BD lues en 2022 + commentaires

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C’est beau, délirant, dense et complètement prenant. Mes quelques mots ne rendent pas honneur au travail de l’autrice, mais quelle BD !

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Outre tout ce qu’on peut apprendre sur le parcours de vie d’une artiste mangaka, la qualité de ce manga autobiographie tient à la personnalité de son autrice. La narration est très bien construite, il y a bcp d’humour ainsi qu’une sincérité palpable. La relation avec son professeur de dessin, fil rouge de toute l’histoire, est particulièrement bien retranscrite et tres touchante.

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Tout est dit dans mon Annotation du tome 3. Le tome 4 est tout aussi bon.

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Lu les tomes 1 à 6 - Très belle découverte : j’ai particulièrement aimé l’atmosphère que l’autrice parvient à diffuser grâce à son découpage des cases et à ses cadrages cinématographiques.

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La BD coup de poing de 2022 pour moi. C’est dense mais extrêmement bien expliqué et très ludique.

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Lus en 2022 : tomes 1 à 4

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J’ai pris beaucoup de plaisir à lire cette BD. C’est esthétique et d’un dynamisme permanent (les plans de certains mouvements de la personnage principale sont géniaux). C’est aussi une jolie critique de notre société de l’image (« la presence »), très bien menée. Une question reste au bout du compte : « le grand vide » est-il réellement la où l’on croit ?

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Un récit graphique autobiographique sensible. Le format des dessins (très beaux) et les morceaux d’existence choisis rendent le tout tres profond.

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A travers les multiples connexions qu’il opère tout au long de son récit, Étienne Davodeau livre un point de vue riche et vivant sur un sujet de société (d’humanité) majeur. Je ne sais pas dans quelle mesure le format BD apporte un + à son reportage, mais il a le mérite de faire exister le sujet et de le rendre accessible aux neophites.

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Suspens & fantastique, Timothé Le Boucher retrouve la recette qui avait fait le succès (a juste titre) de « ces jours qui disparaissent ».

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C’est sur les conseils d’une amie que j’ai lu ce manga. Je ne l’aurai pas fait de moi même, le dessin me faisait penser à une histoire un peu niaise… mais au final très bonne surprise : au delà du dessin, les personnages sont très attachants et j’ai été touché par NonNonBa et le petit Shingarû.

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Bcp de douceur et de tendresse dans cette histoire d’expatriée coréenne.

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Une jolie histoire qui rappelle un peu « lost in translation ».

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Un univers futuriste et déprimant, une héroïne badass, une quête on ne peut plus improbable : cette trilogie est à lire ! Ce Dernier tome est un peu moins prenant que les 2 premiers à mon sens, mais il clôture bien l’aventure.

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Un récit très riche pour tous ceux qui s’interrogent sur la dépression (symptômes, rapport avec les psys, rechutes…).

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Cette œuvre est remarquable : l’histoire est dense, les dessins sont riches, originaux, inspirés, mais j’ai eu un mal de chien à la lire ! Je m’y suis repris à 2 fois, sans que le plaisir ni l’envie de connaître le dénouement de l’histoire ne naissent. Je pense que ma difficulté est surtout liée au graphisme du dessinateur Landis Blair, très particulier et tres sombre.

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Une beau suspens dans des décors magnifiques. Mission accomplie : le récit m’a tenu en haleine. Manque seulement des dialogues un peu plus riches.

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Des scènettes drôles, originales et bien pensées qui nous prendre du recul sur le « cadre » dans lequel nous vivons.

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Je n’ai que de vagues souvenirs de la série mais j’ai pris bcp de plaisir à lire cette suite. L’histoire est bien construite et les dessins très plaisants. On se croirait au cinéma !

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Un récit introspectif qui fait voyager à l’autre bout de la mer Méditerranée, et qui permet de toucher du doigt la vie des jeunes libanais à notre époque.

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Un rire à chaque page, Trondheim maîtrise parfaitement l’art du strip. :)

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Ça commence à s’animer dans ce tome 2 mais le rythme est toujours très bizarre. Au dela de l’histoire il y a de superbes dessins.