Best Of films d'animation 2D

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Meilleur film au monde selon moi et ma subjectivité. Au delà d'avoir l'animation et le design le plus classe du monde, Mind Game contient également un message qui m'a profondément marqué. C'est aussi un film qui a la qualité rare de pouvoir être revu de nombreuses fois en nous offrant à chaque fois de nouvelles lectures et de nouveaux détails à remarquer à chaque visionnage. Jamais chiant, toujours créatif, la dope pour l'ouverture d'esprit.

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Énorme claque de la fin des année 80, Akira est pour moi LA référence du cinéma d'animation autant dans sa performance technique que dans son univers si singulier et exotique. Akira ne vieillit pas, et même en revisionnant en 2014 on a encore du mal à croire que le film à été réalisé sans l'aide du numérique tellement sa qualité d'animation est exceptionnelle.

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Satoshi Kon nous a quitté bien trop tôt mais laisse derrière lui Paprika, le meilleur film toute catégorie confondu ayant pour sujet les rêves. Toujours accompagné de son incroyable compositeur Susumu Hirasawa, Kon arrive à construire une histoire de SF hypnotique prenant place dans le contexte intense du subconscient de ses personnages. Brillant sur tout les points, Paprika ne peut que nous faire regretter la disparition de son auteur.

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Chihiro est probablement l’œuvre la plus aboutie de Miyazaki. Fort, intense, et toujours poétique, l'animation nous plonge dans un monde fantomatique exotique très loin de notre univers manichéen d'occidentaux binaires.

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Envoutant, Ghost in the Shell 2 explore avec beauté, force et intelligence de nombreux sujets philosophiques qui viendront bientôt nous interroger dans les années qui viennent. Un intro intense, une scène de carnaval qui donne l'impression de regarder dans un puits nous montrant le futur de l'humanité, Mamoru Oshii signe clairement le meilleur film de sa fantastique filmographie.

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Après l'adaptation du manga Mind Game, le studio 4°c s'attaque à un autre monument des curiosités du manga avec Amer Beton. Malgré son scénario légèrement décalé le film est un bijou de l'animation avec chara design incroyable et ses décors fourmillants de détails et de poésie.

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Memories regroupe 3 excellents moyen métrages d'animation, tous aussi brillants dans leur réalisation que dans le traitement de leur sujet. Mention spéciale au premier chapitre, la rose magnétique, qui est pour moi l'une des meilleure histoire de science fiction au monde, ever, ever ever.

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Toute la rage écologique de Miyazaki contenu dans 2h d'animation épique et magnifique. Indispensable.

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Mettez de coté tous vos aprioris sur l'idée que l'on puisse se faire d'un film ayant pour personnage principale une lycéenne japonaise en uniforme. La traversé du temps est un excellent film de de science fiction servi par une réalisation exemplaire.

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Contemplatif, brutal et surtout intense, Jin-Roh traite d'un sujet bien trop rare autant dans l'animation que dans le cinéma classique. Vu le contexte géopolitique présent, Jon-Roh est plus que d'actualité à notre époque.

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Depuis le roi et l'oiseau, la France n'avait plus eu l'occasion de montrer l'excellence de son savoir faire en animation. C'est maintenant chose faite avec les Lascars, un des films les plus fun que j'ai pu voir au cinéma avec ses dialogues en béton et son animation aussi classe qu'un lolcat portant des raybans.

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Inévitable, Totoro c'est toute la synthèse de la douceur des conte japonais et le savoir faire de Miyazaki et sa clique. C'est comme manger des moshi au taro, on ne s'en lasse pas.

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Comme dirait Séguéla : si tu pleures pas à la fin du film, t'as raté ta vie.

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Les Enfants loups, brillant conte sur l'éternel thème de la nature à la japonaise, montre que la relève de l'animation japonaise est prête à prendre le relais si ce brave Miyazaki se mettait à devenir sénile.

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Des tanukis foutent le bordel en ville avec leurs grosses couilles. Oué sérieusement. Les studios Ghiblis qu'ils n'ont pas forcement toujours besoin de Miyazaki pour faire d'excellents contes écolos !

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Toute en sensibilité et en humour, Satoshi Kon s'intéresse aux clodos japonais avec justesse et talent. Je n'en dirais pas plus, sinon je vais encore pleurnicher en repensant à la disparition de ce réalisateur d’exception.

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Surprenant ! Disney arrive à nous pondre autre chose autre chose qu'une histoire de princesse binaire. Lilo & Stitch c'est une écriture subtile au service d'un film particulièrement cool. Pas étonnant que les auteurs soient allé pondre des Dragons chez Dreamworks après ça.

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Mélangeant un scénario complètement barjo et une réalisation tirant vers la performance d'animation, Redline offre un un sacré trip visuel et la sensation d'être resté coincé dans un grand 8 à vitesse maximale.

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Toujours en quête de mangas chelous à adapter, l'équipe du studio 4°c posent enfin leur mains sur Berserk et nous offre une série de trois films épiques et enragés dans un univers médiéval fantastique basculant de la lumière à l'obscurité.

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Le livre de la jungle, c'est les belles années des studios Disney et surtout les meilleurs musiques de leur filmographie.

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Projet malmené par ses producteurs et production bordélique, ça n’empêche pourtant pas Steamboy d'être un excellent film d'action malgré un scénario un peu foutraque.

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Grande fresque historique et romantique qui montre que Satoshi Kon est à l'aise avec n'importe quel sujet pour le sublimer.

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Les triplettes de Belleville, c'est le boxon, mais du très beau boxon.

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Grosse claque à l'époque de sa sortie, Ghost in the Shell premier du nom n'a pas perdu de son charme malgré un script un peu trop compliqué pour ceux qui souhaitent démarrer cette longue saga d'animation.

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Y'a du tri à faire, mais certains court métrages sont aussi puissants que les meilleurs films d'animation japonais, en particulier les chapitres réalisés par le studio 4°c ainsi que celui nommé "Kid's story" réalisé par Watanabe (cowboy beebop).

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Métropolis, une réalisation d'enfer, un design fidèle à Tezuka, mais malheureusement un scénario trop expédié en deux petits heures de films. A voir tout de même pour la performance d'animation et l'ambiance jazzy du film.

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Très jolie adaptation de la série de livre du même nom, tout est fait en douceur et en sensibilité, ce qui pose des fois quelques petites baisse de rythme dans la narration de ce très bon film d'animation.

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Les studios Disney avaient refusé le projet, le jugeant bien trop sombre. Don Bluth a donc réalisé son film en solo avec ses copains déprimés par la production de Rox et Rouky. Sans les contraintes guimauves de Disney, l'animation américaine des années 80 prouve son potentiel pour un cinéma d'animation plus adulte que d'habitude.

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Chara design anthropomorphique excellent, musiques au top, les années 70 c'était pas seulement les ravages du Disco, mais aussi celui de l'age d'or des studios Disney.

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Les japonais adaptent leur meilleurs mangas en film d'animation, les français dans les années 50 adaptaient eux Jacques Prévert. Et c'est la grande classe.