Albums écoutés en 2019

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L'année 2019 commence avec du gros métal qui tache. On reviendra sur l'originalité mais la puissance est là.

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C'est joli & agréable tout en faisant toucher l'une sans faire bouger l'autre.

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Un style tellement original qu'il m'est difficile d'apprécier à sa juste valeur l'album. Pourtant, c'est plaisant et je compte bien me pencher plus sur l'artiste.

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Découverte de la discographie de Bring Me The Horizon en 2019. Pour leurs débuts, bien que ce scream constant soit désagréable on note tout de même des instrumentales travaillées et les bases d'un univers solide.

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Curieux mélange Electro-psychédélique accompagné d'un chanteur rappelant fortement Etienne Daho. Ce n’est pas particulièrement ma tasse de thé mais il faut reconnaître que c'est rafraîchissant et efficace.

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C'est joli, doux et mélancolique. Entre ennuie et rêverie.

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MM maîtrise sa voie, tantôt plaintive tantôt furieuse. Belle énergie dégagée par cet album bien construit sur l'ascension de l'antéchrist qu'il incarne.

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C'est doux & onirique mais quelque peu soporifique par la même occasion.

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Un album de death-metal qui ne se démarque pas par son originalité mais qui comprend de belles instrumentales et un travail vocal appréciable.

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L'alchimie parfaite entre le rock alternatif et le blues où MM porte une voix posée et maîtrisée. Puissant et incisif, une pépite.

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Un groupe qui semble bloqué à ses teenage drama d'il y a 20 ans. Le produit n'est pas désagréable à l'écoute mais une sorte de malaise se ressent.

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MM Délaisse le Rock industriel pour apporter des instrumentales plus électroniques, probablement pour coller au personnage de l'alien qu'il incarne dans ce nouvel opus. Il en ressort un alum accessible tout en dégageant cette fureur et cette énergie propre à l'artiste.

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Oui il y a un certain flow, une certaine diction, des intru correctes mais rien de bouleversant. Déjà entendu, la plupart des lyrics se retrouvent un peu partout dans le rap FR mainstream.

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Le groupe BMTH innove à nouveau. Cette orientation électro et plus sage est perturbante mais se montre par moments efficace.

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Probablement l'album que j'apprécie le moins. Au delà de quelques titres iconiques ("This is the New Shit", "mOBSENCE" ou "Tainted Love") la production ne m'a pas particulièrement marquée. L'insolence et le rejet de la société contemporaine semble diluée par un pointe d'ironie et d'instrumentales plus conventionnelles.

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Du Jul, avec une pointe de maîtrise en plus et un thème street-cred réchauffé.

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La pochette m'a fait venir sur cet album. Finalement, c'est bien plus propre et organisé que le laisse deviner l'image mais ça ne se démarque pas particulièrement.

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Tournant dans la carrière de l'antéchrist. Un album plus sombre et mélancolique abandonnant l'attaque frontale de la société et du conformisme pour se focaliser sur le thématique de l'amour dévastateur. La composition Gothic-rock viennent parfaitement accompagner les propos.

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C'est toujours agréable de voir un artiste se renouveler, en revanche, on ne peu pas toujours adhérer au nouveau style musical.

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Très sage. Marilyn a pris le pas sur Manson. Un album agréable mais son fond.

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Anecdotique. L'antéchrist nous livre une copie efficace mais sans saveur. Des instrus banales, des paroles plates, une prestation stable mais sans originalité.

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Le révérend nous propose une oeuvre alternant morceaux assez rock-industriels, proche de ses racines premières et d'autres compositions plus glam-rock contemporaine, portant cependant toujours la thématiques de l'abrutissement de masse, qu'il soit religieux ou social. La romance noire est-elle aussi bien représentée.

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Un style musical assez atypique sur la scène Française actuelle, s'approchant d'Etienne Daho, de la poésie, des couleurs, du positivisme. Du très bon, impatient de découvrir les prochains projets de l'artiste.

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Oui, c'est très "émo" dans les thématiques (la souffrance, la mort, le désespoir) tout ça accentué par des cris plaintifs MAIS le deathcore s'est partiellement effacé au profit du métalcore pour donner aux instrumentales une place plus importante, à la guitare des partitions furieuse et aux chœurs une nouvelle énergie.

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Je regrette de ne pas avoir prêté mon oreille à ce groupe plus tôt. Le cap vers le néo métal s'affirme, avec des instrumentales et des chœurs s'approchant des (excellentes) tendances de l'époque tout en étant bien plus personnel, en évoquant les problème d'addictions du chanteur et des difficultés vécues par le groupe.

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Du Buckcherry efficace, propre à son style. Aucune évolution notable mais le plaisir d'écoute est au rendez-vous.

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Une certaine fraîcheur se dégage de cette auteure-compositrice-interprète. Bien que les textes restent conventionnels la forme est inspirée et pose les bases d'un univers personnel appréciable.

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Mon Dieu, pourquoi Marina ? J'appréciai l'artiste pour ses qualités indéniables de chanteuse accompagnées de ses mélodies pop assez colorées, joyeuses, avec un brin de folie. Ici, la magnifique voie de l'artiste est écrasée par des mélodies de grande surface insipides et indistinguables de la masse produite aujourd'hui. Marina n'a visiblement plus grand chose à nous raconter.

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Non. Je n'arrive pas décidément pas à aimer ce groupe. L'univers est visiblement spécifique au groupe, le vocoder est maitrisé mais je n'arrive pas à apprécier un album basé sur des sujets déjà écouté : Rue, argent, illicite (avec une pointe de famille).

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Cette fusion Electro-hip-hop n'est pas pour moi. Désagréable à l'écoute bien qu'on ne puisse nier le travail derrière l'oeuvre.