BD lues en 2025

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Relu en janvier.

Toujours bon de commencer l'année avec une relecture de Gaston.

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Lu en janvier.

Une bonne BD biographique qui revient donc sur la vie de Joséphine Baker. C'est fort intéressant et bien narré, mais j'ai quand même le sentiment que c'était un peu long, et qu'il y avait un déséquilibre entre certaines périodes de sa vie (qui chacune séparément pourrait faire de très bonnes BD en fait).

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Lu en janvier.

Trouvé d'occasion dans une collection à petit prix, ça fait toujours du bien de pouvoir lire du Javier Pulido. Pour le reste, Chuck Dixon nous gratifie d'une aventure assez basique qui permet d'évoquer les premières années de Dick Grayson en tant que Robin, ce qui est somme toute plutôt sympa, mais loin d'être indispensable non plus.

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Lu en janvier.

J'avoue que je m'en souviens plus beaucoup, mais je prends toujours un certain plaisir à lire cette histoire, qui même si elle prend parfois bien son temps, reste loin d'être désagréable. Je me suis attaché aux différents persos et je suis content de pouvoir les retrouver régulièrement.

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Lu en janvier.

J'étais pas plus emballé que ça par le tome 2, et plot twist, le tome 3 me rappelle à quel point cette série est super. En se faisant complètement passer pour Nina, et ce devant ses parents, Kasane est dans des situations bien tendues et vraiment super à suivre. En bref, j'ai maintenant hâte de découvrir la suite.

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Lu en janvier.

Je découvre ici un des classiques de Cormac McCarthy via une adaptation bd de Manu Larcenet, auteur, que j'ai pas lu depuis un moment (j'ai pas fini Le Rapport de Brodeck, et je suis coincé au tome 3 de Blast).

Et c'est une très grande réussite, j'ai vraiment apprécié le bouquin. C'est hyper âpre et sombre, et on peut imaginer clairement que ce que vivent les persos pourrait un jour être notre réalité. Visuellement c'est somptueux, Larcenet accompagne cette ambiance très lourde avec un dessin sombre et noir, des zones d'encrages assez épaisses, etc. Et en plus, c'est vraiment une histoire assez touchante, et assez fabuleuse à lire.

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Lu en janvier.

J'aime un peu moins que le premier tome, mais c'est toujours fun et réjouissant à lire et relire, y a toujours pleins d'idées rigolotes.

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Lu en janvier.

Classique de Eiko Hanamura, Autant en emporte la brume est une sorte de mélodrame à propos de deux jeunes filles : l'une cherche sa vraie mère après avoir passé sa vie avec son père, tandis que l'autre est la fille adoptive de la mère en question, et va être amenée à se poser des questions après avoir découvert la vérité sur sa famille.

C'est un peu confus à résumer, mais ça se lit très bien, l'intrigue est intéressante à suivre, le traitement des personnages principaux aussi. Y a peut-être une impression de conclusion qui arrive sans trop prévenir, mais à part ça c'était bien. Une bonne découverte.

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Lu en janvier.

Petite série courte sur une jeune graphiste qui découvre le monde du travail. C'est honnêtement super fun, je me télescope assez bien dans cette vie de jeune adulte qui découvre son premier job. Y a peut-être le dessin qui peut parfois paraître un peu faiblard (j'ai eu du mal à saisir les réactions d'un perso à un moment), mais c'est une lecture fluide assez plaisante.

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Lu en janvier - emprunté à la médiathèque.

Second tome de cette toujours chouette BD, qui se déroule donc entièrement au Mexique. On y suit comment la fameuse Charlotte du titre gagne en importance alors que son mari, supposé être empereur du Mexique ne semble plus très intéressé par le pouvoir. C'est donc un tome entièrement de jeux de pouvoir et de décisions politiques, ce qui est plutôt sympa, même si je pense que je l'ai lu de manière trop découpée et ça ne m'a pas plus marqué que ça. Mais ça reste vraiment sympa.

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Relu en janvier.

Je devais être hors ligne sur SC, mais j'avais écrit un petit avis qui en résumé dit: je l'avais déjà lu, et c'est encore mieux à la relecture, les persos sont attachants, et c'est vraiment très plaisant à lire.

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Lu en février.

Classique du manga de yakuza des 90's, avec ce Sanctuary, qui met en scène le quotidien de deux personnages: l'un évolue à la lumière, dans le milieu de la politique japonaise, et l'autre évolue dans l'ombre, chez les yakuzas.

C'est très bas du front et pas toujours subtil, mais c'est assez kiffant. Il faut dire que les dessins d'Ikegami y font beaucoup, avec son style d'encrage hyper classe et épais. Bref, c'est peut-être à réserver aux personnes qui aiment voir cette virilité qui consiste à porter des costards trop grands et se balader les poings dans les poches, mais on passe globalement un bon moment à la lecture, malgré des défauts inhérents à un manga des 90's à ambiance un peu machiste.

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Lu en février.

Adaptation d'un roman dont j'ignorais l'existence, sur un rédacteur des pages cultures d'un journal, sous la dictature au Portugal. Le personnage va rencontrer un jeune écrivain aux sympathies révolutionnaires.

C'est vraiment intéressant, d'autant que je ne connais pas du tout cette période de l'histoire, et l'intrigue met bien en avant les doutes que l'on peut avoir à passer à l'action, et les moyens d'actions que l'on a lorsqu'on vit dans un régime fascisant. C'est aussi plutôt bien mis en image, pour une lecture très fluide et pas désagréable.

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Lu en février.

Sorte de nouveau Paul, qui est en fait un livre illustré plus qu'une BD. Paul part en vacances sur une île avec sa fille. C'est vraiment sympa, une belle tranche de vie et d'histoire de famille très plaisante à lire. De belles réflexions intimistes entre personnages, et c'est toujours sublimement dessiné. J'ai quasiment rien à en dire, mais j'ai été très surpris en bien à la lecture du livre.

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Relu en février.

Toujours un plaisir de relire Gaston, c'est toujours très cool de se faire ça par petites tranches le matin.

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Lu en février - emprunté à la médiathèque.

C'est toujours une série hyper intéressante à suivre, ce tome nous permet de mieux comprendre la conjuration des Pazzi et tout ce que cela implique, et malgré les complications en termes d'intrigue, ça reste pas désagréable et très fluide à lire. Le fait de ne pas en avoir lu depuis quelques mois n'aidant pas, bien entendu. Mais je reste curieux de lire la suite.

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Lu en février.

Autre BD biographique du duo Catel/Bocquet qui me passionne peut-être un peu plus que Joséphine Baker. La plupart des événements de la vie d'Alice Guy se produisent dans une période un peu plus resserrée, et en tant qu'amateur de ciné, c'est franchement intéressant. On voit à quel point Alice Guy a été une pionnière, mais c'est aussi un portrait passionnant des débuts de l'industrie.

Bref, de la bonne bd historique et biographique, vraiment plaisante à suivre.

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Lu en février.

Sous le pseudonyme de Carole Lobel, une grande autrice de bd raconte sous couvert de fiction sa relation avec un type assez toxique devenu un fou d'extrême droite. Évidemment, c'est un sujet assez pesant avec l'actualité qu'on se tape depuis plusieurs mois, mais c'est hyper bien raconté, et ça met bien le point sur les liens entre une certaine forme de virilité et de rapport femme avec une pensée proche du nazisme. Bref, c'est désespérant sur le fond, mais sur la forme, ça se lit hyper bien, et c'est super intéressant.

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Lu en février.

J'avais très envie de tester cette série, et ce premier tome est très satisfaisant. On suit une unchronie dans le Japon féodal dans lequel un virus décime la majeure partie de la population masculine, ce qui donne naissance à une société où les rôles sont renversés.

Les premiers chapitres nous font ainsi suivre un jeune homme qui choisit de rejoindre le Pavillon des hommes, un lieu où l'on dit que 3000 hommes sont là, pour servir de concubin au shogun (qui est donc une femme dans ce monde).

Ce qui est bien, c'est qu'on a pas juste une uchronie qui sert de décor, mais un vrai propos et un récit intelligent et passionnant à suivre. J'ai hâte de découvrir la suite.

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Lu en février.

Shin Zero est donc le nouveau projet d'un duo d'auteurs particulièrement attendu. On y suit un monde dans lequel les héros de sentai (les escadrons de super héros japonais) sont des travailleurs indépendants ubérisés.

C'est donc essentiellement une intrigue très tranche de vie, où l'on suit deux jeunes qui commencent des jobs de super-héros tout en faisant leurs études.

Y a quelques développements en fin de volume qui laisse annoncer quelque chose avec un peu plus d'ampleur, mais ça reste avant tout une histoire très portée sur ses personnages humains, qui sont tous très attachants, et intéressants à suivre.

Et on sent aussi un côté commentaire social pour faire des parallèles avec notre monde, mais j'attends de voir la suite pour ce que les auteurs ont vraiment à nous dire là-dessus.

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Relu en février.

Ce tome contient pas mal de gags en prose, tels que publiés dans des pages du journal de Spirou, et au final assez peu de strips, ce qui rend l'ensemble assez lourd à lire. C'est toujours amusant, bien entendu, mais c'est pas la lecture de Gaston la plus fluide que j'ai eu dernièrement.

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Lu en février - emprunté à la médiathèque.

Ça y'est, je finis enfin une série de Togashi ! Malheureusement, on sent la fin précipité d'un manga du jump qui ne performait plus autant qu'à ses débuts. On lance des arcs avec des ellipses assez énormes (lancer un tournoi de baston avec des enjeux assez énormes pour finir par voir nos héros revenir au lycée comme si de rien n'était) , c'est assez fascinant. Et en même temps, je me dis qu'on peut aussi voir l'explication inverse, peut-être que Togashi voulait mettre un terme à sa série, et en avait marre de ce genre d'intrigue.

Pas simple de trouver des explications pour le côté précipité de la fin, mais en attendant on s'amuse bien avec un tome assez léger. Personnellement, j'étais pas hyper fan des dernières révélations sur les origines de Yusuke, et des histoires de conflits entre les 3 grandes puissances du monde des ténèbres, je suis content qu'on conclue avec un retour des intrigues paranormales au lycée. C'est pas le truc le plus fou, mais on passe pas un mauvais moment.

Au final, on a donc un classique du Shonen Jump vraiment fun à découvrir, parfois un peu trop inégal à mon goût, mais voir l'évolution de l'artiste Togashi qui tente pleins de trucs reste vraiment intéressante.

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Lu en février.

C'est assez improbable, mais ce manga relate une sorte d'Histoire parallèle où les mongoles ont trouvé un moyen de locomotions extrêmement puissant: des mains coupées à des être géants qu'ils vont utiliser comme des chevaux. Passé le premier chapitre qui relate les fameuses invasions mongoles, on va ainsi suivre plusieurs moments historiques (Vasco de Gamma qui navigue jusqu'en Inde, les débuts du fordisme, etc.) mais remanié pour intégrer ces mains géantes comme moyen de locomotion.

C'est assez n'importe quoi, et en même temps très amusants, à condition bien sûr d'aimer l'humour qui peut aller dans des délires assez crades (un dialogues entre persos qui vomissent, des blagues de teub que je qualifierai de "surprenantes", etc.) mais bizarrement fun. C'est peut-être un peu long pour son propre bien, mais ça se lit bien, et ça reste assez joli.

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Lu en février - emprunté à la médiathèque.

Découverte d'une des premières BD du fameux Olivier Ledroit, qui nous transporte dans un univers d'héroïc fantasy assez standard. Y a assez peu d'enjeux au scénar pour le moment, on a surtout une introduction d'univers, mais c'est malheureusement peu mémorable. Au moins, y a des cases qui font leur effet grâce aux dessins, mais c'est pas tout de suite un classique instantané à la lecture.

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Relu en février.

Un tome qui regroupe de très vieux strips de Gaston, les mélange avec des plus récents (pour des numéros spéciaux de Spirou), et surtout les strips publicitaires pour la limonade Orange Piedboeuf. C'est globalement assez rigolo, je suis pas convaincu par les strips publicitaires, mais à part ça on a un bon condensé de strips de bonne facture.

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Lu en mars.

Suite et conlusion du dernier dyptique de l'autrice, toujours aussi agréable à lire tant sa bio est passionnante. J'ai pas grand chose à en dire, mis à part que c'est toujours limpide dans le dessin et l'expression des émotions/ressentis, et que c'est vraiment une biographie intéressante à lire.

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Lu en février.

Shock SuspenStories est au départ une anthologie d'histoires de genre éditée par EC Comics et qui dura environ 18 numéros. Chaque épisode contient une histoire d'horreur, une de sf, une histoire de crime, et une histoire sociale (à la base une histoire de guerre, mais cela fut laissée de côté dès le second tome). Le principe est que chaque récit doit se terminer par une fin qui "choque", d'où le titre de l'anthologie.

Chaque histoire fait donc entre 6-8 pages, et elles sont quasiment toute écrites par Bill Gaines et Al Feldstein, et on voit passer pas mal de dessinateurs différents.

Et c'est vraiment une excellente anthologie. C'est juste passionnant à lire, peut-être que toutes les histoires ne se valent pas, mais les fins ironiques et parfois assez horribles (pour leur protagonistes) sont vraiment bien pensées, et même si bardées de texte, c'est vraiment de la bonne lecture, assez facile.

Niveau dessin, j'ai été subjugué par ceux de Jack Kamen, qui mélange des persos féminins quasi pin-up avec des persos masculins qui ont tous des visages un peu vicieux et intenses, en plus il n'hésite pas à faire des gros plans et à utiliser des grandes cases. Wally Wood a un dessin plus classique, mais ses persos font très vivants et ses environnements sont détaillés, on est pas surpris qu'il ait travaillé sur le Spirit d'Eisner. Et les environnements de sf de Joe Orlando sont aussi très funs.

En conclusion, une excellente anthologie qui mérite vraiment d'être lue !

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Lu en mars.

Il est temps de découvrir Dylan Dog, bd aux millions d'exemplaires vendus en Italie, mais qui a du mal à percer ailleurs. Ce tome contient des petites histoires écrites par Tiziano Sclavi, l'auteur original et créateur du perso, et dessiné par Gigi Cavenago.

C'est donc de la petite aventure fantastique/horrifique assez sympa, même si c'est dommage de ne pas autant voir le protagoniste que ce qu'on aimerait, et ça reste peut-être un peu trop inconséquent. Donc une BD sympa, mais pas forcément indispensable.

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Lu en mars.

J'avais envie de tester les mangas de Hiroaki Samura depuis un moment, et je suis content de pouvoir trouver cet Habitant de l'infini. C'est un manga de sabre dans lequel un personnage est mystérieusement devenu immortel, et doit affronter milles criminels pour se sortir de sa malédiction.

J'ai eu du mal à être parfaitement emballé par le chapitre 0, mais le chapitre 1 est un bien meilleur démarrage. Notre héros croise la route d'une jeune femme qui veut se venger d'un gars qui a assassiné sa famille (pour prendre le contrôle d'une école d'arts martiaux si mes souvenirs sont bons) et l'accompagne donc dans sa quête.

Et c'est vraiment très plaisant à lire, il y a une ambiance chambara de série B avec des persos un peu improbables, des combats impressionnants, d'autant plus que l'auteur se fait plaisir avec ses pleines pages d'exécutions hyper classes. On a aussi un mélange avec des dessins au crayons et en lavis, qui manquent peut-être parfois de lisibilité, mais ça reste très beau. En bref, une belle découverte !

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Lu en mars.

Petit test d'une série de fantaisie, avec cet appel du clairon, manga qui se déroule dans un monde de fantaisie où le clairon d'une troupe de mercenaire se découvre le pouvoir de diriger des troupes grâce à ses sons, qu'il peut visualiser. C'est un concept intéressant, d'autant plus que l'aspect stratégique des batailles me rappelle Fire Emblem, mais ça reste un tome d'introduction, sans trop qu'on sache si on se dirige vers un shonen d'aventure plutôt basique, ou quelque chose de peut-être plus consistant.

C'est pas la bd la mieux croquée, mais les scènes de batailles sont plutôt réussies, et le design du Pape est excellent (il a heaume qui ressemble à une sorte de flûte). À voir ce que ça donne pour la suite, mais pourquoi pas.