Cinéphagie : Novembre 2024

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1/11

Même sans dialogues l'histoire est prenante, mais du coup dur d'avoir un peu de développement. Heureusement l’univers et les personnages sont réussis.

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2/11

Ultra académique, le scénario est confus et change d'ambiance sans trop de cohérence. Dommage parce que le pitch est bon mais c'est très peu subtil et Brad Renfro est vite énervant.

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3/11

Bien étrange film que ce Sweet Home, avec des passages drôles (volontairement ou non), des passages très chiants et des passages nanardesques. Les effets pratiques sont pas mal du tout par contre. Une curiosité.

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3/11

Impossible de deviner que c'est le même réal que le film précédent tant ça n'a rien à voir, ici on est plutôt sur du Seven / Memories of Muder mais en un poil plus expérimental.

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4/11

Chouette divertissement qui réunit quelques vieux briscards qui vont avoir un baroud d'honneur en mode gros hommage à Carpenter, synthés compris. Sans prétention, ça se déguste sans souci.

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5/11

Retour en forme pour Eastwood, après un Cry Macho assez mauvais. Hoult et le reste du cast sont impeccables, la réal est classique mais efficace. J'ai des réserves sur le scénario qui aurait pu être plus fouillé et un poil plus subtil.

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5/11

Bonne surprise, une comédie touchante sur la nostalgie et le passage à l'âge adulte.

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5/11

Immense nanar créé par l'esprit de l'inimitable Patrick Sébastien, qui nous offre en prime une prestation mémorable en biker psychologue au grand cœur mais aux méthodes légèrement discutables. Un grand moment de cinéma.

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6/11

La hype était immense, et comme souvent le résultat est en demie-teinte : oui c'est un grand film, mais avec quelques maladresses. L'acting et l'atmosphère sont parfaits, les effets spéciaux aussi, c'est au niveau du scénario que ça perd des points pour moi : très peu de subtilité, des persos peu utiles, des règles arbitraires qui ont très peu d'impact au final... En tout cas il y a une nette progression par rapport à Revenge, donc j'ai hâte de voir son prochain film.

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7/11

Un peu de syndrome Wikipedia mais la prestation de Kate Winslet suffit à rendre le tout prenant.

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8/11

J'avais vu ce film au cinéma avec le lycée et en jeunes couillons que nous étions (on venait de découvrir les nanars) on avait passé la séance à se foutre de la gueule du film gratuitement, sans chercher à le comprendre. Il faut dire aussi que ce n'était pas forcément un choix très pertinent de montrer un film lent et cryptique à des ados de 16 ans. On a certainement voulu nous montrer un autre genre de cinéma, pour élargir nos horizons mais nous n'avons pas du tout été réceptifs. Toujours est-il que j'ai revu ce film avec grand plaisir et qu'en fait c'est brillant et terrifiant. Je n'ai qu'une envie : voir plus de films de Kiyoshi Kurosawa pour pouvoir revoir celui-ci et encore plus l'apprécier.

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11/11

Extrêmement glauque et crade sans être trop explicite, Micahel Rooker est impressionnant.

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12/11

Pas grand intérêt si ce n'est l'esthétique déjà soignée, ça tourne en ridicule des sujets sérieux avec un humour très bancal.

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13/11

Certes, faire une suite 24 ans après n'a pas grand intérêt mais le fait est que j'ai passé un bon moment malgré le scénario pas très finaud. Le cast est très solide, à commencer par Paul Mescal qui aura, je l'espère, la carrière qu'il mérite.