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BYzANCE

* Le monde byzantin : L'Empire romain d'orient ou Empire byzantin, la civilisation byzantine (langue grecque, religion orthodoxe), sa fascinante capitale (Byzance, Constantinople, actuelle Istanbul). L'Empire dure plus de mille ans du IVe au XVe siècles.

Liste de

62 livres

créée il y a environ 3 ans · modifiée il y a environ 1 an
Le Monde byzantin, tome 1 : L'Empire romain d'Orient, 330-641
8.1
1.

Le Monde byzantin, tome 1 : L'Empire romain d'Orient, 330-641

Sortie : 3 mars 2004 (France). Essai, Culture & société

livre de Cécile Morrisson, Bernard Bavant, Denis Feissel, Bernard Flusin, Jean Gascou, Jean-Pierre Sodini, Jean-Michel Spieser et Georges Tate

Annotation :

* Le premier volume présente la fondation de l'Empire byzantin et son extension. Il est le fruit du travail d'une équipe associant des spécialistes des principales disciplines, seuls capables de prendre en compte les changements historiographiques.

L'Empire byzantin (641-1204) - Le monde byzantin, tome 2
7.8
2.

L'Empire byzantin (641-1204) - Le monde byzantin, tome 2

Sortie : 15 novembre 2006 (France). Culture & société

livre de Jean-Claude Cheynet, Béatrice Caseau, Bernard Flusin, Jean-Michel Spieser, Marie-Hélène Congourdeau, Bernadette Hisard-Martin, Michel Kaplan et Jacques Lefort

Annotation :

* L'époque médiévale (VIIe s-1204) voit la transformation de ce vaste Empire multiethnique, presque abattu par les invasions slaves et arabo-musulmanes, en un État recentré sur la population grecque. Les souverains byzantins opèrent un spectaculaire redressement qui fait de Byzance la plus grande puissance chrétienne des Xe-XIe siècles, avant d'être débordée par un nouvel adversaire venu des steppes d'Orient, les Turcs. La faculté d'adaptation de l'Empire contredit l'image d'une société conservatrice et immuable que les Byzantins ont eux-mêmes léguée, prétendant que leurs innovations n'étaient qu'un retour aux vraies traditions. Les institutions, les hiérarchies, les armées ont été plus d'une fois modifiées pour faire face aux nouvelles menaces ou assurer l'expansion. Même le pouvoir impérial s'est transformé en un système familial et dynastique porté à son point de perfection par les Comnènes. Mais l'Empire a trouvé son identité dans le christianisme orthodoxe, qui se construit, après le refus de l'iconoclasme, sur une dévotion aux images inspirant un art religieux spécifique. L'Église byzantine s'éloigne de l'Église de Rome dont elle refuse la prééminence disciplinaire, mais étend sa sphère d'influence vers des Églises-filles, en Bulgarie ou en Russie. Lors de cette période, la culture byzantine se réapproprie les lettres helléniques païennes et se persuade de sa supériorité. La puissance militaire et économique des Latins, aboutissant à la prise de Constantinople en 1204, pousse les Byzantins vers un repli identitaire qui conduira à la création d'un "Etat-nation".

Le Monde byzantin, tome 3 : L'Empire grec et ses voisins (XIII-XVe siècles)
3.

Le Monde byzantin, tome 3 : L'Empire grec et ses voisins (XIII-XVe siècles)

Sortie : 18 mai 2011 (France). Essai, Culture & société

livre de Angeliki Laiou et Cécile Morrisson

Annotation :

* Entre deux prises de Constantinople (1204 par les Croisés, 1453 par les Turcs), le troisième et dernier volume du "Monde byzantin" retrace le crépuscule de l'empire grec, de son poste avancé, Trébizonde et de ses voisins serbes, bulgares ainsi que des « Latins » installés sur son territoire à la suite de la IVe croisade. L’ancienne grande puissance du XIIe siècle désormais un simple Etat grec, perd ses territoires d’Anatolie et de Grèce du Nord, devient dès 1373 vassale du sultan ottoman. Réduite à Constantinople et au Péloponnèse, sa survie dépendant du bon vouloir turc ou du soutien intéressé de Gênes et de Venise plus que de rares croisades souvent avortées. L’Union des Eglises grecque et latine à Lyon (1274) puis à Florence (1439), conclue par les empereurs dans l’espoir de sauver Byzance, fut refusée par la plupart des orthodoxes et n’eut aucun effet. L’autorité du patriarche l’emporta définitivement sur celle de l’empereur.

Byzance
7.7
4.

Byzance

Sortie : octobre 2006 (France). Culture & société

livre de Michel Kaplan

Annotation :

* Continuateur de l'Empire romain depuis la fondation de Constantinople en 330 jusqu'à sa chute en 1453, l'Empire byzantin fut la première puissance de la chrétienté dont la religion orthodoxe est l'héritière directe. Établi en Asie comme en Europe, il a tissé un lien fort entre ces deux continents. Son héritage artistique fabuleux et son rôle décisif dans la transmission des textes de l'Antiquité grecque ont assuré la gloire d'une civilisation qui a su enrichir son respect des traditions d'une fascinante audace créatrice.

Pourquoi Byzance ?
7.3
5.

Pourquoi Byzance ?

Un empire de onze siècles

Sortie : 1 avril 2016 (France). Essai, Histoire

livre de Michel Kaplan

Annotation :

* Le mardi 29 mai 1453, les armées ottomanes de Mehmet II prennent Constantinople, la capitale inaugurée par Constantin plus de mille ans auparavant, le 11 mai 330. Michel Kaplan restitue l'histoire de l'Empire byzantin en fonction des contraintes et des nécessités politiques, religieuses, physiques, géographiques et culturelles. Notre civilisation doit à Byzance la transmission du legs de la Grèce antique : la totalité des ouvrages conservés depuis l'Iliade jusqu'aux Pères de l'Eglise nous a été transmise par les manuscrits copiés par les Byzantins. Sur le plan artistique, largement lié à la religion, l'héritage byzantin est presque limité à l'Europe orthodoxe, avec le plan en croix grecque et l'art de l'icône, suite au rétablissement du culte des images en 843. Enfin, l'Etat byzantin a constitué un Etat de droit. La justice reposait sur le corpus de Justinien ; le pouvoir impérial reste jusqu'au bout autocratique par principe, mais le droit prime la force. L'histoire de l'Occident plonge ses racines dans Théodoric l'Ostrogoth, Clovis le Franc et son continuateur Charlemagne, Otton Ier et ses successeurs, autant de souverains qui prenaient leurs exemples à Constantinople.

Histoire de Byzance (330 - 1453)
7.7
6.

Histoire de Byzance (330 - 1453)

A Short History of Byzantium

Sortie : 1998 (France). Histoire

livre de J.J. Norwich

Annotation :

* Ce livre retrace l'histoire d'un empire de onze siècles. Aucun empire chrétien n'a pu rivaliser en durée comme en influence culturelle. De Moscou à Venise, de Londres à Paris ou à Rome, des déserts d'Arabie, les rois, les élites, et les peuples ont rêvé de venir à Constantinople, de la conquérir comme de commercer avec elle. Cette "nouvelle Rome" naît en 330 lorsque l'empereur Constantin choisit d'établir sa capitale dans un port d'Asie Mineure appelé Byzance. Elle s'effondre en 1453 sous les coups du sultan Mehmet II. Pendant ce long millénaire s'est développé un empire au corps romain, à l'esprit grec et à l'âme orientale. J.J. Norwich avait publié une trilogie universitaire sur Byzance. L'auteur navigue avec habilité entre mythe et réalité, entre hypothèses et événements documentés.

Histoire de l'Etat byzantin
7.

Histoire de l'Etat byzantin

Geschichte des byzantinischen Staates

Sortie : mars 2007 (France).

livre de Georgije Ostrogorsky

Annotation :

* Structure romaine de l'État, culture grecque et foi chrétienne : telles sont les grandes sources d'où Byzance est sortie. Supprimez l'un de ces trois éléments, et le fait byzantin devient inconcevable. Seule la synthèse de la culture hellénistique et de la religion chrétienne avec la forme romaine de l'État a rendu possible la constitution de ce phénomène historique que nous appelons l'Empire byzantin. Byzance a sauvegardé l'héritage antique et elle a rempli ainsi une mission historique. Elle a sauvé de la disparition le droit romain, la poésie, la philosophie et la science grecques, pour transmettre ensuite le grand héritage à l'Europe occidentale». Voici rééditée la monumentale synthèse de Georgije Ostrogorski (1902-1976), qui fut professeur à l'université de Belgrade. L'un des premiers byzantinistes à exploiter aussi bien des sources occidentales que slaves et grecques.

Vie et mort de Byzance
8.

Vie et mort de Byzance

Sortie : mai 2006 (France). Essai

livre de Louis Bréhier

Annotation :

* Lorsque, à la fin de sa vie, Louis Bréhier (1868-1951) fit entrer Byzance dans la prestigieuse collection de "L'Evolution de l'Humanité" en publiant "Le Monde byzantin" en trois volumes, "Vie et mort de Byzance", "Les Institutions du monde byzantin", "La Civilisation byzantine", il achevait par une ample synthèse une œuvre d'historien que l'on découvre encore avec admiration. "Vie et mort de Byzance", premier volume de cette trilogie, malgré les retouches de détail que suggèrent les découvertes ou mises au point postérieures, reste un modèle du genre. Ecrit dans un style transparent, il sélectionne les faits pour leur signification, mais les raconte dans leur foisonnement, au plus près de sources scrupuleusement notées, et presque dans leur langage.

Le monde byzantin
9.

Le monde byzantin

monde byzantin Tome 2

Sortie : 1 janvier 2000 (France).

livre de Louis Bréhier

Annotation :

* Lorsque, à la fin de sa vie, Louis Bréhier (1868-1951) fit entrer Byzance dans la prestigieuse collection de "L'Evolution de l'Humanité" en publiant "Le Monde byzantin" en trois volumes, "Vie et mort de Byzance", "Les Institutions du monde byzantin", "La Civilisation byzantine", il achevait par une ample synthèse une œuvre d'historien que l'on découvre encore avec admiration.

La grande stratégie de l'Empire Byzantin
7.7
10.

La grande stratégie de l'Empire Byzantin

Sortie : 30 décembre 2010 (France). Culture & société

livre de Edward N. Luttwak

Annotation :

* Pourquoi Byzance a-t-elle survécu deux fois plus longtemps que Rome, son équivalent d'Occident ? Cette endurance extraordinaire est d'autant plus remarquable qu'elle n'était favorisée ni par la géographie ni par une prépondérance militaire. Selon Edward Luttwak, cette performance est due à l'habileté de ses souverains qui ont su s'adapter aux circonstances et inventer de nouveaux moyens de faire face à leurs ennemis successifs. La stratégie reposait moins sur la force militaire que sur la persuasion. Et, même au combat, les Byzantins étaient moins portés à détruire leurs adversaires qu'à les contenir. Apparue au Ve siècle face à la formidable menace représentée par les Huns d'Attila, vaincus avec un minimum de forces, cette méthode a continué à s'affiner au fil des siècles. Edward Luttwak analyse avec une extraordinaire précision tous les aspects de cet incomparable art de la guerre, étudiant aussi bien la religion et le pouvoir à Byzance que sa diplomatie, ses pratiques dynastiques, ses armes, sa tactique, son système fiscal ou encore ses méthodes d'espionnage. La "résilience" de Byzance : une leçon pour les grandes puissances de demain ?

Histoire de l'empire Byzantin
11.

Histoire de l'empire Byzantin

Essai

livre de Charles Diehl

Annotation :

* in-12 (190 x 120 mm), broché, XI-247 pp., broché, 4 cartes et 15 planches de reproductions en noir.

Le Moyen Âge IVe - Xe siècles
12.

Le Moyen Âge IVe - Xe siècles

Sortie : 1994 (France). Histoire

livre de Michel Kaplan

Annotation :

* Ce premier tome d'histoire du Moyen Âge aborde les sept premiers siècles du monde médiéval comme continuation de l'Antiquité, d'abord Orient et Occident traités ensemble, puis l'Occident chrétien d'une part, et l'Orient byzantin et le monde arabe musulman d'autre part.

Le Moyen-Age XIe-XVe siècle, Histoire Médiévale tome 2
13.

Le Moyen-Age XIe-XVe siècle, Histoire Médiévale tome 2

Sortie : 1994 (France). Histoire

livre de Elisabeth Mornet, Jean Kerhervé, Patrick Boucheron et Michel Kaplan

Annotation :

* Ce second volume d'Histoire du Moyen Age aborde de façon équilibrée l'évolution politique, l'histoire économique et sociale et la vie religieuse. Il consacre cinq chapitres à la période "centrale" (XIe-XIIIe s.) et trois aux deux derniers siècles (XIVe-XVe s.).

Histoire du déclin et de la chute de l'Empire romain
8.1
14.

Histoire du déclin et de la chute de l'Empire romain (1789)

The History of the Decline and Fall of the Roman Empire

Sortie : 2000 (France). Histoire

livre de Edward Gibbon

Annotation :

* " C'est à Rome, le 15 octobre 1764, alors que je méditais dans les ruines du Capitole et que les moines chantaient vêpres, pieds nus dans le Temple de Jupiter, que l'idée d'écrire l'histoire du déclin et de la chute de la Ville éternelle se fit jour en moi pour la première fois. " Ainsi Gibbon relate dans ses Mémoires les instants d'inspiration qui devaient décider de sa vie d'historien. Ses grands thèmes sont Rome, la Ville éternelle, où l'on peut contempler "non pas les reliques de la superstition, mais celle de l'Empire" ; c'est aussi la dégénérescence d'institutions exemplaires sous le double effet du despotisme et de la superstition ; c'est la victoire de l'Église sur l'Empire ; c'est enfin les grandes leçons de l'histoire qui se méditent silencieusement quand les ténèbres gagnent les ruines où reste ensevelie une civilisation entière. Gibbon le dit en écrivain autant qu'en historien. En poète, même. Il érige à la gloire de Rome un livre aussi rigoureusement équilibré qu'un temple antique ; mais en même temps, il laisse se noyer d'ombre les vastes portiques qu'il édifie. C'est sa façon de partager le goût du temps pour la mélancolie des ruines ; mais cette tentation ténébriste, il s'en sert pour exprimer son pessimisme face à l'avenir de la civilisation des Lumières, menacée, comme jadis celle de Rome, par la montée des masses humaines qui feront désormais l'histoire.

Byzance, villes et campagnes
15.

Byzance, villes et campagnes

Sortie : novembre 2006 (France).

livre de Michel Kaplan

Annotation :

* Enseignants et chercheurs en histoire médiévale ont en France une activité considérable et reconnue au plan international. En dehors des livres et des manuels qu'ils produisent, ils donnent une part importante des fruits de leurs recherches à des ouvrages collectifs, des périodiques et des encyclopédies. Il est donc nécessaire de procéder à un regroupement de leurs articles dispersés pour permettre à un large public de prendre connaissance de leurs résultats, de leurs hypothèses, et de leurs projets. La collection consacrée aux médiévistes français répond à cette préoccupation. Ici la personnalité du médiéviste donne au livre toute sa cohérence. Ce volume regroupe vingt articles publiés entre 1981 et 2005. Ils portent tous sur l'histoire économique et sociale. Même si l'Empire byzantin s'est illustré par la qualité de sa vie urbaine, à commencer par celle de sa capitale, l'essentiel de sa population vit et travaille à la campagne, dans les villages. Les villageois sont les premiers contributeurs de l'économie byzantine ; ils paient l'essentiel des impôts qui font vivre un Etat comparativement fort. Ces impôts alimentent les traitements des hauts fonctionnaires et dignitaires ; les puissants y ajoutent les loyers qu'ils tirent de leurs possessions foncières. L'aristocratie jouit ainsi d'un pouvoir d'achat élevé qu'elle dépense en ville, où elle préfère vivre, et notamment à Constantinople, où la proximité à l'empereur lui permet d'obtenir offices et titres. L'ouvrage commence donc par l'étude des villages et villageois, traite ensuite des puissants dans les campagnes, puis développe un cas particulier, celui des monastères ; il s'intéresse enfin à l'économie et à la société urbaines, essentiellement celle de Constantinople, qui fut, du Ve siècle à 1204, la ville la plus importante et la plus développée.

Le Proche-orient médiéval
16.

Le Proche-orient médiéval

Sortie : 30 avril 1991 (France). Essai, Histoire

livre de Bernadette Hisard-Martin, Michel Kaplan et Alain Ducellier

Constantin le Grand
7.7
17.

Constantin le Grand

Sortie : 2011 (France). Biographie

livre de Pierre Maraval

Annotation :

* Redoutable et ambitieux chef de guerre, Constantin 1er (272-337) s'imposa comme maître tout-puissant de l'Empire romain d'Occident puis d'Orient. Son règne fut l'un des plus longs trente et un ans mais aussi l'un des plus remarquables. En retraçant l'ascension de ce premier empereur chrétien vers le pouvoir, son parcours et son action, Pierre Maraval offre une biographie captivante.

Constantin, Le premier empereur chrétien
18.

Constantin, Le premier empereur chrétien

Sortie : 2011 (France). Biographie

livre de Vincent Puech

Annotation :

* Constantin (v. 273/274-337) est le premier empereur romain chrétien, celui qui a engagé l’empire dans la voie du christianisme mais dont la conversion personnelle suscite toujours bien des interrogations : en 312, avant la bataille du Pont Milvius, Constantin aurait reçu en songe l’injonction d’adopter un signe chrétien sur les boucliers de son armée afin de remporter la victoire. S’il est difficile de connaître les conditions individuelles de cette conversion, qui eut bien lieu en 312, on peut envisager la signification de la légalisation du christianisme à partir de 313. L’Empire romain sortait alors de la plus violente persécution jamais infligée aux chrétiens, ce qui constituait un puissant facteur de désordre. Les chrétiens étant alors très minoritaires dans la société romaine, le pari de l’empereur fut certainement guidé par une ambition politique.
Cette biographie replace la conversion de Constantin dans une perspective plus large, en considérant tous les domaines d’intervention de l’empereur. La concentration progressive du pouvoir lui permit de mener une vaste œuvre de centralisation monarchique au service d’une société fondamentalement romaine mais ouverte aux chrétiens. Le symbole en reste la fondation de Constantinople. L’examen de tous les types de sources permet de dresser le portrait parfois inattendu d’un premier empereur chrétien resté profondément romain. L’ouvrage se termine sur une évocation méconnue de la légende orientale de Constantin : le monde byzantin fit de lui le saint fondateur de l’empire chrétien, gommant la coexistence entre les religions qui constitua l’originalité de son règne.

Constantin : Un Auguste chrétien
19.

Constantin : Un Auguste chrétien (2012)

Sortie : 2012 (France). Biographie, Histoire

livre de Tiphaine Moreau et Bertrand Lançon

Annotation :

* Constantin fait incontestablement partie de ces chefs d’État qui ont fait l’Histoire. Bien au-delà de l’Empire romain, il a, durant les trente ans de son règne, marqué l’Occident tout entier. Car sans lui, parlerait-on des « racines chrétiennes de l’Europe » comme d’une sorte d’évidence ? C’est à cet homme de pouvoir, aussi inspiré que controversé, qu’on doit des rapports inédits entre le politique et le religieux, et le glissement du pouvoir impérial traditionnel vers des formes à la fois solides et vulnérables, mais, dans tous les cas, durables. Réformateur, guerrier, législateur et bâtisseur - il fonde une seconde Rome, Constantinople –, le premier empereur romain chrétien n’est pas la figure révolutionnaire ou ambiguë que l’on a pu dépeindre : son action novatrice se conjugue intimement avec la tradition augustéenne dans laquelle s’ancrent ses lois et l’exercice de son pouvoir, en Occident comme en Orient. À travers légende noire et légende dorée, ce livre s’attache à révéler un homme en quête d’une nouvelle forme de romanité sous le signe de l’unité, de la paix et de la foi.

Les fils de Constantin
20.

Les fils de Constantin

Sortie : 15 novembre 2013 (France). Essai

livre de Pierre Maraval

Annotation :

* Ils ont été éclipsés par la gloire de leur père, Constantin (272-337), premier empereur chrétien et bâtisseur de Constantinople. Figure écrasante et magnifique qui fit oublier l'œuvre accomplie par ses trois héritiers, Constantin II, Constance II et Constant. Destins souvent tragiques que fait revivre cette grande fresque historique, entre guerres fratricides et révolutions de palais, expéditions contre les Perses et les barbares et christianisation des confins de l'empire, schismes et hérésies, œuvre législative et réformes économiques. A travers les figures de ces trois frères trop souvent caricaturés en nouveaux Atrides, Pierre Maraval propose une lecture originale du IVe siècle, époque charnière marquée par un foisonnement intellectuel et religieux qui annonce le basculement de l'Antiquité dans l'ère médiévale. Il montre surtout comment Constance, et dans une moindre mesure, Constant, ont moins terni l'héritage de leur père qu'ils ne se sont inspirés de sa conduite dans le but de poursuivre son œuvre.

Justinien 527-565
21.

Justinien 527-565

L'épopée de l'Empire d'Orient

Sortie : 27 octobre 2004 (France). Essai

livre de Georges Tate

Annotation :

* Sous le règne de Justinien (527-565), l'Empire romain d'Orient connaît un renouveau de puissance politique et de richesse matérielle dont on n'aurait pas cru le vieil Empire capable après les invasions du Ve siècle et la perte de sa partie occidentale. Le souverain de Constantinople entreprend avec succès la reconquête de l'Afrique du Nord, de l'Italie et d'une partie de l'Espagne, tout en assurant l'intégrité du territoire sur les autres fronts. L'Empire s'affirme comme la plus grande puissance du monde méditerranéen, l'une des plus grandes de son temps avec les empires perse et chinois. Il développe une civilisation régénérée dont certaines œuvres éblouissent encore. Avec Sainte-Sophie, il se pare d'un des monuments les plus remarquables de l'histoire de l'art : dix siècles plus tard, les architectes ottomans, qui l'ont prise pour modèle, réussissent à en égaler les performances techniques mais sans les surpasser ; sa coupole demeure la plus haute d'Istanbul. Justinien lègue aussi à la postérité la plus grande œuvre juridique de l'Antiquité : le code Justinien qui reprend, sous une forme raisonnée et dans un ordre logique, la majeure partie du droit de la Rome antique, les lois et ordonnances des empereurs aussi bien que la production des grands jurisconsultes. Par l'éclat et la portée des réalisations de son règne, Justinien est bien l'égal de Périclès, Auguste, les Médicis et Louis XIV, qui ont été jugés dignes de donner leur nom à leur époque.

L'Empereur Justinien
7.5
22.

L'Empereur Justinien

Sortie : 23 août 2012 (France). Biographie

livre de Pierre Maraval

Annotation :

* Une histoire de l’Empire romain d’Orient sous le règne de Justinien, au VIe siècle.
Justinien a marqué de son empreinte l’Antiquité tardive. Sous son autorité, l’Empire, réformé, brille par de grandes réalisations. La construction de Sainte-Sophie, la reconquête de l’Afrique du Nord et de l’Italie, l’instauration d’un code législatif pérenne sont quelques-unes de ses grandes œuvres. Cependant, si Justinien a été le dernier empereur à avoir réuni les deux parties de l’Empire romain, c’est au prix de l’appauvrissement de sa partie orientale. Et sa codification du droit romain n’a pas supprimé de grandes injustices sociales. Cadre du règne, établissement de nouvelles lois, guerres de reconquêtes ou guerres défensives, réalisations architecturales, problèmes sociaux et économiques, politique religieuse : Pierre Maraval nous décrit ici le quotidien de l’Empire et décrypte une des plus grandes figures de l’histoire byzantine.

Histoire de la guerre contre les Perses - Guerres de Justinien, livres 1 et 2
23.

Histoire de la guerre contre les Perses - Guerres de Justinien, livres 1 et 2

Histoire

livre de Procope de Césarée

Annotation :

* Procope de Césarée a écrit les Guerres que l'Empereur Justinien a faites contre les Barbares, tant en Orient qu'en Occident, de peur que le temps n'ensevelît dans l'oubli, et ne ruinât dans la mémoire des hommes ces exploits signalés, dont il est persuadé que le souvenir sera très utile au siècle présent, et aux siècles à venir, toutes les fois que la suite des aimées ramènera sur le théâtre du monde de pareilles aventures. Il a cru aussi être plus capable que nul autre de ce travail, par la seule raison qu'ayant été du conseil de Bélisaire, il a vu comment les choses se sont passées. De plus, il sait que comme les figures conviennent aux discours d'éloquence, et la fable à la poésie ; de même la vérité est propre à l'Histoire. C'est pourquoi il n'a rien dissimulé des fautes de ses amis, mais il a rapporté avec une entière fidélité, et dans la vérité la plus exacte, ce que chacun a fait de bien ou de mal.

Guerres et malheurs du temps sous Justinien
24.

Guerres et malheurs du temps sous Justinien

Sortie : septembre 2007 (France). Histoire

livre de Agathias

Annotation :

* Les Histoires d'Agathias couvrent à peine dix années du règne de Justinien (551-559), une période marquée par des guerres –fin de la reconquête de l'Italie par Narsès, guerre contre les Perses en Lazique, invasion de la Thrace par les Huns Kotrigour – et par diverses catastrophes – tremblements de terre de 551 et 558, dont le second provoque l’écroulement de la coupole de Sainte-Sophie, retour de la peste en 558. Sur plusieurs de ces événements, Agathias est parfois notre unique source. Son ouvrage comporte aussi plusieurs excursus intéressants, sur les Francs, les Alamans, mais surtout sur l’ennemi héréditaire des Romains, les Perses. C’est l’œuvre d’un littérateur (par ailleurs auteur d’épigrammes), d’un moraliste soucieux de tirer des leçons de l’histoire, dont l’information repose souvent sur des sources originales, récits de témoins ou, dans le cas de la Perse, renseignements provenant des Annales Royales. L’ouvrage n’a pas été traduit en français depuis plus d’un siècle. Ce volume en offre une traduction nouvelle, accompagnée de notes importantes et d’un index. Pierre Maraval est professeur émérite de Paris IV Sorbonne. Il a publié dans la même collection l'Histoire secrète de Procope de Césarée et plusieurs ouvrages dans la collection Sources chrétiennes.

Les Institutes de l'empereur Justinien
25.

Les Institutes de l'empereur Justinien (533)

Les Institutes

Sortie : 0533. Culture & société

livre de Justinien Ier et Tribonien

Annotation :

* Deuxième partie du Corpus Iuris civilis, succédant au Digeste. Elaborée encore une fois par Tribonien à la demande de l'Empereur Justinien.

Constantinople
26.

Constantinople

De Byzance à Istanbul

Sortie : 27 mai 2010 (France). Beau livre

livre de Stéphane Yerasimos

La conquête de Constantinople
6.8
27.

La conquête de Constantinople

Sortie : 1213 (France). Récit

livre de Geoffroy De Villehardouin

La conquête de Constantinople
6.5
29.

La conquête de Constantinople

Sortie : 2004 (France). Récit

livre de Robert de Clari

La chute de Constantinople
7.8
30.

La chute de Constantinople (1965)

The Fall of Constantinople 1453

Sortie : mars 2007 (France). Essai, Histoire

livre de Steven Runciman

Annotation :

* 29 mai 1453 : Constantinople, capitale de l'Empire romain d'Orient depuis sa fondation en 330, tombe aux mains des Turcs. Le choc est terrible pour l'Occident chrétien, qui a pourtant négligé de secourir la ville. L'année 1453 a longtemps symbolisé peut-être de manière excessive la fin du Moyen âge et le début des Temps modernes aux yeux des historiens. Elle fut, de fait, décisive pour deux peuples : les Turcs, qui y gagnèrent une capitale et s'établirent durablement sur le sol européen ; les Grecs, qui virent se clore le long chapitre byzantin et dont les humanistes vinrent nourrir l'élan de la Renaissance occidentale. 1453 : année heureuse pour les uns, funeste pour les autres, que raconte Steven Runciman à travers les fiévreux préparatifs du siège, la violence de l'assaut, la résistance héroïque d'une poignée de héros et l'effondrement sans surprise d'une cité depuis longtemps moribonde.

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