur la longueur, à le réécouter par-ci par-là quasi tous les jours, comme un besoin d'anesthésier mon quotidien de pleureuse.

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Sludge (édulcoré) progressif avec (bons) synthés dans la place. La pochette est dégueulasse mais heureusement que je ne me suis pas arrêté à ça !

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BM nettement influencé par Mayhem, avec de beaux reflets atmos façon Mgla et consorts. 6,5

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Il s'en est fallu de peu, mais j'en ferai pas un must have du groupe non plus. Pourtant, c'est un très bon retour aux affaires pour Ken Mode, qui revient (enfin) à ses amours les plus chafouines. Les gars ont bien compris que ce n'est pas en bénéficiant de chroniques d'albums enregistrés chez Steve Albini chez des canards à publics volatiles qu'ils parviendront à s'faire de la maille en chaîne. Merci les gars. 7,5, et possible migration vers la liste des meilleurs si je reviens dessus par la suite.

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Pas assez écouté, ça semble un cran en-dessous du Sectioned, mais ça reste du bon Frontierer.

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Bon, eh bien après réécoute, ça a bien sa place ici.