Aventures dessinées de 2020.

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Achevée le 16 janvier.

Un troisième épisode dans la parfaite continuation des précédents, génial mélange d'aventures, d'humour décalé et de bons mots, magnifiquement illustré par des graphismes de toute beauté.

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Achevé le 23 janvier.

Une première anthologie qui contient la série publiée par Dark Horse en 1991 et sa suite "The Mask Returns", toute deux imaginées par John Arcudi et Doug Mahnke. L'ensemble a pris un sérieux coup de vieux et il faut adhérer à l'humour bête et méchant mais l'ensemble s'affine heureusement au fil des pages. C'est très con mais les auteurs détournent efficacement la figure du super-héros tout en questionnant la violence admise qui y est généralement associée. Il est d'ailleurs amusant de découvrir que le film, bien qu'extrêmement édulcoré, en aura reprit des pans entiers, en prenant bien soin d'en retirer tout l'aspect subversif.

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Achevé le 25 janvier.

Takehiko Inoue continue sa longue parenthèse sur le personne de Sasaki. Et c'est toujours aussi puissant, formellement comme émotionnellement.

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Achevé le 3 février.

Après deux chouettes spin-offs, la série "Black Hammer" revient à son intrigue initiale, Jeff Lemire assénant aux lecteurs une sacrée révélation et un cliffhanger insoutenable.

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Achevé le 10 février.

Après une longue parenthèse, Takehiko Inoue reprend le cours de son récit principal. Sans surprise, c'est toujours aussi beau.

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Achevé le 11 février.

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Achevé le 11 février.

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Achevé le 12 février.

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Achevé le 12 février.

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Achevé le 12 février.

Après une poignée de tomes plus contemplatifs même dans les séquences de duel, Takehiko Inoue déclenche les enfers, noircis son trait et plonge son héros dans un véritable massacre. Le style du mangaka gagne encore en intensité et le découpage est virtuose.

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Achevé le 13 février.

Suite et fin d'une bataille incroyable, où la beauté des duels a laissé la place à un déchaînement de violence n'ayant plus rien d'admirable. Puissant.

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Achevé le 13 février.

Retour au calme pour ce tome plus introspectif, où l'auteur réunit enfin ses personnages principaux trop longtemps séparés.

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Achevé le 13 février.

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Achevé le 17 février.

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Achevé le 17 février.

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Achevé le 18 février.

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Achevé le 18 février.

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Achevé le 19 février.

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Achevé le 20 février.

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Achevé le 21 février.

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Achevé le 21 février.

Plus proche du drame humain que du chanbara classique, ce 37ème tome permet à Inoue d'aller encore plus loin dans sa quête de transcendance, qu'il s'agisse du récit ou du style graphique. Le tout est chargé d'une émotion à fleur de peau absolument magnifique, nous faisant regretter que l'auteur n'ai toujours pas donné suite à ce qui peut s'apparenter à son Magnum Opus. Mais d'un autre côté, si l'aventure devait se terminer ici, malgré la frustration, cela ferait un final très beau.

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Achevé le 22 février.

Rumiko Takahashi reste en terrain confortable et n'apporte pas grand chose de neuf à sa série mais ça fonctionne encore du tonnerre.

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Achevé le 22 février.

Le style de Hiroya Oku est de plus en plus froid et son fan service est toujours aussi roublard mais ce second tome permet à l'auteur d'esquisser une attachante histoire d'amour, de questionner les réseaux sociaux et de se faire plaisir en terme de destruction massive.

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Achevé le 22 février.

Oku développe son récit avec efficacité, tapant à l'occasion sur le gouvernement japonais, sur la figure familiale et semble remettre en question le concept de "geek", ses jeunes protagonistes masculins étant surtout motivé par le cul.

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Achevé le 23 février.

Un huitième tome qui nous plonge dans les souvenirs d'un des personnages principaux, offrant un nouvel éclairage à l'ensemble. Asano accouche définitivement d'une des meilleures séries de ces dernières années.

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Achevé le 24 février.

L'émotion est un poil moins forte que lors des deux tomes précédents, l'intrigue étant plus conventionnelle. Ce qui n'empêche pas ce troisième volet, narré à hauteur d'enfants, d'être un beau récit sur la tolérance et de développer efficacement la mythologie imaginée par Yoshitoki Oima.

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Achevé le 24 février.

Ces nouvelles publiées entre les années 70 et 90 ne valent pas les précédentes de Kazuo Umezu que l'on peut lire dans "La femme serpent" ou "La maison aux insectes". Mais il émane toujours cette étrangeté, cette ambiance cauchemardesque et glauque, le regard cruel sur l'enfance posé par le mangaka étant d'ailleurs toujours aussi fort.

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Achevé le 25 février.

La rencontre entre la body horror de Cronenberg, l'invasion extra-terrestre protéiforme de "The Thing", l'humour décalé d'un Frank Henenlotter et le "Devilman" de Go Nagai. Si le dessin est encore un peu brut et maladroit, le mélange des genres fonctionne à merveille, bénéficiant de visions cauchemardesques bien déviantes et d'un début de réflexion sur la relative importance de l'espèce humaine. Que tout cela est prometteur !

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Achevé le 28 février.

C'est un véritable génocide qui est décrit dans ce tome plus violent, où l'humour n'a quasiment plus sa place, le tout parfaitement mis en images par Toriyama.

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Achevé le 1er mars.

C'est toujours aussi con, inévitablement redondant mais ça me fait toujours autant marrer.