Summer 2019

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Years and years, début d'été en fanfare pour cette série politique d anticipation.... familiale! Un black mirror non dénué d'âme ou d'humour british.

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Pulp, début de l' été, décontracté du gland, manque un whisky pour être au top, sauf que très vite l'ennui gagne, Charles sombre dans la parodie de lui même et du genre, la réalité et le style partent en couilles.

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Drôle de jeu, extirpé de la bibli maternelle, un ancien résistant qui raconte sa version de la guerre... Très vite il nous fait prendre de la hauteur autant qu'il nous plonge dans le vertige des sens, l'auteur se raconte et c'est passionnant. L'humanité passé au révélateur, sans concession. L'intrigue tient le choc, diabolique avant Clouzot?

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Mes amis, chef d'oeuvre littéraire. Écrivain dans l'ombre qui sublime cet être sur le côté, qui n'a pas d'amis justement... Son style subjectif faussement modeste me fascine.

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Sa trilogie l'emprise quinquennat, ultime partie. Documentée avec précision, vive, clinique, elle dissèque le pouvoir politico-affairo-médiatique français sans hargne ni regrets. Le pan services secrets a réveillé ma passions secrète pour cet univers; inutilement étiré en trois tomes, à la façon d'une série que l'auteur n'a pas tourné, faute de moyens?

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Vivre vite, découvrir l'auteur et Dean derrière le mythe; débuts catastrophiques, puis on se laisse empoter par la vitesse du style qui colle à celle du personnage, Besson s'est mis au diapason et même si vers la fin il retombe inutilement dans le psychologisme, il m'a emporté.

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so long my son, film vertige de mon début d'été, fresque familiale quasi nationale sur ce pays du seul enfant autorisé...

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Bagdad café, coup de coeur de la seconde partie d'été, le cinéma dans sa version magique, simple, poétique, vivant.

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Midsommar, ça tombe pile au milieu de l' été et ça nous cueille... Le type sait déjouer les codes habituels du genre, ses images somptueuses produisent un effroi teinté de beauté inédit en moi .