BD, mangas, comics 2021

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Janvier.

J'entame toute l'intégrale de la série Pin-up de Berthet et Yann. Gros morceau où l'excellent peut côtoyer le moyen...

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Janvier.

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Janvier.

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Janvier.

Début du second cycle, en pleine guerre froide, dans les 50's, début 60's. On sent presque que les trois tomes précédents du premier cycle étaient presqu'une introduction à côté. Ici ces tomes 4 à 6 montent d'un cran. Histoire frôlant le génial, références cinéphiles à foison, humour méta quand il n'est pas absurde et disséminé dans les dialogues ou situations. Brillant.

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Janvier.

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Janvier.

Fin du second cycle, fabuleux. Heureusement la série ne s'arrête pas là et le troisième cycle qui se situe à la fin des 60's, probablement début 70's dès le tome d'après, le 7 est d'un très bon niveau également. Dottie a évolué de jeune pimbêche naïve d'à peine 18 ans au tome 1 en une jeune femme audacieuce, courageuse, parfois cynique qui a maintenant la trentaine (cela se voit graphiquement comme dans les situations et l'histoire) et se fraie un chemin au milieu des requins.

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Janvier.

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Janvier.

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Janvier.

Amertume, cynisme et noirceur totale pour ce qui s'avère la conclusion de ce cycle mais aussi à ce moment de la saga de Dottie même si un dernier tome arrivera encore bien plus tard, franchement fadasse, mais j'y viens en dessous. En tous cas ce 9e tome est grandiose. On touche au chef d'oeuvre.

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Février.

Après 3 cycles passionnants qui ont culminé sur une poignée de grands albums, les auteurs décident d'offrir une énième aventure à notre chère Dottie. Manque de pot, malgré son éternelle verve, Yann semble fatigué et Berthet ne pourra guère rattraper le tout par son dessin élégant. Il y a encore des clins d'oeils de cinéphile mais ils ne fonctionnent plus aussi bien dans cette aventure qui se situe en 46 alors que les tomes d'avant ont évolué de 42 à la fin des années 60 sans jamais préciser de date officielle, juste en montrant les évènements historiques en toile de fond (exemple du cycle de la guerre froide ou bien le troisième cycle qui évoque aussi bien la guerre du viet-nam que Playboy et la libération sexuelle qui arrive), du coup celui-ci semble ne se rattacher à rien. Surtout que la colorisation à l'ordinateur entamée pourtant avec un vrai travail de nuances sur l'album précédent, "Venom" est ici froid et sans âme. Le dessin de Berthet tient bon mais semble se laisser gagner par ce manque de vie colorisée. Yann se permet gentiment d'égratigner le mythe Hitchcock (on savait le monsieur amateur un brin pervers et obsédé de ses actrices donc on apprend rien de nouveau) même s'il l'avait fait plus tôt dans la série en s'amusant plus (le motel Bates où crèchent Dottie et le gamin qu'elle garde et où le jeune Norman Bates n'est qu'un ado passablement dérangé... et voyeuriste des trous dans les salles de bain déjà, au grand dam de sa mère haha) mais ça va pas plus loin. Une conclusion en demi-teinte donc, dommage.

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Janvier - février.

Donc l'intégrale des 10 tomes. Et c'était bien. ^^

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Mars.

Je rattrape le train en marche avec ce tome sans avoir lu les deux précédents, qu'importe j'ai eu une grosse bouffée d'air frais qui fait du bien. Ravi.

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Mars (relecture/redécouverte).

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Mars (relecture/redécouverte).

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Mars (relecture/redécouverte).

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Mars.

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Mars.

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Mars.

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Mars.

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Mars.

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Mars.

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Avril.

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Avril.

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Avril.

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Mai.

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Mai.

Fan de Baudelaire, enfin des "Fleurs du mal" principalement, je ne pouvais décemment passer à côté de cette oeuvre qui justement à le bon goût d'évoquer la fameuse "Jeanne", muse cachée du poète maudit à laquelle ce dernier dédie d'ailleurs certaines oeuvres. Surprise, c'est assez crû voire cul sans jamais occulter néanmoins la dimension poétique et onirique de cette histoire passionnée et tragique.

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Juin.

Sfar sur les terres d'un Sherlock Holmes ésotérique et fantastique, le tout avec pas mal d'humour souvent noir. Bien, très bien même.

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Juin.

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juin.

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Juillet.

Sympa. Une BD initiatique et féministe qui revisite à sa manière Pantagruel, Gargantua, etc... Sans jamais tomber dans la morale et la lourdeur, toujours avec une certaine tendresse. On pourrait regretter que cela reste grand public, ne développe pas de mythologie à part (il y avait la place pourtant, rien que le personnage de la "sorcière" tiens) et n'aille jamais plus loin (le syndrôme du potentiel "On a un personnage géant et en fait on s'en sert pas vraiment trop", juste pour 2,3 moments où sa taille compte) encore que bon je demande pas de la déviance totale, juste un peu plus d'audace. Mais en soi c'est sympa.