Carnet de lecture 2022

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Janvier - 256 pages

J'ai mis du temps à rentrer dedans, et puis... à la fin je n'ai plus pu le lâcher. Il est devenu carrément addictif.
Pour la petite histoire, le 24 décembre on est allés avec mon papa et ma soeur à la librairie. On a choisi chacune 3 livres et il devait choisir un sur les trois. Ma soeur n'a pas eu de vrai suspens parce qu'elle a influencé le choix. Mais moi je ne savais vraiment pas ce qu'il prendrait... jusqu'à ce que la libraire s'écrie "je l'emballe Le roman de Jim ?".
C'est drôle que ce soit lui qui me l'ait offert. C'est sa région.
Ca dit merveilleusement bien les liens, au-delà de ceux du sang.
J'en aurais pleuré d'injustice, tant cette histoire m'a paru horrible. Jamais je n'aurais pu me résigner, jamais je n'aurais eu ce sang froid...
C'est une belle histoire, vraiment.

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Janvier - 164 pages

J'ai trouvé qu'il y avait des passages remarquables... ça m'a en tout cas happée tout entière. Ca n'a pas tout à fait tenu dans la durée. Mais la description du couple, des couples, est d'une belle justesse.

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Janvier. 173 pages

J'ai cru que je n'allais pas pouvoir finir. Les premières pages m'ont un peu prise à la gorge. Cette voisine, qui n'est pas une vraie grand-mère, qui quitte son chez elle. C'était trop frais pour moi.
Et puis finalement je suis allée au bout, et l'intensité ne tient pas. La fin est même plutôt décevante.
Il y a de beaux moments mais ça ne suffit pas à faire un bon livre.

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Janvier. 182 pages

Je ne savais pas du tout où j'allais. J'avais l'impression d'errer dans ces plaines neigeuses, me perdre dans les différents personnages.
Et puis ce roman choral finit par prendre son envol. Et on le referme en se disant que c'est quand même pas mal du tout.

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Janvier. 351 pages

Exaspérant au possible. Vraiment. J'ai fni parce que je finis toujours, mais ça a été dur.
Mon mari par ci mon mari par là, à lire c'est insupportable.
J'ai aimé les "jours-couleurs", mais c'est à peu près tout.
Et oui, l'épilogue est pas mal, il surprend. Mais il ne suffit pas à rattraper tout ce qu'il y a eu avant, loin s'en faut.

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363 pages - Janvier / février

J'ai adoré cette histoire, ces personnages. Entre Stand by me, Les choristes, The kings of summer et La petite princesse... Toutes les bandes de potes, tous les orphelins de mon enfance.
Vraiment, j'ai trouvé ça beau.

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329 pages. Février

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Février - 179 pages
Je suis assez peu convaincue. J'ai trouvé la chronologie un peu confuse, le tout peu clair, et puis la fin un peu abrupte, ni ouverte ni conclusive.

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Février. 175 pages

Quelque chose m'a gênée. Peut-être le côté trop revanchard. Je n'aime pas la vengeance de manière générale. Peut-être que c'est ça ?
Il ne m'en restera en tout cas pas grand chose, il faut dire que j'ai lu tellement plus percutant sur la question que ça me paraît fade...

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Mars - 250 pages
Le postulat de base était sympathique, mignon même. Mais le fil des pages m'a vite perdue.

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Mars - 158 pages

J'aurais aimé aimer. Mais contrairement à ceux qui me l'ont conseillé, les mots ne m'ont pas parlé, ne m'ont pas percutée, habitée.
Qui suis-je pour juger l'horreur ? Simplement j'ai trouvé que ça tournait un peu en rond sur les mêmes idées. Peut-être qu'effectivement c'était la meilleure manière de la décrire, l'horreur.

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Mars - 424 pages
L'air de rien c'est assez prenant. On s'attache.
Après, pas révolutionnaire non plus.
(pourtant Dieu sait que l'univers carcéral a toujours eu quelque chose d'assez fascinant pour moi, enfin fascinant n'est pas le mot juste. Mais un peu comme un appel qui pousserait à faire changer un peu les choses).

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Mars-avril
198 pages

Il y a de très belles images (cette commode en premier lieu, mais pas que). De belles histoires. Mais on se perd un peu parfois. Et je suis peut-être un peu orientée mais, n'est pas écrivain qui veut...

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Avril - 203 pages

Un peu secouée (dans tous les sens du terme) par ce Besson.
Je crois que j'aime un peu les trains comme j'aime les bars : pour les croisements qu'ils sont, d'histoires qui jamais ne devraient se rencontrer.

J'ai adoré ces micro-portraits, forcément incomplets mais pourtant si précis. Besson a toujours été un peintre de l'émotion, de l'Être dans ce qu'il a de complexe.
Cette fatalité qu'on sent, qui nous est énoncée dès le départ.
J'en resors un peu émue, tant par la facilité avec laquelle les histoires commencent que la brutalité avec laquelle elles s'arrêtent. C'était écrit.

Nb : Si j'aime les fragments d'histoires sur des temps plus que courts (comme c'était déjà le cas pour "Le dernier enfant", qui ne m'avait pas tant convaincue), je rêve d'une nouvelle immersion profonde dans les années de personnages tels que Thomas, qui me hante encore aujourd'hui.

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252 pages. Mai

Assez prenant à suivre. J'avoue. Tout ne m'a pas convaincue, mais malgré tout...

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152 pages - Mai
Evidemment ce genre d'histoire... ça me touche. L'impossible. Le permanent. Les croisements. Les non-dits. L'Inthemoodforlove de la vie.
Il y a eu quelques creux par-ci par-là, mais malgré tout, c'est doux à lire.

"Qu'elle ne cessait de penser à lui, même si parfois elle cessait de penser à lui".

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Juin. 229 pages
Tellement déçue... J'avais été absolument transportée par son roman précédent... Et voilà qu'ici il ne se passe rien. Alors que tout était pour moi. Le café suspendu, les croisements, les rencontres, le lieu, les histoires qu'on observe de loin, ... Tellement de choses. Et puis rien, non. Les pages ont tourné dans mes mains, et je n'ai rencontré personne finalement. J'ai manqué cruellement du liant qu'il aurait fallu. J'ai manqué doulouresement d'accroche, ces personnages ne m'ont pas saisie, ils ne se sont pas laissés aimer...

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760 pages - Juillet
Je n'ai pas tout aimé. Mais on est malgré tout plutôt emporté avec eux.

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187 pages - Août
Il ya dans ce livre quelque chose d'assez fascinant. Ces amours d'une vie me laissent toujours admirative. Evidemment, il y a pas mal de choses que j'ai retrouvées de moi. J'ai trouvé ça assez juste par bien des aspects.

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Août - 284 pages
C'est le genre de livre que j'attends, un peu mon "Chère Léa de l'écrit". Que j'attendais en ouvrant Le café suspendu d'Amanda Sthers (qui n'a pas réitéré l'exploit de me transporter). Celui-là quelque part fait davantage sa "part" du travail (même si moins de magie, avec les traditions, les métiers tout ça tout ça...). Ce sont des fragments de vie, c'est ce pour quoi j'avais signé. Après ça ne prend pas tout à fait. Ca se lit. Bien. Mais ça s'oublie bien aussi.

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Septembre
476 pages

Un brin déçue. Je l'ai lu après le film (erreur peut-être ?) mais au final j'ai moins aimé. On m'avait parlé d'un livre bien écrit, je n'ai pas été transcendée par le style. Ni par les descriptions d'ailleurs. Ce livre ne m'a pas fait voyager, alors que c'est ce que j'attendais de lui. J'espérais aussi quelques éclaircissements, et j'avoue, j'en ai eu quelques uns.
Il y a deux trois petites choses que j'accorde au livre uniquement, mais au final, je trouve que le film est une très bonne adaptation.

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Septembre. 216 pages
Un brin trop à l'eau de rose. Mais enfin parfait pour une lecture de fin de vacances. Et quelques beaux moments (encore une fois j'écris mes petites lignes trop tard, et je me souviens déjà peu... ça promet).

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437 pages. Octobre

A chaque fois c'est la même chose, le "on ne m'y reprendra plus". Pis là les personnages étaient les mêmes, j'aime bien aller au bout des choses alors la "suite" c'était tentant.
Mais enfin c'est quand même un brin niais, et surtout je ne suis pas fan de l'écriture... Disons que le miracle du 1er que j'ai lu ne se reproduit pas, cette sucrosité qui devient miel, baume. Qui touche. Donc il faut juste que je me dise que c'était une exception, et que ça ne reviendra pas. Qu'il y a décidément bien mieux à lire, bien trop d'ouvrages à parcourir pour continuer cette lancée-là...

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Octobre - 356 pages

Je suis partagée... entre ce côté "on leur voit l'âme. On en est reconnaissant, épouvanté, grandi". Et le côté "Mohamed Amri mange des oeufs sur le plat".
Il y a quelque chose de passionnant dans l'idée de "rentrer dans la boîte". De pouvoir regarder par la lucarne de ce microcosme. Quelque chose de passionnant dans l'idée de la quotidienneté et de la durée de ce procès, des liens qui se créent, des habitudes qui se forment. Et en même temps un côté : mais pourquoi ?
Disons qu'il n'y a pas que l'idée de rapporter ici, mais d'interpréter, et par moment je pense que c'est cet aspect-là qui m'a plus dérangée.
J'ai trouvé ce livre inégal (comme beaucoup de livres d'Emmanuel Carrère d'ailleurs), mais avec en plus la question du sens (question que je me suis posée devant Novembre de manière plus accentuée encore).

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231 pages - octobre

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330 pages - Novembre

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222 pages - Novembre

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183 pages - novembre

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274 pages - Décembre

Annotation :

Décembre - 345 pages