A l'aventure, compagnon !

Annotation :

J'étais gamin, je ne comprenais rien, mais ça me fascinait. Ma vraie découverte du genre aura lieu quelques années plus tard avec le second Broken Sword, sur PS1.

[Joué dans les années 90]

Annotation :

Mon mythe fondateur et l'origine de ma passion pour le genre. Au-delà de ça, c'est un point & click solide et plein de charme.

[Joué en 1997]

Annotation :

Il aura coûté cher à mes parents en solutions par téléphone.

[Joué en 1998]

Annotation :

Associé dans ma mémoire à la frustration habituelle de cette époque pré-Internet où l'on pouvait rester bloqué bien longtemps pour pas grand-chose. Le cadre historique est agréable.

[Joué en 1998]

Annotation :

Un jeu médiocre. N'ayant à cette époque pas grand-chose d'autre à me mettre sous la dent, j'y ai tout de même pris du plaisir.

[Joué en 1998]

Annotation :

Du fan-service respectueux du joueur.

[Joué en 1998]

Annotation :

Mon autre mythe fondateur : le voyage à Riven. Un grand choc esthétique et musical couplé à l'excitation d'explorer un nouveau monde crédible et complexe. De quoi atténuer la frustration due à sa grande difficulté.

[Joué en 1999]

Annotation :

Le plaisir de revenir à la source. Broken Sword n'a rien inventé, mais ses personnages et ses doublages m'enchantent.

[Joué en 1999]

Annotation :

Parcourir Myst m'a procuré un plaisir moindre que de visiter Riven, mais je ne pouvais pas passer à côté des origines de la série. Replacé dans le contexte technologique et ludique de l'époque, c'est un chef-d'œuvre.

[Joué en 1999]

Annotation :

Un voyage imparfait mais qui reste agréable.

[Joué en 1999]

Annotation :

Une vision originale du Discworld et un hommage sympathique aux films de genre.

[Joué en 1999]

Annotation :

Le dernier membre de ma Sainte Trinité, grâce à une écriture splendide, une poésie macabre unique, un univers riche et les personnages les plus attachants du jeu d'aventure. Son indisponibilité officielle sur les systèmes actuels est un crime.

Mise à jour post-E3 2014 : Grim Fandango est de retour, ô jour de gloire !

[Joué en 2000]

Annotation :

Ma première vraie déception par rapport à l'avis général. Aucune des qualités traditionnellement mises en avant le concernant (scénario, univers) ne m'ont touché.

[Joué en 2000]

Annotation :

La version 6 CDs était techniquement calamiteuse. Hélas, pas de lecteur DVD-ROM pour moi à l'époque ! Schizm, déjà assez froid et compliqué à mes yeux, n'en est pas sorti grandi.

[Joué en 2002]

Annotation :

Le pétard mouillé des années 2000. Si ce faux Messie n'était pas sorti en ces lointains temps de disette, on n'en parlerait sûrement plus.

[Joué en 2003]

Annotation :

Une expérience à part, à laquelle j'ai complètement adhéré. L'imbrication du réel et du virtuel est parfaitement gérée dès ce premier épisode.

[Joué en 2004]

Annotation :

Mieux que le premier, mais ça reste un peu froid et pas particulièrement mémorable. La preuve : il a fallu que je retombe sur de vieilles notes que j'avais prises pour me souvenir que j'y avais effectivement joué.

[Joué en 2004]

Annotation :

Lui, c'est le pétard mouillé de la DS. Pas palpitant, pas incroyable dans ses mécanismes. En plus, à cause d'une énigme mal fichue, j'ai abîmé très tôt mon écran tactile, on comprendra donc mon agacement à son égard.

[Joué en 2005]

Annotation :

Mon premier contact avec le visual novel en quelque sorte.

[Joué en 2006]

Annotation :

Une suite sans bouleversements majeurs et qui se laisse suivre agréablement.

[Joué en 2007]

Annotation :

Un très bon jeu de réflexion, à condition de ne pas être réfractaire aux énigmes de logique et aux puzzles proposés, plus scolaires et moins fantaisistes que ceux que j'apprécie dans les point & click pur jus.

[Joué en 2008]

Annotation :

Probablement mon épisode favori avec le premier.

[Joué en 2009]

Annotation :

Frais, bien fichu, une belle surprise. Peut-être aussi un des rares jeux Wii où le motion gaming apporte une plus-value ludique.

[Joué en 2009]

Annotation :

Le même que le premier (à savoir : un humour médiocre, des personnages médiocres, des énigmes sans plus), mais le scénario potable a été remplacé ici par un gros caca aux relents injustifiés de fantastique et qui s'achève sur un "à suivre" lamentable.

[Joué en 2009]

Annotation :

Soyons honnêtes : j'étais prévenu, mais je n'ai pas pu m'empêcher. Bilan : trop de déplacements de caisses, globalement moche et l'esprit d'antan n'est plus qu'un fantôme qui hante le software.

[Joué en 2009]

Annotation :

Une version dont les quelques ajouts sont absolument inutiles. L'unique intérêt aura peut-être été de renflouer les caisses de Revolution Software et de permettre la mise-en-branle du cinquième épisode.

[Joué en 2009]

Annotation :

Dans la lignée des précédents, malgré des personnages un peu moins attachants.

[Joué en 2009]

Annotation :

J'ai beaucoup d'admiration pour Heavy Rain, qui, malgré ses défauts et les polémiques qui l'entourent, reste pour moi un très grand moment d'émotion et une tentative louable de proposer autre chose que ce à quoi l'on est habitué.

[Joué en 2010]

Annotation :

Il était temps de passer par la case "grands classiques". Je n'ai pas été déçu. J'ai ri comme rarement.

[Joué en 2010]

Annotation :

Rien d'extraordinaire dans cette aventure finalement assez old-school, mais bien exécutée et adaptée à la 360. Les fans de Jane Jensen devraient apprécier.

[Joué en 2010]