Cerrone & friends: discographie commentée

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I – »ALBUMS CLASSIQUES«

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Dès 1972, le producteur Eddie Barclay repère Cerrone et son groupe Kongas et les fait signer sur son label. Après quelques singles épars sort cet album éponyme au style afro-rock.

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Album auto-produit sur le label indépendant Malligator fraîchement fondé par Cerrone lui-même suite au refus d'Eddie Barclay de publier l'ambitieux morceau-titre de quinze minutes. Initialement pressé à 5000 exemplaires, ce disque sera cependant repéré par les DJs de New York. L’album y fut un tel succès qu’une version réenregistrée vit le jour. Cerrone réclama son du auprès d’Atlantic Records et obtint un contrat de distribution de l’album en bonne et due forme sur le sol américain.

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Album à succès du supergroupe Santa Esmeralda, avec Leroy Gomez au chant et au saxophone, Raymond Donnez (alias Don Ray) aux arrangements orchestraux, et la participation de Jean-Manuel Mobillion (alias Arthur Cobb) et Nicolas Skorsky (Howard Headburn) à la composition.
Le morceau-titre est emprunté au groupe The Animals et "Gloria" est une reprise de Van Morrison.

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Deuxième album de Kongas. Plus d'afro-rock, il s'agit bien cette fois de Disco. À considérer dans la continuité de l'œuvre de Cerrone.

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Cet EP d'un quart d'heure est un projet parallèle de Cerrone.

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"The House Of The Rising Sun" est un air traditionnel, également interprété par The Animals en 1970.
De nouveaux musiciens viennent se greffer au projet Santa Esmeralda: Jean-Claude Petit arrange "The House Of The Rising Sun" et "Quasimodo Suite", Christian Padovan et José Souc font de même pour les autres morceaux. Mobillion et Skorsky restent en place. Cerrone et Don Ray participent également à la composition mais sont privés de royalties et blackboulés des crédits.
"Hey Gyp!" est une reprise de Donovan.

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En novembre 1977, le groupe Santa Esmeralda met en boîte "The House Of The Rising Sun" en vue d’un deuxième album. Suite à un conflit d’attribution de royalties, Cerrone et Don Ray enregistrent en catimini leur propre version de "House Of The Rising Sun" sous le nom Revelación, laquelle sortira peu avant le deuxième album de Santa Esmeralda. Aucun des deux ne réitéra le succès de Don’t Let Me Be Misunderstood.
Avec une version alternative de "Time For Love" (issu de Cerrone’s Paradise), hélas encore moins réussie que l’originale.

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Ce troisième album de Kongas est un recueil de réinterprétations Disco de cinq morceaux du premier album.

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Album un peu fourre-tout où Cerrone s’adonne au rock et au reggae, toujours sur une base Disco. Le courant s’épuise, de même que l’inspiration de Cerrone. Il faut rebondir.

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La BO de cette suite de Brigade Mondaine est particulièrement marquée par les interventions électroniques de Georges Rodi.

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Également sorti dans la discographie de Kongas sous le titre Revelación Of Kongas.

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Alors là, on s'y perd un peu. Cet album contient:
- des réinterprétations cuivrées de "Rocket In A Pocket" (Cerrone IV, 1978) et "Tattoo Woman" (Kongas, Africanism, 1977)
- un morceau inédit: "The Fun Cry"
- un recyclage de "The Time Is Right" (Revelacion, 1979)

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Ce n’est pas la bonne pochette!!

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Ultime reliquat du projet Kongas, avec le morceau-titre, un inédit de 8 minutes de bonne qualité, et un recyclage de "The Fun Cry" (l'inédit de Kongas 1979) sans l'introduction.
La pochette est affreuse et mieux vaut laisser l'emplacement vide sur ce site.

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Retour à un format de suite de quinze minutes, une première depuis Supernature.

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Bande originale du film avec Alain Delon adapté d’un roman de… Cerrone.