af (2020)

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Au cinéma.
Il y a un très beau climax d'amertume quand Amy se refuse à Timothée Chalamet (je ne retiens pas les noms de tous les personnages désolé), et que parallèlement Jo regrette de l'avoir rejeté, mais tout se passe beaucoup trop bien ensuite. C'est le projet même du film, mais ça ne m'a pas empêché d'être déçu, surtout un mois après avoir découvert Les Deux Anglaises et le Continent qui me semble être une référence pour Gerwig. Deux choses sinon : une belle scène de montage sur papier qui légitime tardivement le montage haché, et un côté exagérément bavard agaçant hérité de la filmographie de la cinéaste, mais qui donne un aspect cérémonial bienvenu aux scènes silencieuses (le piano).

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Au cinéma.

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Au cinéma.

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Au cinéma.

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Au cinéma.
Film très auto-satisfait de ses effets plus ou moins charmants.
Entre deux cabotinages de Hu Ge (il imite les gangsters du cinéma avant d'en être un), ça tourne beaucoup en rond, alors que ça aurait pu être une spirale. Beaucoup de promesses non tenues dans les 30 premières minutes en tout cas, je suis content de l'avoir vu pour le premier flashback.

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Au cinéma.
Ça commence mal pour devenir de mieux en mieux. Bon film cinéphile, fétichiste du point de vue. Évidemment qu'à un rendez-vous au cinéma, devant The Searchers, la femme reste.

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Au cinéma.

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Au cinéma.
À cause de la tendresse.

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Au cinéma - 35 mm.
Un film naturaliste d'Hitchcock, ça n'a aucun sens. Alfred à la limite de tagger ACAB sur le métro de Jackson Heights. Fonda avait déjà joué l'homme bon chez Ford, sauf que dans Young Mr. Lincoln, il lit le code pénal ; Many devait avoir oublié cette vie antérieure.

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Au cinéma.

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Au cinéma.
Tel le con qui aime les choses trop longues pour leur bien que je suis, je me suis motivé à aller voir ce film en apprenant qu'il était le premier volet d'une trilogie. On voit le film différemment quand on sait qu'on y reviendra. Un très beau plan-séquence en travelling sur l'eau pendant un rendez-vous amoureux, soit un des meilleurs usages possibles du plan-séquence : la naissance de l'amour autour d'un peu de nage, d'une histoire, et d'une rencontre derrière une vitre pour finir. Les expérimentations de point de vue sonore sont étranges, mais quand ça fonctionne (notamment à la toute fin), c'est assez beau.

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Au cinéma.
J'ai vu aucun film de Pasolini.

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Au cinéma - 35 mm
Dissoudre, dissolve. Petit film parfait, qui glisse sur tous ses lieux communs comme un savant, qui ébahit toujours à la seconde nécessaire.

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Au cinéma.
Pas complètement prêt, je le reverrai. Séance un vendredi à 14h oblige, petite sieste pendant le dernier mouvement du film.

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Au cinéma.
Le suspense de la chaussure dans la poche. Un peu un film sur la fin du monde, quand tout devient trop littéral.

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Au cinéma - 35 mm
On comprend mal le scandale qui sous-tend l'intrigue, dommage. Mais on trouve dans ce film certaines des plus belles nuits new-yorkaises qui soient, et la projection apocalyptique à la fin est extraordinaire.

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Au cinéma.
Un taxi en remplace un autre. I need a coup de rouge.

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Au cinéma.
Une anthologie marabout-bout de ficelle de modèles de vie. Forcément inégal, mais le dispositif les empêchait de couper, donc les temps faibles participent à la nécessité de cette trop longue balade.

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Une longue publicité pour Pokemon Go. Ça pourrait limite être intéressant, avec le film qui rejoue des trucs de réalité augmentée pour développer cet aspect publicitaire induit, mais bon. On en arrive à voir des blockbusters de merde simplement parce qu'ils ne sont pas cyniques, sale histoire.

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"je suis très féru de slow". Trois bons acteurs bien dirigés et quelques répliques parfaites mais faiblesse générale de l'entreprise entre originalité soudaine et déroulement attendu de scénario filmé.

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Ouais je sais pas, quand la première guerre mondiale pénètre le champ de l'île il y a un truc, un petit bouleversement. Puis j'arrive à croire qu'elle voit un homme pour la première fois, ce qui n'est pas rien. Les problèmes sont les mêmes que partout, n'en parlons pas, sale histoire #2.

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Au cinéma - 35 mm

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Au cinéma - 35 mm.
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Don't ask

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