Albums écoutés en 2024

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Belle découverte d'un trio qui mélange à la perfection les chants anglophones et hispaniques sur des instrumentales à l'énergie folle. Je vais revenir souvent sur cet album.

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On continue (et achève j'espère) la découverte de la discographie d'Eddy. Un album assez lent mais agréable qui oscille à son habitude entre variété Française et rock-blues Américain. L'artiste est toujours aussi drôle et spontané. Curieusement, c'est la chanson sur le Vigile qui m'a le plus marqué.

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Album qui souffle le chaud et le froid. Certains titres semblent ressusciter le DUC d'avant avec des instrumentales; une voie sans filtre et des punchlines dignes de "Panthéon" et "Temps Mort" ("Rebel" ; "SportBilly"; "6G") et d'autres se calquer sur une modernité terriblement fade à base d'instrumentales latines/électro dansantes, de gros vocoder, et de lyrics parfaitement anecdotiques ("Saga";"Signé";"GM"). Et pourtant je sais que l'album va tourner dans ma playlist 2024, en skippant systématiquement de nombreuses pistes.

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Un album qui a suivi toute ma jeunesse post Linkin-Park. A l'équilibre entre folie insouciante de la jeunesse et début d'autonomie d'adulte. Très lié à cette période où l'ont venait d'avoir le permis, on bougeais à la mer ou chez des amis toujours avec cet album à fond et ceux qui ont suivi sur cette période. Un album de coeur donc mais qui n'est pas, en toute objectivité, sans défaut avec un scream encore parfois instable et un enregistrement qui sonne parfois amateur.

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Très belle découverte de ce début 2024. Impatient de voir l'artiste s'exprimer sur un format album.

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L'album n'a pas vieilli. Je me tape toujours des barres en chantant.

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L'album le plus généreux et contenant le plus de pépites épiques hilarantes.

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Quelques très bon morceaux mais dans son ensemble rien de marquant.

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Un album qui va decrescendo en qualité. Autant j'adore chanter l'introduction et m'énergiser sur les titres suivants, autant j'ai complètement oublié les derniers titres.

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Bande originale de toute une époque de ma vie. Vie étudiante, vie insouciante. Soleil en Normandie.

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Un album qui me ramène systématiquement dans mes souvenirs d'été de jeune adulte.

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Découverte dans un bar. L'ambiance musicale dégagée par cet album est formidable.

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Resté dans ma playlist pendant des mois. Toujours débuté mais rapidement abandonné. Cet album a failli me faire abandonner mon projet de découverte de la discographie d'Eddy. Curieux, car quand on prend les paroles celle-ci sont plutôt drôle et les sujet évoqués assez éclectiques. Pourtant la sauce n'a pas pris.

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S'écoute sans déplaisir sans pour autant marquer de fulgurance. De la pop-rock assez classique, calibrée mais agréable. Je doute cependant de me souvenir des morceaux d'ici quelques mois.

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Sans éclats remarquable mais une très bonne sons violente et énergétique.

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Bande-sons du bureau ces derniers temps. Pour externaliser les problèmes administratifs et RH, rien de mieux que la bonne B.O de pétage de gueule ultra-bourinne.

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Eminem n'a rien perdu de son humour et de son impertinence tout en nous offrant une sorte de bilan quant à sa carrière et sa vie personnelle. De nombreux titres attaquent les aspects les plus tragique de notre société contemporaine avec humour et irrévérence. Cependant, certains morceaux prennent une atmosphère diamétralement opposée, notamment celui dédié à sa fille qui ne manque pas de m'émouvoir à chaque écoute.

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L'évolution du groupe aux origines metal-core vers un curieux style électro-pop-futuriste-metal" n'est pas déplaisante mais ne me séduit pas entièrement. Suis-je trop attaché à l'éternelle "Sempiternal" ?

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Didier porte parfaitement sa deuxième partie de nom. C'est absolument jubilatoire et drôle. Notre artiste, comme il le revendique si bien, gueule ce que beaucoup de personnes n'osent penser. Moi le premier ? Pas la peine de chercher un parti politique, un courant de pensée, une ligne directrice : Didier tire sur notre époque, tantôt sur le féminisme ou le véganisme, tantôt sur le capitalisme et la démocratie défaillante. Toujours avec vulgarité et musique éclatée même tellement entêtante.

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Un album de Limp Bizkit que j'avais un peu oublié. Il m'avait déçut à l'époque et pourtant, avec le recul, pas mal de morceaux m'ont marqués. A tel point que je me suis surpris à chanter tout du long. Est-ce par nostalgie ? La critique musicale a toujours été un tache complexe tant je manque de maîtrise sur le sujet pourtant il est certain que cet épisode à eu un impact durable sur ma mémoire.

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Après le premier album, j'espérais avec une certaine impatience un futur album plus intéréssant. Il n'en est rien. Sans être désagréable Gringe nous livre une production qui confirme mon premier constat : Un type paumé Parisien qui se morfond sur son mal être. Aucune évolution, on tourne toujours autour de la drogue, de la solitude et de la dépression.

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Cet album semble se situer au carrefour des style musicaux que j'affectionne le plus, passés comme présent. Une forte base de métal, des screams jouissifs mais aussi des raps fluides et incisifs sur de l'humour et l'autodérision. Une géniale passerelle entre le Escape The Fate d'hier, fou et explosif, et la maturité d'un Ronnie combatif mais certain et droit.

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Les premiers morceaux m’ont séduit sans pour autant me transporter mais c’est bien sa deuxième partie qui prend un envol et assois l’univers bouillonnant de ce groupe qui incarnait un nouveau vent de fraicheur sur la scène rock Française. Shaka Ponk est Français, Chante en anglais, a grandi en Allemagne, porte des initialement des valeurs bouddhistes pour s’affirmer ces dernières années sur l’écologie tout en basant ses instrumentales sur du métal funk se liant au hip-hop et l’électro.

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Avec le déchirant départ de Chester, j'étais plus que dubitatif quant à la suite de ce groupe emblématique qui pourrait pourtant faire office de B.O de ma vie tant les morceaux du groupe sont présents dans mon quotidien, forts et liés à d’innombrables souvenirs. Il restait bien le cofondateur Mike Shinoda qui proposait de beaux morceaux en solo mais dont la voie de Chester servait de de contrepartie plus agressive et mélancolique. Emilie Armstrong était clairement le bon choix. sa voie, son énergie, sa présence sur scène redonne un nouveau souffle à ce groupe mythique que j’espère encore suivre des années. L’album tourne déjà quotidiennes en boucle dans mes oreilles et les morceaux comme « The Emptiness Machine » ; « Heavy is the crown » ou « Two Faced » sont dors et déjà des bijoux que je chéri.

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Du rap de papa, au sens littéral. Hippo chante sa vie formidable, entourée de sa femme et ses enfants. C’est positif tout en étant porté de ce magnifique sentiment de nostalgie. La tribu du rappeur participe à sa vie, comme à son œuvre. Ça donne le sourire, ça inspire le soleil.

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J’admire la voie d’Adé depuis que j’ai eu la chance de la voir en concert lorsqu’elle était membre de Thérapie TAXI. Sa performance m’a enchanté. Le charme persiste sur cet album solo. En revanche, je suis perturbé par l’alternance des pistes français/anglais qui brise mon immersion dans son univers, bien que je comprenne que cet album soit une sorte d’hommage à la nouvelle vague Rock du début 2000. D’ailleurs, les instrus sont particulièrement réussies sur des pistes comme Forts ; Dissimule ou Let Go là ou d’autres plus contemporaines ne m’ont pas laissé d’emprunte particulières.