BD : fiche de lecture

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A la recherche du tome 5.

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Très original, ce comics a un style de dessin très bizarre imitant la distorsion de la réalité par la folie. De plus, on ne sait pas très bien qui parle, les personnages ont tendance à se mélanger, ce qui s'accorde bien avec le thème très présent de la personnalité multiple (l'exemple de Double-face et le dé). C'est vraiment le genre de comics qu'il faut un peu feuilleter pour mieux savoir si on va accrocher ou non. En tout cas, c'est vraiment une aventure de Batman qui se démarque des autres tout en respectant son univers notamment la personnalité complexe du joker.

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7/10 au final
Le premier tome est très moyen, d'un moralisme plombant où le héros est insupportable, ce n'est pas sans raison, mais peut être aurait-on pu éviter certaines scènes chocs un peu trop lourdingues. La suite est bien meilleure. L'adolescence est abordé d'une manière intéressante.

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Que la blonde soit vénale, je ne vois aucun problème la dessus, car cest bien entendu une evidence, mais que lon parle d'endroits ou de personnes défavorisés qu'à travers des termes très meprisants me semble problématique ("pouilleux", "pourri", tout un vocabulaire autour de l'idiotie...). Mon allergie au far west perdure

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Le début est très bon (les dessins sont magnifiques et très bien pensés) à part quelques scènes où Batman ressemble un peu trop à une montagne de muscle impressionnant pas très réaliste. J'ai au fur et à mesure été lassé par la structure narrative un peu linéaire (meurtres/enquêtes/apparition d'un nouveau personnage) et surtout par des grosses ficelles du scénario. Les personnages sont beaucoup trop nombreux, certains semblent là juste pour le fan service tandis que leur traitement manque de profondeur. Ma note est peut-être vache car l'histoire comporte des scènes d'anthologie, mais il y a trop de rebondissements pas toujours de qualité, défaut qui a tendance franchement à m’agacer.

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J'allais mettre 7, mais malheureusement les derniers rebondissements m'ont beaucoup déçu. J'ai tendance à ne pas apprécier les histoires qui accumulent les rebondissements surtout qu'en général ils ne sont pas forcement extrêmement bien pensés. Il y a des scènes de très grande qualité dans ce comics, mais étrangement aussi des grosses facilités scénaristiques notamment dans les scènes d'actions. Par exemple, la course poursuite entre Harvey et Catwoman, où elles discutent et font mille acrobaties en même temps, cette dernière essaye d'attaquer à mains nues son ennemie qui lui tire dessus et finira par recevoir une balle. Je sais que Catwoman et Batman combattent en partie sans armes, mais au moins peuvent-ils agir contre leur ennemie avec davantage d'intelligence.
Je n'aime pas trop les dessins non plus même s'ils sont très beaux car je trouve l’esthétisme des corps beaucoup trop irréels et exagérés. Cela aurait été parfait par contre dans un porno !

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Excellent : commence doucement pour finir en apothéose (la fin m'a un peu déçu en revanche). Une des meilleurs "sagas" que j'ai lus.

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Alan Moore a le talent des idées de départ. Une ville composée entièrement de super héros. Voilà qui mérite une certaine attention même si le genre du superhéros n'est pas toujours composé de super scénaristes. Watchmen m'a donner envie de la même manière, mais à la différence de Bienvenue à Néopolis, Alan Moore est devenu un nom pour moi loin d'être anodin dans mon vocabulaire personnel (marqué surtout pour son travail pour The Swamp Thing la créature des marais). Désormais, ce n'était plus seulement le pitch qui me donnait envie, mais l'imagination débordante du scénariste qui était susceptible de m'intéresser.

Et à ce niveau-là, la dimension fantastique est plaisante, les personnages sont variés, les histoires également. Si les dessins des personnages sont relativement réussis, le comics semble rendre hommage aux caméras folles des premiers jeux vidéos en 3d en choisissant les angles de vues les plus improbables, n'aidant pas à la compréhension de l'histoire : qui parle à qui ? Voire carrément à se dire : qu'est-ce qui se passe ? Le nombre incalculable de personnages, importants ou non ou la volonté d'enchainer scènes d'actions sur scènes d'actions en variant sans cesse les situations et les dialogues entre les personnages n'arrange rien à l'affaire. X(Spoiler) Je trouve les scènes d'action particulièrement confuses telles les scènes où l'on suit le conducteur de taxi aveugle dans son véhicule, la scène où le suspect durant son interrogatoire dérobe l'arme du cow-boy, la scène où le chien-humain se bagarre avec un autre personnage dans la cantine etc.X


Si malgré tout l'action est agréable à suivre par le fait qu'on ait souvent surpris ou que tout s'enchaîne sans temps mort, on se retrouve devant peu de caractères très mémorables, broyés par ce zapping incessant de personnages. On retient surtout leur pouvoir ou leur spécificité physique où les corps sont hélas hypersexualisés. L'héroïne et Smax se démarquent, mais là aussi on se retrouve devant les clichés, entre la fille pleine d'humanité et le héros associable (et un peu antintellectuel ). Smax m'a fait pas mal penser à un mix entre Rorschach et le Dr Manhattan de Watchmen. Rorschach parce qu'il représente un personnage nihiliste associable vu et revu comme Tyler Durden de Fight Club ou le personnage principal d'American Beauty, le Dr Manhattan pour son apparence physique (physique imposant, muscles, peau bleu) et ses pouvoirs divins.

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(suite critique Neopolis tome 1)

...Si bien que j'ai une impression de déjà-vu et j'ai pu anticiper quelques évènements.

D'ailleurs dès qu'on enlève le voile du fantastique, on se retrouve devant des situations très convenues voire navrantes notamment avec toutes les discussions autour de la possibilité que l'héroïne soit "gouine", les affrontements entre personnages décoratifs, les enquêtes assez classiques sans compter la "personnalité" des méchants ultrabasiques. Enfin, le plus énervant est l'humour où le comics est incapable d'instaurer une morale spécifique aux personnages et non générale. On se moque par exemple du Cowboy comme un fils à maman parce qu'il vit chez sa mère par exemple en présupposant que tous les gens qui vivent avec leur mère sont condamnables, donc en se basant sur une morale générale uniformisante qui exclut la spécificité des individus.

Le livre multiplie les jugements de valeurs notamment autour du physique des personnages (et pas seulement sur le caractère extraordinaire des personnages, mais leur âge, leur corpulence) et se moque que l'héroïne pourrait être lesbienne (l'emploi pas anodin du terme "gouine"). Une vraie déception qui m'incite à relire d'autre Alan Moore pour mieux savoir si je retrouve les mêmes problèmes.

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C'est le genre d'histoire romantique que je trouve très sympathique. Les dessins sont magnifiques, les paysages, les regards des personnages. C'est aussi très fluide. Malheureusement, le scénario est franchement quelconque, les dialogues banales, pauvres en symboles et en messages.

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J'ai lu jusqu'au tome 11. C'est plaisant à suivre, mais c'est franchement basique comme histoire. C'est souvent des méchants qui font le mal puis Ken arrive, pète la gueule à tout le monde jusqu'à arriver au dernier méchant qui est en général un boss très grand, très fort et encore plus méchant. Après quelques difficultés, il finira par lui péter la gueule lui aussi. Les dessins sont tops en revanche, mais je ne suis pas sûr de continuer finalement.

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(en cours) Scénario très original en terme de "machine à remonter le temps" (je ne sais pas l’appellation exacte de ce type de scénario) mais dont le troisième et dernier tome n'est toujours pas sorti à l'heure où j'écris ces quelques lignes (octobre 2020).

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De l'originalité, des scènes très esthétiques, un scénario très foutraque... Cela me fait penser à du Angel Sanctuary sans le fond. Je ne note pas car j'ai rien compris. Je soupçonne que la traduction soit mauvaise et est responsable de mon incompréhension. Je vois mal des jeunes de nos jours dire "nom d'une pipe" !
Je vais lire le tome 2 malgré tout

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A la recherche du tome 11 Bien parti pour avoir le 10

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J'attends de lire les épisodes #76 et #77 de the swamp thing pour pouvoir m'attaquer à plusieurs volumes d'Hellblazer que j'ai en possession (j'ai peur que ce soit dommage de lire le tome 2 sinon car j'ai peur de me faire spoiler les aventures de The swamp thing)

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(la bd date des années 70)

Les quatres premières histoires soient excellentes, la suite est de moins bonne qualité. Néanmoins, les métaphores intelligentes notamment sur le langage (la créature ne peut pas parler et se fait mal comprendre par certains qui devinent mal ses intentions) ou sur la "monstruosité" sont pertinentes et sont bien pensées. C'est tout de même très bon !

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Abandon parce que cela m'évoque trop les histoires d'aventures avec un héros surdoué à la James Bond

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Lu, mais je suis incapable de le noter. J'ai eu particulièrement du mal à comprendre ce volume (en anglais) notamment parce que certains épisodes étaient très métaphoriques et abordaient des réflexions assez complexes sur la condition humaine, le monde et la spiritualité. Ou alors je suis nul en anglais, j’hésite à trancher.

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La fin m'a un peu déçu. C'est très original, assez barré. Mélange surprenant entre romantisme et horreur, mais je regrette un peu le fait que l'action soit si importante dans ce tome 3. Les nouveaux alliés de la créature sont parfois un peu trop barrés pour moi.

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Inégal, mais assez agréable. Attention tout de même si vous êtes allergique au manga gnangnan (j'aime les mangas gnangnan (j'assume tout)). Les personnages ont tendance à se ressembler un peu trop (je l'ai confond un peu) à savoir des grands hommes beaux efféminés. L'histoire par contre est à mon sens bien sombres par moments et apporte des idées originales sur le thème du vampire.