Une histoire de la musique japonaise

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album d'un chanteur japonais anonyme (dont les textes sont ecrits en anglais), pourtant produit par Tom Wilson, producteur de Bob Dylan et des Velvet Underground

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un album de rock psychedelique, chante en japonais et considere comme legendaire. la chanson qui donne son nom a l'album a été censurée au japon

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1970. celui qui est considere comme le Bob Dylan japonais engage un groupe alors inconnu, Happy End, pour jouer son "backing band". ensemble, ils réalisent un album mêlant protest songs et balades folks

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Yuya Uchida, leader emblématique du groupe, rêve d'introduire le rock occidental au Japon après avoir fait la premiere partie des Beatles lors de leur tournée en 1966, et vu jouer Jimi Hendrix a Londres. pour cela, il reprend des grands succès psychédéliques de King Crimson, The Doors, etc

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un album qui democratise le rock chante en japonais, alors qu'une querelle artistique oppose le groupe de Haruomi Hosono a Yuya Ochida et son Flower Travellin Band, par exemple, qui eux optent pour la langue anglaise

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Happy End touchant a sa fin, Eiichi Otaki sort son premier album solo, dont le son folk-rock repond aux attentes de ses fans de la premiere heure, que la fin malheureuse de l'aventure Happy End avait laisses comme orphelins

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artiste populaire influence par le blues américain

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1975

compose de Tatsuro Yamashita et Taeko Ohnuki, futurs heraults de la city pop, courant musical dont ils posent les bases dans cet album, le groupe Sugar Babe est produit par l'ancien membre de Happy End, Eiichi Ohtaki

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1978

Harry Hosono est entoure d'une premiere mouture du YMO, agglomérat de ses anciens partenaires de Tin Pan Alley et Happy End. Ryuichi Sakamoto et Yukihiro Takahashi, nouveaux venus, n'apparaissent eux que sur 4 morceaux de cet album qui surfe entre l'exotica et la city pop naissante

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deuxième des 3 projets collectifs de Haruomi Hosono cette année.

le dernier morceau, cosmic surfin', en décalage avec le reste de l'album plutôt exotique, est la premiere experimentation d'Haruomi Hosono avec la musique électronique, avant meme la longue aventure YMO

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Haruomi Hosono, marque par les premieres experimentations du groupe Kraftwerk, pousse plus loin ses experimentations électroniques. il réduit son equipage a bord du YMO, accompagne seulement de Yukihiro Takahashi et Ryuichi Sakamoto. le clavieriste accede alors a un nouveau statut au sein du groupe (statut du notamment au virage synthpop-electronique)

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un album de synthpop dans la droite lignée du YMO, dont tous les membres ont participe peu ou prou a la réalisation de cet album (Ryuichi Sakamoto en est le co-producteur). Akiko Yano, souvent comparée a Kate Bush, s'éloigne quelque peu de l'art pop qui l'a fait connaitre