Besoin d'espace

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Un film qui flatte mon esprit nazi du réalisme en matière d'astronomie. J'ai beaucoup aimé la façon dont il expose le rapport entre science et religion, aussi.

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LE chef d’œuvre de Pixar. Beau, drôle, triste, politique, éthique, émouvant.

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Bonne introduction à ce sentiment magnifique et atroce d'être seul, perdu dans l'immensité de l'espace.

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Super film de hard SF sur l'exploration planétaire, avec des vrais morceaux de physique dedans <3

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Absolument magnifique... A voir dans vos meilleures salles Imax.

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Super film sur la vraie vie des astronautes : les entraînements à l'ESA en Allemagne puis à Baïkonour, l'accueil dans la cité des étoiles... Et surtout la gestion délicate entre la vie professionnelle, exigeante et prenante, et la vie familiale d'une astronaute célibataire qui a la garde de sa fille, et la confie à son père avant son départ pour l'espace. La gamine (Stella) est perdue, à la fois admirative et révoltée par cet abandon. La mère est rongée par la culpabilité. Le film est original, unique, modeste et sonne très juste. L'anti-Ad Astra par excellence.

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Plein d'images inédites super émouvantes.

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[Mémo perso] 30 ans plus tard, le méchant Premier Ordre (successeur de l'Empire) règne sur la galaxie et la Résistance résiste, menée par Leia. Les deux camps cherchent Luke, introuvable. Le pilote rebelle Poe Dameron est envoyé sur la planète-désert Jakku pour trouver une carte menant à Luke, mais se fait capturer. C'est son droïde BB-8 qui récupère la carte et rencontre Rey, une pilleuse d'épaves solitaire. Rey fait aussi la connaissance de Finn, un stormtrooper déserteur, et tous trois fuient la planète et le Premier Ordre à bord du Faucon Millenium qui traînait là. Ils se font happer par le gros vaisseau du vieux Han Solo, qui joue à nouveau les contrebandiers avec Chewie et raconte sa vie : il s'est séparé de Leia, et Luke s'est retiré après avoir perdu un élève jedi dans le côté obscur.
Sur le vaisseau-planète Starkiller, sorte de nouvelle Etoile Noire capable d'annihiler un système planétaire avec son gros rayon, le jeune Kylo Ren, post-ado gothique et colérique, est le nouveau Vador. Il veut tuer son père – Han Solo ! – pour vaincre son côté lumineux, sur ordre du Suprême Leader ridé Snoke.
Dans son voyage vers la Résistance, Rey et Finn rencontrent Maz avec ses grosses lunettes et Rey se sent attirée par le sabre laser de Luke caché dans un coffre, qui provoque des visions de son passé. Elle est capturée par Kylo Ren, qui veut des infos sur la carte, mais elle résiste et découvre qu'elle peut manipuler des gens avec la Force.
Han retrouve Léia (émotion) qui lui demande de ramener leur fils Ben (Kylo Ren) du côté lumineux. Il s'infiltre sur Starkiller avec Chewie et Finn, et tente de convaincre son fils... qui le tue. Sur une planète de forêt enneigée, Kylo blesse gravement Finn et affronte Rey, qui se défend bien avec la Force. Ils sont évacués par Chewie et R2D2 sort de son long coma avec le bout de carte qui manquait pour trouver Luke. Rey se rend sur la planète indiquée, trouve Luke seul sur une île et lui tend son sabre laser.

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Joli film-dans-l'espace plein de bons sentiments – écologie, amour des plantes et amitié avec les robots trop mignons qu'on voudrait adopter sur-le-champ. Bon, on voit que le budget était clairement sous-dimensionné par rapport à l'intention (surtout quand on passe deux fois le même plan pour de pas avoir à recréer un nouvel effet spécial, hum). On sent que Wall-E a beaucoup puisé dans Silent Running.

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Les aliens débarquent, et pour une fois, ils ne sèment pas la panique. Ils sont juste là, dans leur vaisseau. Euh, bonjour ? Comment on dit bonjour en extra-terrestre, d'abord ? Les Américains font appel à une grande linguiste pour les aider. Malgré quelques lourdingueries (comme les tensions diplomatiques avec ces brutes de Russes et de Chinois), l'idée du film est bonne et on suit une réflexion intéressante sur le temps. A voir.

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[Mémo perso] Le jeune Luke, qui vit avec son oncle et sa tante sur Tatooine, découvre par hasard un message de la princesse Leia à un certain Obi-Wan Kenobi, dans la mémoire du robot R2D2 qu'il vient d'acheter avec C3PO. Il avertit Kenobi (qui vit sur sa planète) et part avec lui pour secourir la princesse, emmenés dans le Falcon Millenium de Han Solo et Chewbacca, qu'ils ont rencontrés dans un bar. Luke reçoit le sabre laser de son père et fait ses premiers exercices avec la Force. Mais leur destination, la planète Alderaan, a été annihilée par l’Étoile Noire de l'Empire galactique. Leur vaisseau est attiré et forcé d'atterrir sur l'Etoile noire. Luke et Han délivrent Leia tandis que Kenobi affronte Dark Vador en duel et meurt. Alors que l'Etoile noire se dirige vers le QG des rebelles pour le détruire, ces derniers analysent les plans de l'Etoile noire que la princesse avait mis dans R2D2, et trouvent une faille. Aidé par Han qui le débarrasse des poursuiveurs de l'Empire, Luke utilise la force pour envoyer un missile dans la faille et détruit l'Etoile noire. Les héros sont médaillés par Léia, générique.

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[Mémo perso] Les rebelles se sont réfugiés sur une planète glacée, Hoth, où Luke manque de se faire bouffer par un genre de yéti mais se voit sauvé par Han, qui commence à taper dans l’œil de Leia. L'Empire est à leur recherche et finit par les trouver. Les rebelles évacuent Hoth. Pendant que Leia, Han et les autres cherchent un nouveau QG, Luke part en solo avec R2D2 vers la planète marécageuse Dagobah pour apprendre à contrôler la force avec maître Yoda, comme le lui a conseillé Kenobi qui lui parle depuis le ciel à la mode Mufasa. Alors que Han traîne avec son vieux poteau Lando dans la cité des nuages Bespin, où il a garé son Falcon Millenium pour réparer son hyperpropulseur, il est trahi et se retrouve à table avec Leia, Chewie et... Vador. Vador voudrait récupérer Luke et le congeler, mais commencer par s'entraîner avec Han et le fout dans la carbonite, avant de le revendre à un chasseur de primes qui bosse pour Jabba (qui est fâché contre Han). Luke, qui a eu une prémonition, arrive pour sauver Leia (encore !). Il se retrouver à affronter Vador en duel, perd une main et ne veut pas se laisser convaincre de rejoindre le côté obscur même si le monsieur en noir, il dit qu'il est son papa. Il tombe dans un trou et Leia vient le récupérer en Falcon. Ils partent à la rescousse de Han.

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[Mémo perso] Leia vient délivrer Han de sa carbonite mais se fait choper par Jabba et devient son esclave sexuelle. Le brave Luke vient donc les sauver tous les deux avec des saltos arrière, et Leia étrangle Jabba. Luke s'enfuit vers Dagobah pour y voir mourir Yoda, qui lui apprend que Leia est sa sœur.
Les gentils se retrouve sur Endor, la planète forestière truffée d'ewoks, qui les font prisonniers. Mais ils font vite la paix (grâce au dieu C3PO) et deviennent alliés pour attaquer la nouvelle Etoile noire que construit l'Empire. Luke veut aller affronter Vador une 2e fois pour devenir un vrai jedi, comme a dit Kenobi. Il révèle à Leia être son frère, puis part se rendre à l'ennemi.
Il papote avec Vador chez qui il est certain de déceler un bon côté, puis avec Palpatine qui veut le convertir en lui montrant le piège qu'il a tendu aux rebelles pour faire monter sa haine. Luke affronte Vador, lui coupe le bras. Palpatine envoie des arcs électriques à Luke qui en bave avant que Vador s'interpose et sauve son fils, en balançant l'Empereur par-dessus bord. Luke lui fait un câlinou puis lui enlève son casque pour découvrir son visage blanc et bouffi. Vador redevient Anakin («tu m'as sauvé», lui dit-il) et meurt.
Luke emporte son corps et quitte l'Etoile noire juste à temps pour ne pas exploser avec elle, car les rebelles ont enfin réussi à tromper les soldats de l'Empire sur Endor et désactiver le champ de force qui protégeait l'Etoile noire depuis leur casemate. Tous les gentils font une grande fête avec les ewoks dans la forêt, sous le regard bienveillant des fantômes d'Obi-Wan, Yoda et Anakin.

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Adaptation correcte du best-seller, fidèle à l'esprit perpétuellement ironique, détaché et blasé de Mark Watney qui passe étonnamment bien sur grand écran, alors que je l'avais trouvé déplacé dans le bouquin. Dommage qu'ils aient surjoué la tempête du début, vraiment apocalyptique, et bâclé la fin en zappant les derniers rebondissements. Du coup, on a l'impression que le trajet de 3000 bornes en rover est une partie de plaisir, alors que, hum...

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Film tire-larmes sur la vie sentimentale de Neil Armstrong. Abus de plans ralentis et saturés sur ses enfants, leurs beaux cheveux et leurs gambettes qui courent dans le jardin, à la Terrence Malick. Armstrong est traumatisé par la mort de sa fillette, on l'aura compris. Cela le ferme à sa famille, qu'il délaisse pour devenir un bourreau de travail, incapable de montrer des émotions quand on lui annonce des bonnes ou mauvaises nouvelles. Même gros sabots pour la mort d'Ed White, dont on nous a bien montré que c'était son ami à grands coups de confidences autour d'un barbecue dans le jardin – et paf, il crame à la scène suivante. Et la balade sur la Lune se résume au lâcher du bracelet de sa fillette dans un cratère, dans un remake chelou de la dernière scène de Titanic, et Armstrong pleure, pleure...Pfff.
J'aurais aimé un film qui raconte comment ça fait d'être astronaute : comment on s'entraîne ? Comment on forme une équipe avec ses futurs collègues de vol ? Comment c'est de vivre deux jours entre deux planètes, enfermé dans un bocal ? Comment on alunit ?
Bon, ça se regarde quand même bien et il y a des images superbes – l'intérieur du X-15 avec lequel il «rebondit» dans l'atmosphère dans sa période pilote d'essai, l'angoissante toupie de Gemini 8, le décollage de la Saturn V, l'arrivée sur la Lune avec ce ciel immense, d'un noir absolu, sur l'écran, et le silence.

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Des vues de Jupiter aux paysages glacés et acérés d'Europe, les images sont superbes. Mais le scénario manque de réalisme : un vaisseau qui se pose sur la surface la plus fragile et dangereuse de la planète ? Une astronaute qui sort seule pour voir ce qui cloche ? Come on...

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L'histoire des cailloux-araignées sélénites est rigolote, mais le tout est un peu long et chiant.

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L'histoire de la première sortie dans l'espace par le cosmonaute Alexeï Leonov, en 1965. Un récit globalement très fidèle, que j'ai apprécié pour sa valeur historique, à quelques libertés près pour forcer le suspense et le drama. Dans le film, c'est toujours à la dernière seconde que les astronautes sont sauvés d'un péril mortel (fermer le sas en rentrant de l'extérieur avec une combi trop gonflée, survivre deux jours dans la forêt sibérienne avant d'être repérés par un hélico...) : les deus ex machina fatiguent, à force. Sinon, c'est très bien joué et les images sont belles, il a du budget derrière. Ca se regarde bien, mais c'est trop lisse pour être marquant, et trop américain pour un film russe. Les souvenirs d'enfance au ralenti dans un champ... Buh, on dirait du Terrence Malick.

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[Mémo perso] Sur l'île paumée aux macareux idiots, Luke refuse de venir aider la Résistance, comme le lui demande Rey. Tourmentée par les discussions en télépathie qu'elle a avec Kylo Ren, elle réclame des explications sur la Force (voire un entraînement) et ses origines (Luke, es-tu mon pèèère ?) mais le vieux jedi boude. Rey finit par repartir seule et laisse Luke brûler les vieux livres sacrés des jedi avec le fantôme de Yoda. Elle rencontre Kylo Ren IRL, qui a retiré entre temps son casque ridicule car le Très Méchant Snoke s'est moqué de lui, et tous deux tuent Snoke. Mais Kylo Ren voulait juste prendre sa place, et pas devenir rebelle.
Pendant ce temps, les nazis du Premier Ordre harcèlent la résistance et expulsent la générale Leia dans l'espace gelé, mais elle rejoint le vaisseau en se hissant par la Force, mi-madone mi-Superman. La sous-chef Laura Dern prend sa place et décide d'évacuer la Résistance dans des petits vaisseaux de transport indétectables par les nazis, mais elle ne révèle pas ses intentions au pilote tête brûlée Poe, qui flippe car le Premier Ordre peut désormais suivre les rebelles même en vitesse-lumière grâce à un traqueur hyper-espace. Il échafaude un plan avec Finn et sa nouvelle amie Rose, ouvrière revêche rencontrée par hasard sur le vaisseau rebelle. Finn et Rose filent sur une planète-casino à la recherche d'un hacker capable de désactiver le traqueur hyper-espace des nazis. Ils reviennent avec DJ, un gars un peu sale effectivement capable de les introduire chez l'ennemi, mais qui les trahit et révèle le plan d'évacuation des rebelles. Leurs vaisseaux de transports sont détruits un à un, avant que Laura Dern n'arrête le massacre en fendant le vaisseau ennemi dans un ultime sacrifice en vitesse-lumière.
Le bout de Résistance encore vivant atterrit sur une planète de sel blanche et rouge, peuplée de jolis chiens de glace, et se cache dans une grotte dont les nazis percent l'entrée avec un gros rayon laser. L'hologramme de Luke débarque pour détourner l'attention de Kylo Ren, qui n'arrive pas à le tuer, pendant que les rebelles sortent de la grotte par derrière, aidés par Rey qui dégage un éboulis avec la Force. Luke meurt terrassé par l'effort, seul sur son île. Les enfants-esclaves de la planète-casino semblent avoir la Force en eux et rêvent de rejoindre la Résistance.

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Une astronaute en voyage vers Mars se découvre enceinte, meurt en couches, et le milliardaire qui organise la mission décide de cacher l'enfant au monde entier. Une fois ado, Gardner le Martien s'enfuit sur Terre avec une fille qu'il a rencontrée sur Internet. Attendu et pas foufou, mais ça se regarde bien.

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Un genre de polar sur Io, avec un gentil marshall droit dans ses bottes qui veut démanteler un trafic de drogue dans la base d'ouvriers. Quelques scènes d'extérieur plutôt bien à la fin, pendant la course-poursuite avec les méchants.

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C'est quand même bien tarte, mais on s'en prend plein la gueule. Enfin, dans mon souvenir. Mériterait un 2e visionnage sur télé et sans lunettes 3D, tiens.

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Jolis paysages sur la planète Perdide, et le personnage du petit Piel, qui parle à son microphone, est très attachant. Mais j'ai eu du mal à comprendre tout le mindfuck du scénario (en gros, Piel cohabite avec son lui futur qui ressemble à un vieil ermite gouailleur), et c'était un peu chiant.

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C'est culte mais c'est chiant, quand même. L'adaptation télé british est-elle plus entraînante ?