bonus 2016 <3

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les différent jeux de couleur ainsi que d'esthétique qui se déroule pendant l'altération jour nuit en accélérés sur une période de plusieurs jours est plus que puissante , cette scène est succéder part des plans uniques et inimaginable qui possèdent une fois de plus un jeux très intéressant dans sa palette de couleur , la vision de l'horreur est extrêmement décalés , la scène du gâteaux anniversaire possède une esthétique étrange et une ambiance très pesante , elle n'en reste pas pour autant plus qu'extraordinaires

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photographie et paysage a couper le souffle , de plus mention spéciale a la scène finale qui détient une esthétique sombre et colorés plus que sublime

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une véritable relève de la comédie française , énormément de jeux avec différent style de réalisation

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Une influence de Kubrick évidente a travers le cadrage , une esthétique du noir et blanc obsessionnelle et impressionnante qui donne une réel dimension de peur ainsi que de superbe plans qui joue sur l'épilepsie , les jeux de lumière et d'ombre sont parfait . le point fort se trouve tout aussi dans le jeux de l’actrice principale qui est irréprochable

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le premier star wars a se démarquer , la real de gareth edwards est extrement soignée tout comme monsters premeir opus ,

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nouveau long métrage de Richard Bates Jr, remarqué avec l’intéressant "Excision" (sorte de teen movie très dérangé), le film démarre sur une bonne demi heure d'humour noir extrêmement corrosif , pour finirait par tomber dans le dénouement de quelque question / réponse , qui laisseront le spectateur en suspend et comme seul bruit celui du silence

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il est question de l'esthétique de la solitude ainsi que de sa transgression a travers le destin de deux ados en fuite , celle d'un homme solitaire

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Il est difficile de définir à quel genre appartient The Final Girls. Pas suffisamment flippant pour être un film d'horreur, trop bien écrit pour être une parodie

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veritable hommage a kubrick , puissant et touchant , il faut en voir le sens , le second degrés poussé a l’extrême sur un des sois disant plus grand complot

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l’orsque la peinture et les fantôme se mêlent a la perfection

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l'aprés collector , home invasion inversée

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le monde a l'envers , situation de psychose mêlée a un huit clos ouvert fermé , le jeux de dominic monaghan egal le talent qu'il a prouvé dans lost . pet tranche part sa frontière scénaristique qui oscille parfaitement entre stupeur et désarroi face a ces multiple twist et sa surprise celle qui fait en sorte que la proie peux s'invercer

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scénario labyrinthique , science fiction et psychologie . voila ce qui définit rupture , ces multiple jeux de couleur chaudes ainsi que son ambiance oppressante font de ce film un pure OFNI , on y retrouve une noomie rapace exellente et cela nous manquait depuis millénium

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biopic sur fausse cantatrice d'opéra

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des fx et des cgu a couper le souffle et et un scenario implacable

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une œuvre juste et pleine de bon sens sur le deuil et l'abandon

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une révolte contre le commercialisme et la vie en France mené pars différentes ethnies de nationalité française , pour une France sans racisme

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un tendre et douloureux récit plein de drame et embellie par une puissante romance . le tout se déroulant dans une région arctique qui fait lien et métaphore avec le désarroi et la douleur de nos protagoniste

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petit survival horreur qui se démarque par son concept et l’intelligence de son scénario

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Néo-western et polar roumain, le réalisateur joue avec les codes de ces genres à la manière des frères Coen, et particulièrement dans le traitement de la violence: brutal, grotesque, incongrue, cachée, crue... à l'image de cette univers ou la police (le shérif) est vieillissante, fatiguée et malade mais partage la même colère que le chien éponyme du film, dans ces paysages lointains où la figure de la loi est aussi indomptable et sauvage que les animaux et les gangsters qu'elle poursuit

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The Love Witch, une œuvre purement esthétique, qui en fait sans conteste la première qualité apparente. On baigne réellement dans une atmosphère sixties via des sublimes décors victoriens et des costumes d’époques. Mais Anna Biller ne s’arrête pas là et pousse son vice encore plus loin en tournant en pellicule 35mm et en ressuscitant la technologie du Technicolor. Un travail hors norme dont le rendu est absolument bluffant.

Avec The Love Witch, Anna Biller rend un hommage brillant à tout un pan de l’histoire du cinéma, aussi bien dans l’intrigue et la narration que dans la composition des plans. La nostalgie d’une époque de la cinéphilie est ressuscitée avec brio, agrémentée de références nombreuses. Les plus flagrants étant Pas de printemps pour Marnie d’Alfred Hitchcock pour la narration et Le Venin de la Peur de Lucio Fulci pour les décors et les costumes. De ces films, Anna Biller en ingurgite l’essence, les digèrent pour se les approprier et servir son propos. Tous les codes sont repris afin de servir le message de l’autrice dont le fond est profondément féministe.