Carnet de lecture 2024

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581 pages - Février

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Mars - 204 pages

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445 pages - juin

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Juin - 350 pages

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304 pages - Juillet

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191 pages - Juillet.

Si j'en doutais encore, Besson est vraiment l'auteur qui me bouleverse le plus. Pas de ses histoires mais de sa façon d'utiliser les mots.
C'est presque douloureux d'avoir à ce point un irréprésible besoin d'avancer dans les pages, alors que ces mots il faut les savourer. C'est une drogue en somme.
Je ne suis jamais autant frappée que par lui par l'évidence des formules. La justesse des descriptions des sentiments.
Je suis vraiment faite du même bois que cet auteur, d'un point de vue littéraire du moins. Comme si on avait la même boîte à outils (il l'utilise évidemment 100 000 fois mieux que moi).
C'est fou ce livre, il ne s'y passe rien ou pas grand chose. Et là encore : la beauté des choses simples, ce qui me bouleverse le plus en somme.
C'est doux, c'est précis. C'est tellement la vie, les rapports à l'autre. Je trouve ça fou. J'aime j'aime j'aime.

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250 pages - novembre

Enfin, retrouver ses amours : se remettre à lire. Cette liste est désespérément courte...

Il y a une forme de folie dans ce livre, celle du désespoir, et même si beaucoup de choses m'ont dépassée, cette folie m'a parlé...

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106 pages - décembre

Dans les films comme dans les livres, les trains sont le décor idéal. Je m'imaginais déjà, comme dans un Besson, assister à des rencontres de tranches de vie, des collisions d'univers. Il n'en est rien, ou du moins pas grand chose. Un livre sitôt fermé, sitôt oublié.