BD lues en 2016

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Le dessin n'est pas toujours au niveau, notamment pour les personnages masculins, aussi caricaturaux que peu développés par le scénario. Le nu féminin n'est pas forcément non plus très réussi.
J'ai été un peu désarçonnée par l'usage de codes qui se veulent ludiques mais rabaissent surtout le propos. Et la narration va beaucoup trop vite, dommage parce qu'elle aurait gagné à s'étaler davantage (ce qui au passage aurait pu apporter de la crédibilité à l'histoire d'amour qui apparait surtout comme un biais pour aborder la question de la liberté, le personnage d'Ano manquant terriblement de personnalité... Je ne m'y suis pas retrouvée personnellement).

Par contre le lien entre le propos de la BD et son mode de production est pour le coup singulièrement intéressant, et même si je n'ai pas été conquise par le résultat (dont j'attendais il est vrai beaucoup), la démarche mérite d'être soutenue, et on ne retirera pas aux auteurs leurs intentions louables.

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Encore une pépite, et peut-être bien mon préféré de la série. Les illustrations d'Aurélie Neyret font mouche une fois de plus, le changement de décor renouvelle agréablement la série tout en offrant au scénario un cadre des plus enthousiasmants. Bref du tout bon avec encore une fois la petite larmichette à prévoir, une héroïne toujours aussi attachante et une BD jeunesse décidément à part par les sujets qu'elle aborde.

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Un personnage principal à potentiel, une intrigue un peu trop prévisible qui ne parvient pas à instaurer de suspens.

Mise à jour après avoir lu Undertaker (parce que les croque-morts sont à la mode) : au moins cette BD ci promet-elle un traitement un peu plus original que le Undertaker...

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Un récit de voyage très froid malgré les rencontres qui émaillent le récit et le sujet de la bande-dessinée. C'est appréciable de ne pas sombrer dans le pathos, mais à ce point c'est plutôt dérangeant en fait puisque les auteurs ne donnent pas l'impression d'avoir sciemment souhaités ce manque d'empathie.

Une bande-dessinée qui passe à côté de son sujet, vite oubliée.

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C'est assez prétentieux, mais c'était moins dérangeant que je ne le craignais, on se laisse happer par le récit assez facilement.

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Beaucoup de texte, mais une ambiance absolument parfaite !

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Alala cette ambiance ! C'est tellement la BD à lire sous la couette avec un chat sur les genoux et un thé à portée de main...

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C'est tout ce qu'on attend d'une BD de ce type, mais c'est quand même très très cliché.

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Le travail effectué sur les transitions est assez impressionnant, la sonorisation est bien dosée et adaptée. Je ne suis pas une adepte de la lecture sur tablette mais c'est réussi, je regrette qu'une version papier n'existe pas en parallèle. Alors certes, ce ne serait plus exactement la même oeuvre mais elle peut tout à fait exister indépendamment et on y gagnerait en confort de lecture.

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Oui, bah non, pas pour moi !

Je voulais me forcer à aller au moins jusqu'au bout de ce premier tome, je n'ai réussi qu'à finir le premier chapitre. Bon en même temps je pouvais m'en douter, le space opéra et moi n'avons que peu d'affinités, mais ça n'empêche pas la curiosité. Sauf que les hybrides, chats géants et autres personnages avec un écran à la place du visage m'ont définitivement achevée, et je n'évoquerai même pas le bestiaire croisé en feuilletant le reste du volume, on en restera là !

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Ca se lit.

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C'est si creux...

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Une BD déprimante même si l'impression de fin du monde n'est pas assez marquée. Malheureusement je n'ai pas accroché à la direction prise par l'histoire, qui plus est assez prévisible, et j'ai trouvé que les différentes thématiques étaient abordées de manière bien trop superficielles alors qu'il y avait matière à apporter de la profondeur au propos.

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L'utilisation des livres pour sauter d'univers en univers est plutôt bien traitée, c'est une agréable surprise. La mise en place de l'histoire est en revanche trop rapide et il y a des facilités dans le traitement des personnages et de leurs relations. La conclusion arrive brutalement et nous laisse avec de nombreuses questions qui rendent un 2e tome indispensable pour se faire une opinion sur la série.

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Un principe plutôt intéressant qui sert de prétexte à l'introspection du personnage, le scénario utilise cependant quelques facilités qui auraient pu être contournées. Et puis à titre personnel, je suis fatiguée de voir que la découverte de l'homosexualité et la gestion du coming-out sont toujours traités de la même façon, on peut être dans une optique plus positive, ce n'est pas interdit...

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Ok... C'est donc du sous Max de Radiguès. Le dessin est dégueulasse, les personnages sont caricaturaux, on est loin de l'exploration annoncée des sentiments adolescents.

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La première moitié est très prometteuse, la seconde prend une direction qui ne développe plus que la thématique principale en laissant de côté le reste, on y perd en profondeur et c'est bien dommage, on aurait pu avoir une BD d'une grande puissance.

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C'est assez rigolo et l'air de rien l'exercice du résumé n'est pas si facile qu'il y paraît, on retrouve vraiment l'Iliade et l'Odyssée dans les grandes lignes. Par contre l'approximation sur les sirènes, ce n'est pas possible, les sirènes de la mythologie grecque ne ressemblent pas à des femmes à queue de poisson... Et le dessin est vraiment trop chiche pour que ça passe.