SensCritique
Cover Raphaël Zacharie de Izarra contre
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14 personnalités

créée il y a environ 8 ans · modifiée il y a environ 8 ans
Arthur Rimbaud

Arthur Rimbaud

Poète

Annotation :

8/10

JE DÉTESTE RIMBAUD !
Rimbaud ne m’inspire que des vertiges sans hauteur, des troubles sans charme, du vague sans âme.
Ses écrits me font songer à de grandes messes plates du dimanche. Ou à des rêves idiots.
Avec ses blasphèmes verts il fait naître en moi un ennui au visage pâle. Ses illuminations ne sont à mes yeux que des lanternes léthargiques.
C’était une pomme pas mûre, un mauvais navet, un nabot haut comme trois vers s’amusant à faire passer les astres pour des poires.
Je ne veux plus lire ce grand déréglé du luth et petit casseur de lyre.
Certes l’auteur manifesta quelque mémorable éclat : sa plume produisit de la flamme. Mais on ne retient que ces parcelles de jour pour justifier ses vastes nuits. On cite souvent ces éclairs -comme on affiche sa photo de jeunesse- pour légitimer ses regards les plus flous, ses écarts les plus fous et autres embrouillages sans fin de ses mots sans fond.
Ses erreurs poétiques, que la plupart des “gens sensibles” prennent pour des “inventions inouïes”, sont pour moi de banals égarements verveux d’un gamin doué pour l’enfumage de son siècle. Et de ceux qui suivront...
Rimbaud est une farce qui dure. Lourde comme une dinde gavée de marrons. C’est le sapin de Noël de la littérature qui chez les doctes pigeons et lettrés évanescents passe pour le prince des guirlandes...
Bref si je déteste autant Rimbaud c’est parce que je ne crois pas aux mensonges de l’artifice, aussi lumineux soient-ils.

Prince

Prince

Annotation :

2/10, son pire texte

Voilà que la mort sanctifie miraculeusement les faiseurs de fumées, donne du génie aux ânes scéniques et confère une nouvelle dignité aux millions de bêleurs qui croient à ces insignifiances, je veux parler de ces masses ovines que les médias abreuvent sans cesse de clinquantes sornettes.

Il y en a beaucoup qui répèteront après les journalistes que Prince était en effet un “génie de la musique”.

La vacuité artistique de ce pitre paré d’artifices ne laissera évidemment pas insensible le bétail humain hypnotisé par cette minuscule pacotille de moins d’un mètre soixante. Troupeau sans goût manipulé, violé par les gourous du marketing. Mais qui se pense libre.

Bref, les admirateurs de Prince pleureront leurs larmes de singes. Ils grimaceront encore et encore, ces avides de vide, ces demandeurs de laideur, ces assoiffés de vulgarité.

Prince, c’était le néant porté aux nues. L’esthétique du rien. Le vent de la fatuité musicale.

A présent que ce fétu de paille est trépassé, les menteurs rémunérés sortent l’artillerie lourde. Les vendeurs de lessive industrielle à l’origine de ce phénomène inesthétique ainsi que les présentateurs d’information télévisée à la solde de ce système mercantile vous clameront sur un ton admiratif que Prince, c’était vraiment le souverain de la lyre, l’étoile zénithale du firmament des musiciens, le dieu inégalé de la note suprême !

Et, encore et toujours, vous croirez aux doctes boniments de ces falsificateurs professionnels.

A bien réfléchir, le titre de ce présent texte “PRINCE, LE ROI DE CON” est inapproprié.

Le roi des cons ce n’est pas Prince, non.

C’est vous.

Gender

Gender

Annotation :

3/10

Envoyé à : [email protected], c'est à dire les responsables de la diffusion de la théorie du gender.
Bonjour,
Je vous alerte sur une urgence que la république actuelle, pas assez progressiste, pas assez audacieuse, est incapable d'affronter aujourd'hui : le problème de la transexualité enfantine.
Il faudrait aider les enfants de la maternelle à changer de sexe, au nom de l'égalité sexuelle de notre jeunesse.
Bref, c’est un vaste sujet que j’aborde très brièvement ici.
J’aimerais que l’Education Nationale ose parler de ce sujet essentiel. Et d’autres, tout aussi capitaux comme par exemple l’initiation à la sexualité et à l’homosexualité de nos enfants dés la maternelle.
Je trouve que vous n’allez pas encore assez loin dans votre brochure pédagogique “Fille et garçons, cassons les clichés”.

Caroline Fourest

Caroline Fourest

Autrice

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LE NÉANT DU FÉMINISME
La lutte des femmes pour les femmes c’est comme le vent qui se révolterait contre la rotation terrestre : vain et grotesque.
Le féminisme est une boursouflure de la femelle bêtise dans le ciel de la gloire masculine.
Celle qui se bat pour sa “liberté” n’a pas compris que la dignité du sexe faible est de se tenir à côté du mâle, non de lui faire face. Le salut d’Eve est dans sa soumission, non dans l’affrontement.
La porteuse d’enfants n’est fondamentalement heureuse que dans les bras protecteurs et sanctifiants de son seigneur et non pas dans les égarements d’une “libération” qui l’aliène à des codes sociaux et moraux toujours plus vulgaires et déprimants.
Colette, Beauvoir, Woolf, Badinter et leurs soeurs dégradées par les idées en vogue ne sont que de vastes chimères pour petits esprits. Ces célébrités prenant la pose avec des airs pénétrés sur des photos en noir et blanc sont les monstres imberbes de notre société émasculée, matée, athée.
Ces suffragettes en chef sont les mentors des syndicats d’eunuques. Productrices de brumes toxiques d’une pensée morbide et mensongère, elles alimentent les âmes faibles de leur nourriture létale. De leur cervelle sort non pas du sens mais de la cendre : les fruits de leur génie sont l’avorton, le divorce, l’amertume.
Ces grandes figures de la cause suprême sont avant tout fières d’être “ce qu’elles ne sont pas” : des hommes.
Le putsch de Vénus contre la Création confère à ces illustres combattantes des allures de statues en jupette : le grand style du siècle.
Ces fleurs plates, pâles, sèches, portent les graines de la stérilité promise ! L’espoir des poires dans toute sa splendeur. Le rêve de la volaille émancipée. Les lendemains de la dinde votante.
Bref, de leurs germes naît la ruine des genres. Tel est leur fait d’armes.
Leur plume la fumée, leur vie le vide. Et leur tombe fleurie d’illusion.
D'authentiques séductrices de penseurs creux.
Ces accoucheuses de pages de mort, parées de paillettes folles, impressionnent beaucoup, il est vrai, les caniches de ce monde.
Mais on a oublié les loups et me voici.
Et d’un seul coup de gueule, dans un fracas de rires et de crocs, je les égorge tout net.

Manceau

Manceau

Annotation :

8/10

MON AVIS SUR LE PARC D'ATTRACTIONS MANCEAU PAPÉA
Royaume des classes moyennes, paradis des DUPONTS, terre promise des fonctionnaires et ouvriers d'usine en mal de sensations bien calibrées et dûment tarifées, PAPÉA fera le bonheur des morveux blasés et de leurs géniteurs déculturés.
En ce haut lieu d'agressions esthétiques en tous genres les parents semblent être encore plus abrutis que leur progéniture ! Assez intéressant à observer, mais de loin afin d’éviter les cris stridents des gosses et les papotages pleins de vacuité des adultes faisant la queue devant les attractions.
Si vous avez la bonne (ou mauvaise) idée vous d’aller perdre temps et argent à vous frotter à la roture dans son élément naturel afin de partager (ou d’étudier) ses plaisirs vulgaires et ses aspirations grossières, là-bas vous assisterez à l'étalage décomplexé du mauvais goût sous ses multiples aspects : vestimentaires, culinaires, musicaux, linguistiques, ludiques... Et ceci à l'échelle d'une véritable petite ville car il y a toujours foule chez les adeptes de la médiocrité socio-culturelle érigée en valeur suprême.
PAPÉA est à conseiller uniquement aux esprits séniles accompagnants leurs petits enfants et aux jeunes cervelles crétinisées par des précepteurs indignes leur ayant enseigné la culture de l’insignifiance.
Entre les friandises industrielles à acheter aux quatre coins du parc et les jeux ineptes ponctuant une promenade en famille sans prétention ni exigence, ce petit monde que je viens d’évoquer en termes certes déplaisants mais sincères y trouvera son compte dans cet univers de lourdeurs et de laideurs qui est exactement à son image.
Âmes éduquées s'abstenir.

Guillaume Durieux (GussDx)

Guillaume Durieux (GussDx)

Musicien et vidéaste

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On s'en fout !

Didier Deschamps

Didier Deschamps

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9/10

La FRANCE est une équipe de couilles molles et le PORTUGAL est une équipe de femelettes !
Tous des feignasses, des incapables ces joueurs qui ne marquent pas de buts !
En réalité la FRANCE est une équipe de Nègres et le PORTUGAL une équipe de Métèques.
Y a que des négros dans l’équipe de FRANCE ! Pis les PORTOS c’est rien que des faces de métèques.
Bref, tous des gros nullos !
Y a que les pédés pour pas marquer de buts !

Maximilien de Robespierre

Maximilien de Robespierre

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7/10

ROI DE RANCE
Afin que nos terres s’azurent de légèreté, d’esprit et de noblesse retrouvée, pour que le lys reblanchisse nos vallées et pour que rechantent nos clochers, pour qu’au fond de nos campagnes, aux sommets de nos cités et dans le coeur de chaque français se lève un jour prometteur et brille un soleil de vérité, c’est un roi qu’il nous faut.
Un maître couronné d’étoiles, vêtu d’or, chaussé d’humilité. Un bon souverain ami du Ciel, frère du sillon, père de nos familles.
Et protecteur de nos foyers.
Une autorité très chrétienne, un sang très bleu, une figure très haute.
Pour que l’on prie chaque dimanche dans chaque église en y prononçant pieusement son nom, pour que l’on boive à sa longévité, pour que de Lille à Marseille l’on banquète à l’héritier du trône qui nous serait donné et pour que de la Bretagne au Mont-Blanc l’on dise Sire, Sa Majesté, Sa Grandeur, c’est un roi qu’il nous faut.
Parce que l’homme est fait pour être heureux, parce que son âme réclame sa part de lumière, parce que sans astre au-dessus de sa tête il se sent bien seul et parce que la France sans son Dieu est bien sombre, c’est un roi qu’il nous faut.
Parce qu’il est beau, bon, bien et juste d’avoir en notre pays un vaste palais avec dedans son hôte royal aimant son peuple, très sage et très saint avec son sceptre, c’est un Louis qu’il nous faut.
Parce que nous aimons le bonheur sur notre vieux sol, c’est un aigle qu’il nous faut.
C’est un roi qu’il nous faut.
C’est un roi qu’il nous faut.
C’est un roi qu’il nous faut.


https://www.youtube.com/watch?v=-hhCnQdqfkE

Voltaire

Voltaire

Annotation :

9/10

Tout comme la torture et ceux qui la recommande, le travail et les travailleurs doivent être méprisés.
Dans une civilisation digne et évoluée, le travail doit être interdit.
Décidément Louis, tu n'as aucune idée des vraies valeurs humaines.
En tant que père, j'ai éduqué mes enfants pour qu'ils ne travaillent jamais.
En tant qu'époux, je ne veux pas que ma femme travaille.
Je ne veux pas que ceux que j'aime travaillent.
Le travail doit être réservé aux machines et aux criminels.
Une des quêtes de l'homme est de ne jamais travailler.
Le travail est un pis aller, mais certainement pas un idéal.
Xavier de IZARRA (frère de Raphaël Zacharie de IZARRA)

Jeuxvideo.com

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Annotation :

En collaboration avec Enza Moura

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