Animés vus en 2023

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Mélange bien pensé de légende urbaine, de récit policier tournant autour d'un trafic d'opium dans l'une des rares portes d'entrée du Japon de l'époque, de romantisme (autour du deuil et de la "rédemption", ce n'est pas le bon mot). Les combats ne sont pas incroyables mais ne sont pas centraux. Les personnages et les péripéties sont plutôt chouettes. Dommage que le chara-design des personnages principaux typés (encore que...) japanimation contrastent avec les personnages secondaires et tertiaires, typés japonais d'époque...

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Les personnages sont truculents et certaines péripéties sont sympathiques mais les combats sont très plats (dommage pour un animé centré sur des pseudo-samouraï) ainsi que le climax avec son méchant/monstre sorti d'on ne sait où. Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est une franche déception mais la série ne décolle jamais.

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Une saison un peu en deçà de ce que l'on pouvait attendre après les "deux" dernières", notamment le final. La victoire semble peu satisfaisante en raison de son aspect "hold-up".

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Que l'on parle de l'univers, des personnages, du rythme ou de la mise en scène, l'animé en vraiment bien et mérite plus de reconnaissance. Je trouve hyper stylé tout ce qui tourne autour des maîtres des champignons et de la rouille. Le méchant est classique mais charismatique.

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Oh non ! Pas encore des filles devant affronter des aliens ! Et en plus ce n'est même pas une comédie ! L'animé se prend au sérieux à fond !

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Dieu que cet animé est long et peu palpitant. Certes l'univers a du cachet et les personnages sont charismatiques, mais pour le reste le rythme est lent dans chaque épisode et erratique dans la structure générale de la série pour finir sur une révélation très mal amenée. Ces erreurs sont très préjudiciables parce que si cela eut été mieux géré la série aurait pu être un banger.

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De très belles histoires et des personnages touchants ; un voyage dans le temps amené de manière originale ; un magnifique chara-design ; un portrait habile de la société chinoise (continentale ? insulaire ?).

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Excellent, comme la première saison.

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The fuck ?

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Aime bien la série originale sans en être un inconditionnel. J'ai éprouvé des difficultés à passer outre la CGI mais le principal problème n'est pas là. La série s'essouffle dans sa deuxième moitié une fois les différents personnages et enjeux posés faute de péripéties vraiment marquantes ou de renouvellement desdits enjeux. En d'autres termes on est sur une trajectoire sans surprise et dont la dimension tragique n'est pas franchement mis en image avec talent. Ce n'est pas une purge et je comprends qu'on puisse défendre la série mais ce n'est pas satisfaisant au regard de ce que l'on est en droit d'attendre d'un animé aujourd'hui.

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Une très bonne saison, bien écrite, bien animée, etc. Notamment si on compare au second arc de la cinquième saison (un ennui phénoménal). La dramaturgie nous fait bien sentir le tournant et le choix de la deuxième partie d'aborder un Midoriya écrasé par les responsabilités et la solitude est un choix intéressant.

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L'idée au fondement de l'animé est éclatée mais drôlatique. L'exécution est seulement éclatée.

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Cringe. Pédo/20. Qui a eu l'idée ? Qui a permis de diffuser cela ? Pourquoi ne sont-ils pas en prison ?

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Un harem ecci. C'est un peu marrant mais on se lasse car c'est à la fois cringe et pas assez pour qu'on reste dedans.

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Vu deux-trois épisodes. Je n'ai pas accroché.

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Pour le coup, ça, c'est très drôle, et étant moi-même tout à la fois timide, peureux et introverti, le personnage de Bocchi me semble complètement crédible. Les personnages sont truculents et les gags franchement drôles mais conservent suffisamment de retenu pour maintenir la tranche de vie crédible.

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C'est l'histoire d'un gamin qui découvre qu'il est le fils d'un ninja, très doué, et qui va rejoindre une école où il pourra se constituer un harem. L'animation est à la rue et le rythme rend cela encore plus chiant que cela ne l'était déjà.

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Top cool ! Bonne adaptation du manga à l'exception des CGI qui nous privent de beaux combats (ne les défendez pas on sait avec Jujutsu Kaisen que Mappa sait encore faire). La mise en scène et le travail des seiyuu en font presque un objet de cinéma qu'un simple animé.

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L'animé ne parvient jamais vraiment à dépasser le principe d'un shonen-Harry Potter. L'humour tourne en boucle sur deux gags : Mash qui règle toutes les situations de la même manière et les choux à la crème. L'animation est cabossée et la mise en scène parfois également (des couloirs qui changent de dimension, etc.).

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Bonne adaptation. L'animation fait le café et la musique appuie bien le côté oriental. Manque tout de même de fougue et de moments de bravoure pour entrer dans la légende.

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Principe intrigant pour un isekai : vivre dans les deux mondes (y compris le monde réel) en parallèle. Or, pour le reste, l'animé fonctionne comme tout isekai : toutes les péripéties visent à sublimer le héros et ses qualités, mais aussi à étoffer un harem ridiculement étendu. Le fait que le Yuya est un ancien gros n'est jamais exploité (du genre développer un syndrome de l'imposteur ou que sais-je encore) malgré un bref parallèle avec l'un des "méchants". Plusieurs dialogues sonnent faux ou des personnages ont des réactions curieuses par rapport au contexte. Très immature comme tous les isekai bas de gamme. Étant donnée la promesse non tenue, sinon quoi je ne me serai pas aventuré à regarder la série in extenso, c'est une pertes sèche de temps.

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Bonne surprise. La comédie s’articule très bien avec la "tranche de vie" avec ce principe d'un homme adulte qui se découvre sur le tard un grand pouvoir mais cherche à l'utiliser pour vivre au mieux son quotidien et tisser des liens avec son entourage (couple, belle-famille, famille adoptive et père biologique, etc.). On aboutit à un rite initiatique pour entrer dans la vie ordinaire/communautaire, avec un petit air de "retour aux racines" (à la campagne, à la famille biologique et au couple traditionnel, c'est conservateur certes mais basé en raison de l'importance de relations saines avec autrui). Pour autant le héros doit tout de même surmonter quelques épreuves. En comparaison d'un Cheat Skill Level Up tout est plus fin et pesé en termes d'écriture, notamment des personnages. Pas de harem (malgré du fanservice, mais qui se permet d'être parfois justifié), le rythme est bien géré, la mise en scène est très convenable, pas de manichéisme, une animation sans fantaisie mais qui se tient jusqu'au bout, un chara-design peut-être pas inspiré mais bien utilisé, un univers un tout petit peu consistant, et juste assez d'originalité dans le script pour que le spectateur soit investit. L'animé est même suffisamment mature pour sous-entendre la sexualité active du couple, une rareté dans la japanimation. Le point faible est dans l'antagoniste qui est casé au forceps dans l'intrigue. Bref, un divertissement dont on aimerait qu'il soit l'étalon de la "moyenne" mais qui par la force des choses se retrouve propulsé dans la catégorie "pas mal du tout".

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Très cool malgré le format et l'attente.

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Un isekai basé sur la cuisine. Il fallait oser. Animation de bonne facture au service d'un scénario sans grande ambition mais qui a le mérite de mettre en scène des personnages attachants et un univers un peu plus intéressant que d'ordinaire dans ce genre.

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Mise à part un final un peu laborieux c'est tout de même un animé de propagande militariste pour les Forces d'Autodéfense qui se paie le luxe d'avoir un univers un peu plus recherché que la plupart des isekai, une intrigue différente et des personnages assez cools. D'autant que la série s'attarde particulièrement sur les conséquences sur les deux mondes de la rencontre à travers la "Porte". Mention du déshonneur pour le diplomate qui cède à ses penchants pédo, à un des rares moments où ma mère est venue mâter l'anime. Beaucoup de moments on est en mode "qu'est-ce qu'on les éclaterait les gens d'un isekai avec nos tanks" et de "engagez vous dans les FAD pour avoir un harem".

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Une animation qui a parfois des faiblesses mais compensée par un scénario qui se tient assez bien. Chara-design assez chouette, des thèmes difficiles abordés sans complaisance mais parfois avec de la maladresse, des principes (types de bombes, règles du jeu de la mort) bien exploités. La conclusion de cette unique saison (beuh) est sympa vu que le héros fait preuve de compassion et d'empathie pour le mec qui la trahit et la nana qu'il veut sauter, refusant implicitement la philosophie du battle royale. L'inverse de cette daube de King's Game qui a laissé une trace de frein ineffaçable sur mes souvenirs.

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"Remake", si je puis m'exprimer de la sorte, de l'animé de 2006, lequel était complètement éclaté au sol. Comme quoi même une histoire un peu faible, si elle est contée et réalisée avec talent peut donner une production fort convenable. L'ensemble ne casse pas des briques non plus mais l'animation est de très bonne facture, le rythme est maîtrisé et les trucs cringe ont été évacué.

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Un petit bijou. Grande réussite dès le premier épisode : le personnage d'Aï nous écrase dès le départ, comme son ombre écrase les autres dans le reste de la série. Lucide sur le milieu sans tomber dans l'outrance d'un TV show yankee. La structure reste la même que celle 'un isekai (le couteau jouant le rôle du bus) tout en nous fournissant des intrigues évoquant du Death Note (en plus simple et en plus gentil).

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Une entreprise où tous les employés sont jeunes et innocents. Série à sketch mais sketchs liés entre eux. Comédie romantique tout à fait sympathique.