Reco

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Hayeksplosive.

La techno indus n'était apparemment pas suffisante pour OAKE, qui décident d'intégrer des éléments de dark ambient, ainsi qu'une guitare bien méchante dans le lot. Ça tabasse fort, sans pour autant que l'atmosphère soit négliger, au contraire : c'est sombre, inquiétant, opressant. Le duo émerge à peine de la scène techno Berlinoise, mais il va falloir suivre de près ce qu'il vont faire par la suite.

Mention spécial au morceau "Drittes Buch: Graevann Grewen", dont la dernière minute est complètement renversante.

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WhiskyCiboulette.

Profond et hypnotisant. Fusion Ambient Dub et Dub Techno, Deadbeat créé une atmosphère unique et épaisse. Je trouve les deux derniers morceaux, plus axés sur l'ambient, moins intéressant. Second Quarter est une tuerie.

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Wazoo.

Un voyage hors du temps et des époques. Flynt fait de la musique infini. Elle a commencé avant qu'on arrive, elle continue quand on repart. Improvisation permanente sur fond d'un drone aux accents indiens, le violon électrique se balade, s'arrête puis repart, joue lentement puis rapidement... Un rond sans fin, un cycle infini, la musique de Flynt nous transporte au-delà de nos frontières temporelles.

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AmPscho

On sent clairement la relation avec Lakker, dans le sound design, la construction des morceaux etc. C'est dans l'ensemble très bon, mais il y a quelques morceau un peu faiblard (Rising 3, Deeva) qui m'empêchent de mettre plus. Il manque un petit quelque chose pour arriver au niveau de Lakker, quelque chose que j'ai du mal à identifier, peut être un peu plus de finesse?

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Wazoo

Mélange monstrueux de black metal psychédélique, des riffs assommants, et une atmosphère pesante et lourde. Superbe.

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AmPsycho

C'est vraiment pas mal, mais c'est un peu trop le bordel. On dirait plus une compilation de morceaux qu'il balance, sans lien les uns avec les autres. Du coup c'est difficile de rentrer dans le délire vu que ça part dans tout les sens sans arrêt.

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Tintamarre Wazoo

Post-Rock glitché, voilà un bien étrange album, qui réussi à créer une atmosphère jamais vu pour ma part. Une impression de rêve tordu et louche, on se réveille étourdi, avec un léger mal de crâne provoqué par les cliquetis et grésillements incessants qui entourent le post-rock (si tant est que ça en soit encore) meurtri de Roberts.

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Wazoozoo

Intellectuellement stimulant pour l'idée que l'album véhicule, comment il le fait etc. C'est très malin et plutôt important de ce point de vue là et j'apprécie également l'idée du DYI, idée hautement intéressante de l'invitation à la participation pour créer une œuvre collective. Malheureusement, ça ne suffit pas à me convaincre, d'un point de vue musical en tout cas. La vaporave/ambient qu'il cale derrière ses prank calls est bien sympa certes, mais ça me touche pas particulièrement. C'est vraiment dommage parce qu'encore une fois le projet est vraiment cool par ailleurs.

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Wazoo

Grosse attente et bonne déception. Je trouve souvent que c'est sur-produit ; on dirait qu'il cale tout ce qu'il peut dans ses morceaux, et sur pas mal de morceaux ça groove bien, mais des fois c'est juste trop et je sature rapidement. C'est un gros problème vu la longueur du projet. Il y a quelques grosse pépites mais de manière générale j'ai un peu de mal à écouter plus de 3 ou 4 morceaux d'affilé.

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AmPsycho

Beaucoup axé sur les chants polyphoniques, Dumisani Maraire étonne par l'univers si spécial qu'il créé. L'utilisation quasi exclusive du kalimba comme instrument mélodique donne une impression d'intimité forte avec les chanteurs. Y'a une douceur assez indescriptible dans cette album, quelque chose de reposant.

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Hayeksplosive

Ambient Techno tour à tour Biosphere-esque et Voices from the Lake-esque (avec Abdullah Rashim qui surplombe un peu le tout), Acronym créé des ambiences froides, lourdes, lentes, hypnotique, enfin tout ce qu'on peut attendre d'un excellent album du genre.

Je le rangerai dans la catégorie des "super-prometteurs" avec Rashim et Voices sans hésiter.

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Wazoozoo

Bien qu'on retrouve un peu par certains aspects ce qui a fait le charme de The Books, Zammuto est loin de m'emporter aussi loin ; il manque quelque chose, la subtilité de l'enchevêtrement des samples et de la musique peut-être. En gros c'est pas mal mais ça manque de De Jong cruellement.

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AmPsycho

C'est fascinant de voir à quel point Fela Kuti a modelé toutes les sonorités funk africaine de cette région. On sent son influence sur chaque morceau, mais la compilation est suffisamment bien composé pour que ça ne soit pas des copycats de Fela, chaque groupe apportant son propre style. Y'a évidemment des grands noms comme Tony Allen mais la plupart sont des groupes qui me sont inconnu. Excellente compilation donc, qui élève un peu plus la musique africaine dans mon estime musicale

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Wazoo

Pas tellement convaincu par cet American Primitivism mystique et féérique. Les mélodies aériennes sont très jolies, mais ne m'emportent jamais. Je préfère quand on est plus terre à terre, lancé à pleine vitesse dans les Grands Espaces américains (avec Fahey, Basho et tous les autres).

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Hayeksplosive

Tu peux pas vraiment test Sandwell. C'est un peu le collectif de ce qui se fait de meilleur. La setlist est parfaite. C'est jamais répétitif, jamais vide, jamais de trop. Ça alterne gros kick sale avec moments plus mélodique, les transitions sont impeccable.

Meilleur DJ Mix que je connaisse jusqu'à présent.

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AmPsycho

Toumani fait du Toumani : divines mélodies à la kora, comment ne pas craquer. Tout les prémices de la suite de sa carrière sont là, que ce soit la virtuosité du jeu ou le coté spirituel appuyé de ce jeu, quelque chose qui permettrai d'élever l'esprit. Sissoko virevolte autour de Toumani et ne se contente pas d'être uniquement un soutien.

L'album est intéressant à comparer avec "Toumani & Sidiki" sorti en 2014, soit 15 ans après. En effet, on peut constater à quel point l'apport de Sidiki créer une touche de modernité sur cet album, touche que l'on ne retrouve pas du tout sur ce New Ancient Strings, Ballaké Sissoko étant un griot dans la droite ligné de Toumani. Sidiki apporte un rythme, une pulsation qui s'ancre dans le sol tandis que Toumani s'envole dans ses improvisations. Ici, Toumani et Ballaké sont tous les deux aériens dans leur jeu.

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Tintamarre

Pop Samba Brésilienne contemporaine, on sent des influences en pagaille, des mélodies fouillés et un brin de folie tout à fait typique des productions de ce pays. Les quelques touches modernes (guitare électrique avec un peu de disto par exemple) apporte une touche bienvenue de renouvellement du genre, en s'éloignant de ses racines tout en restant proche d'elles par la structure mélodique.

L'avenir de la musique Brésilienne n'a aucun souci à se faire avec des artistes tels que Perdigão ou Meta Meta pour assurer le pont entre les anciens et les nouveaux.

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Swan

Indus techno ultra agressive et abrasive, tout ce qu'on peut attendre d'un album du genre. Je suis toujours plus attiré par les genres de techno plus subtils, ou même ceux qui sont tout de même catégorisé dans l'Indus mais qui travaillent plus sur la subtilité structurelle des morceaux.

Ansome tabasse avec une force démesurée et compresse tout sous le beat. C'est à la fois grisant et écrasant.

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Wazoo

Un sculpteur de son, c'est pas courant. Intéressant mélange de concepts. C'est court et peu divers, mais le concept est suffisamment intéressant pour captiver l'espace de quelques instants.

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Gweillo

C'est fou d'atteindre un tel niveau d'immersion quand même... Il y a une vrai sensation de voyage, une impression de traverser des endroits totalement différents.

Le fields recording ça sonne pas super glamour sur le papier, mais on ne manifestement que s'incliner devant un travail d'une telle qualité.

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Swan

Techno déconcertante (wonky comme on dit). C'est très indigeste, on s'y fait qu'a force d'écoutes répétés (et c'est pas encore tout à fait mon cas). Mais faut reconnaitre que le mec a un culot dingue de proposer quelque chose d'aussi abrupt, radical.

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Zenon

On peut dire ce qu'on veut, mais la composition sur cet album force le respect. Toujours dans un mode naif et enjoué, easyFun libère la composition de ces morceaux, plus aucune règle n'a court. Couplé à l'impressionnante palette sonore déployé sur ce court EP, on peut dire qu'il y a définitivement quelque chose de novateur et surprenant dans ce mouvement Bubblegum Bass/Wonky.

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BitchAssDarius

Valérie Damidot, Valérie Damidooooot...

Valérie Damidot, Valérie Damidot swerve comme Valérie Damidot, Valérie Damidot

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Wazoo

Fange familière, champs en jachère, intrigues politiques de l'Heptarchie, magie noire et blanche... Evocateur et transportant, Peasant est l'invitation au voyage atypique d'un personnage étrange et attachant. Guitare aux accents brassensien (je suis foutrement Moyen-Ageux chantait-il déjà), cœurs réchauffant, nous dansons et conversons près de l'âtre pendant les longues soirée d'hivers de la petite ère glaciaire.

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Wazoo

Chants divins et musique divine, d'un pays du mystère.

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Wazoozoo le relou

L'aventure Fahey continue. Probablement l'un des albums les plus connus et révérés du maitre, aucune déception. Paysages superbes, voyages initiatiques dans l'Amérique du chemin de fer.

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Hayekplosive

Chouette mélange de genres.

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Tintamarre Wazoo

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Wazoozoo

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Cruel Zénon

Un instant classic comme on dit. Monstrueux.