Book Bucket Challenge 2018

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Voyages Extraordinaires III - La Pléiade

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Voyages Extraordinaires III - La Pléiade

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Voyages Extraordinaires I - La Pléiade

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Voyages Extraordinaires I - La Pléiade

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OEuvres complètes - La Pléiade

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OEuvres complètes - La Pléiade

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LU

Seule la fin mérite que l'on s'en souvienne. Non pas que le livre soit mauvais, loin de là, la thématique est très intéressante, tout comme l'histoire, mais ceux qui recherchent la prouesse stylistique seraient déçus (un bon écrivain ne fait pas forcément de la prouesse stylistique, mais certains lecteurs adorent ça).
Il y a eu deux révolutions universelles dans l'histoire de l'humanité, la française et la russe.

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LU
Percutant, très bon livre. J'y ai retrouvé tout ce que j'ai aimé dans "Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s'annonce", et tout ce qui manquait dans "Mercy, Mary, Patty". Le livre est long, mais prenant. Un livre court aurait été ridicule.

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LU
Ou comment toute une génération a été marquée par l'affaire Dreyfus. Où l'on nous dit que Jaurès n'est pas l'homme de gauche irréprochable que la Ve République a mystifié. Où l'on découvre un auteur, Bernard-Lazare,dont le génie au final nous est totalement inconnu. Où l'on apprend que être dreyfusiste, ce n'est pas être antipatriotique. Où l'on aime le style polémiste de Péguy.

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LU L'argent, suivi de l'Argent Suite. Ouvrage très intéressant qui évoque principalement la déperdition de l'éducation du début du XXe siècle suite à quelques réformes jugées absurdes de la part de Péguy. Style de polémiste à son maximum, ouvrage fragmenté assez abouti. Très vivifiant dès le début de l'Argent, avec l'évocation de ce peuple de France qui aimait travailler, mais qui aujourd'hui rechigne à la tâche et au labeur. L'amour du travail, on est clairement dans l'utopie socialiste. Un socialisme propre à Péguy, qui s'affranchit une fois de plus de Jaurès et le fait de manière virulente. Enfin, la menace de la guerre est de plus en plus prononcée. La fin de l'ouvrage, "l'inconnaissance de demain", résonne comme une prophétie, à peine quelques années avant la guerre. Il faut désormais continuer d'explorer l'oeuvre de Péguy.

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LU
Et adoré. J'y ai trouvé exactement tout ce que je souhaitais lire de la part de Lola Lafon. Encore un livre qui sait faire ouvrir mes yeux, révélation thématique et stylistique à la fois. Un chef d'oeuvre moderne, peut-être pas un classique, il faudrait le relire pour dire ça.

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+ L'Argent de Vallès, si je le trouve.

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VU une adaptation des années 60 par la Comédie Française.

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Lu 29/03/18. Essai intéressant sur la misère et les raisons pour lesquelles il faut l'éradiquer. A compléter avec la lecture de Jean Coste, certainement, mais l'ouvrage semble difficilement accessible.

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Lu 25/03/18. Après un mois difficile d'acharnement, j'en suis venu à bout. D'une première lecture, je retiendrai surtout les parties philosophiques ; tout ce qui relève de la théologie m'a pour le moment laissé de marbre. Lecture qui doit se compléter, je pense, de quelques notes sur sa vie (du moins celles que j'ai lues dans Péguy sont édifiantes).

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LU 14/04/18 Un livre surprenant, non pas que je sous-estime Houellebecq. Je me suis laissé aller, l'esprit ouvert, et donc j'ai eu à la fois des déceptions, mais aussi des bonnes surprises. Un jugement hâtif dirait que c'est de la merde. Mais ce n'est pas le cas, et c'est seulement en ayant lu la fin qu'on peut mesurer une certaine "puissance" du livre. Presque immédiatement, j'ai eu envie de le relire, à peine achevé. Genre de réaction qu'on a en principe pour les classiques. Même s'il est très violent visuellement, mérite d'être un "classique". Lecture à compléter de conférences et interviews, pour bien s'imprégner de la pensée. A lire : "Soumission".

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4ème, je crois, tentative de lecture. Cette fois, c'est la bonne.
Oui, c'était la bonne, j'ai réussi à terminer le livre le 09/06/18. Qu'est-ce que j'en tire ? Deux mois d'une longue lecture, une lecture de longue haleine, vraiment difficile. Le livre est riche en thèmes, on explore sans cesse des petits morceaux de nuits, mais je pense que je vais avoir besoin de faire des recherches pour comprendre ce qui tient ensemble ces bouts de nuit. Parce que dans sa construction, ce livre n'a pas l'air de justifier ses bornes chronologiques. Car s'il apparaît à peu près logique de commencer le livre avec l'engagement de Ferdinand, est-ce que ça l'est tout autant de refermer le livre sur la mort de Robinson, évènement des plus horribles, certes, mais qui ne justifie pas la fin du livre. Ou peut-être que si, je ne sais trop, j'ai essayé de lire le livre tranquillement, mais il était put-être trop épais, trop profond, pour qu'on s'en permette une seule lecture. A suivre.

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LU, en 4-5 jours, se dévore littéralement.

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Tentative de lecture n°3 ou 4

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Tentative de lecture n°2

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Relecture nécessaire.

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LU 11/05/18
En à peine 4 jours, une lecture tout à fait imprévue, mais qui semble tomber bien. Lecture d'une grande clarté, l'écriture de Balzac est géniale. Une oeuvre qui dégoûte effectivement quand on la lit attentivement, comme l'annonce dès le début le narrateur. Même si ce n'est pas dans mes prévisions, j'ai envie de prolonger ce plaisir Balzac, peut-être en relisant ou en découvrant d'autres. To be continued.
Est-ce les filles qui ne sont pas assez aimantes, ou le père qui l'est trop ? Où peut-on situer le raisonnable dans tout ça ? Ce n'est pas un roman, c'est une pièce de théâtre, un mélange de comédie et de tragédie, une préfiguration de ce qu'on nommera plus tard le drame romantique, mais qui existait déjà chez Shakespeare. Balzac, c'est l'esprit de Shakespeare à la française.