Chemin de solitude — 2023

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(27 décembre)

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(26 décembre)

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(24 décembre)

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Klent a une écriture très vraie, je dirais presque pure mais pas sûr que ça veuille dire quelque chose. Ça mélange un peu trop de choses, les rêves de l'utopie, des amours sans y croire, des énarques désabusés, mais comme dans Paresse pour tous, on se prend au jeu, on y croit.

(21 décembre)

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(20 décembre)

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(14 décembre)

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(14 décembre)

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Lu en deux gros coups (espacés de deux ans) ; personnages d'ombres, névrosés, ignobles, des successions de scènes torturés. Ce ne serait même pas une descente aux enfers, il n'y a rien de noble dès le départ. Un monde malade. « Le plus impressionnant de tous les moyens de destruction est le feu. Il est visible de loin et attire les autres. Il détruit irrémédiablement. Après un incendie rien n’est plus ce qu’il était. La masse qui met le feu se croit invincible. Tout le monde se joindra à elle pendant que le feu gagne. Il anéantira tout ce qui est ennemi […] Une fois que tout est détruit, il lui faut comme à elle s’éteindre », comme il écrivait ailleurs.

(13 décembre)

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Étrange plongée psychotique d’une dystopie informatique millénariste. Dantec en fait trop, trop de chaos, trop de sang, trop de fascination morbide, mais arrive tout de même à saisir son lecteur et déployer son petit manuel de terreur. Ça a un peu trop vieilli, notamment dans son IA deleuzienne et ses considérations dystopiques, alors que son ouverture d’alternance psychose / rationnel marche très bien.

(11 décembre)

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Un court récit sur une décennie maudite, récit rare et précieux de combines, de combats, de braquages, de lectures, d’amitiés.

(6 décembre)

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Toujours les mêmes tropes, un tramway, des rêves à n'en plus finir, une révolution lointaine, des bolchéviques en guenilles.

(6 décembre)

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(5 décembre)

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Une magnifique force de faux-réalisme-magique.

(3 décembre)

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(1 décembre)

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(28 novembre)

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(28 novembre)

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L'ouverture Homère / Ancien Testament, toujours des pages à découvrir.

(27 novembre)

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Un peu trop flou, malgré une très belle promenade dans Paris au cœur du livre.

(26 novembre)

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(21 novembre)

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(20 novembre)

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La grande tradition romanesque au cœur du printemps arabe.

(17 novembre)

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(10 novembre)

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(29 octobre)

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(24 octobre)

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(20 octobre)

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Vivement Le principe espérance.

(19 octobre)

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(18 octobre)

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(13 octobre)

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(12 octobre)

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Le monde de la foi n’annonce que les premières lueurs de l’Apocalypse, et c’est dans l’Apocalypse même qu’il trouve son ultime mesure, le principe métapolitique, voire métareligieux, de toute révolution, l’irruption de cette liberté qui appartient aux enfants de Dieu.

(12 octobre)