Bollywood en 2005

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Un grand film, le meilleur de Sudhir Mishra qu'il m'ait été donné de voir à ce jour.

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Un mélodrame bouleversant, le film le plus étrange, le plus intense de la carrière de Sanjay Leela Bhansali.

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Je suis fan de Pradeep Sarkar, qui n'est pourtant pas le réalisateur le plus marquant de sa génération. Mais j'aime le regard bienveillant qu'il porte sur ses personnages. Parineeta est son premier et meilleur film.

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Une comédie d'arnaque qui, pendant tout le visionnage, n'a rien d'exceptionnel... Puis qui nous piège sur son épilogue ! Foncez !

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Ultime film de la trilogie des éléments de Deepa Mehta, Water est un film calme, loin du tumulte politique de Earth ou du désir brûlant de Fire. Mais c'est aussi un rôle de composition pour le bellâtre John Abraham ainsi que pour la canadienne Lisa Ray.

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Ce film construit comme une comédie romantique américaine ne plaira qu'aux amateurs du genre, dont je fais indubitablement partie. J'ajoute un point pour les séquences comiques de Javed Jaffrey et Abhishek Bachchan, qui me font hurler de rire à chaque fois ! "Sorry ?" "Exactly !"

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J'ai pleuré à chaudes larmes. Du drame bollywoodien pur jus qui s'assume.

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My Brother... Nikhil est imparfait mais si courageux qu'il faut le voir absolument ! Ce récit édifiant sur la vie d'un jeune homme homosexuel séropositif fait office de précurseur au moment de sa sortie. Rien que pour saluer l'audace et l'engagement du réalisateur Onir, dévoué depuis toujours à cette cause, ce film est à découvrir.

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Amitabh Bachchan est la star de ce film, je veux rien entendre !

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Un drame historique d'une remarquable efficacité, et un Aamir Khan prodigieux.

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Le premier métrage d'Imtiaz Ali est doux-amère, imparfait, parfois même un peu longuet. Mais il est aussi empli d'une tendresse communicative. Ayesha Takia et Abhay Deol y font des débuts concluants.

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Ce thriller psychologique est visuellement dégueulasse ! Mais une fois passée la barrière de l'image, on s'accroche, principalement pour Priyanka Chopra, qui nous y fait oublier qu'elle a été Miss Monde.

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Un conte folklorique gai et entrainant.

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Comédie sucrée de chez Yash Raj Films qui fonctionne. Amitabh Bachchan = Deutsche Qualität (même s'il est indien !)

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Film mosaïque maladroit par sa mise en scène mais intéressant par son propos résolument féministe... Le tout avec le King Shahrukh Khan en charmant narrateur !

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Un visionnage moins éprouvant que prévu. Si la bouille de bébé Shahid est adorable, c'es Ajay Devgan qui fait le show ici.

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David Dhawan, dans ce qu'il a fait de mieux. Et oui, ça vaut à peine la moyenne. Ca en dit long.

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Un point pour la chanson "Dus Bahane". Un point pour le visage monoexpressif d'Abhishek Bachchan. Un point pour Zayed Khan, parce qu'il a essayé. Et un point parce que Diya Mirza est toujours une bonne raison de lancer un film, même la pire des bouses.

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On se fait chier, non ?

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NEXT !

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Pourquoi avoir violé l'âme de Vol au-dessus d'un nid de coucou en réalisant cette horreur ? Salman est ridicule et la musique supposée humoristique est absolument insupportable. Seuls Jackie Shroff et Kareena Kapoor semblent prendre ce film au sérieux, ce qui donne lieu à un décalage assez perturbant pour le spectateur...

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Régis aime le cinéma.
Régis ne regarde pas les films d'Anees Bazmee.
Régis est quelqu'un de bien.
Soyez comme Régis.

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Le film s'ouvre sur un délire musical kitsch qui me fait personnellement kiffer (ah, le pouvoir de la nostalgie...), avec un Shahrukh Khan qui danse aussi bien que ma grand-mère après son opération de la hanche et une Malaika Arora invitée pour faire joli. Et ensuite, on voit John Abraham torse nu en train de faire un câlin d'un goût douteux à un serpent, le tout sur une musique de film de boules du samedi soir sur M6... C'est là que j'ai compris que voir Kaal était une erreur.

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C'est consternant de mièvrerie et d'amateurisme... Dire que c'est sorti la même année que des chefs-d'œuvre comme Black et Water, ou même que des propositions fraiches et modernes comme Parineeta, Bunty Aur Babli ou même Salaam Namaste... Incompréhensible ! Bewafaa fait dans le misérabilisme, dans le moralisateur et dans une emphase absolument indigeste. Bref, y'a rien qui va !

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Sexiste, rétrograde et même pas drôle... POUBELLE.