Cinéphilie obsessionnelle — 2014

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(les "vrais" commentaires, plus construits, commencent doucement à la page 2)

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Variation sur le thème de Spartacus, mais passer après le film de Kubrick est un peu compliqué... même pour Corbucci, aussi auteur de "Romulus et Rémus".

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Déception en regard de sa réputation.

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[Cinéma]
Toujours le même talent pour filmer les enfants. Une description assez stéréotypée des deux familles un peu gênante.

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Du spaghetti comme je les aime... C'est saturé, c'est grotesque, c'est attendu, mais c'est jouissif.

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La subversion made in Franco. Pas stupide mais pas passionnant sur le moment...

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Pouarf.

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[Cinéma]
1h40 de pur plaisir, radical dans la mise en scène. Les dernières minutes sont clairement de trop, d'une lourdeur affligeante et qui gâchent la sobriété remarquable de l'ensemble.

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[Cinéma]
Un jeu d'acteurs d'une incontestable qualité, à grand renfort de perruques diverses et variées (mention spéciale à Christian Bale, métamorphosé), mais au service d'un film primaire par endroits, qui manque cruellement de finesse.

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C'te blague quand même IMDb...

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Un drame romantique propre et efficace.

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Thriller archi-classique.

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Une réputation un peu trop bonne, mais un objet d'époque très plaisant.

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Un sommet de ridicule. L'esprit BD n'excuse pas tout...

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[Cinéma]
Cet excès de pathos anéantit toute tentative d’attendrissement. Interesting, though.

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Étude de mœurs qui aurait méritée d'être plus poussée, mais Bruno Cremer reste convaincant.

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Tant de thèmes abordés, le tout dans une rigueur morale et technique impressionnante.

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[Cinéma]
Des décors naturels appréciables, pour un film incroyablement conventionnel.

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Une légende non-exempte de défaut, mais qui de par son genre peut se permettre une morale très singulière. Une ambiance et des trognes inoubliables.

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Un classique peut être moins subversif que d'autres Miike, mais assez efficace.

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Cassavetes, encore Cassavetes... Gena, encore Gena... On ne reste jamais indifférent.

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Un peu trop scolaire, même pour une reconstitution. Pour les aspects réalistes, autant se reporter sur "Le Trou" de Becker.

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Un poil déçu étant donnée sa réputation, mais c'est un cinéma qui me touche énormément.

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Une... surprise, ce n'est pas le Tsui Hark que je connaissais.

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Dans la droite ligne de l'épisode précédent, avec des combats mieux chorégraphiés dédiés à la 3D (too much). Tsui Hark a bien changé...

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Un nanar de très grande qualité. Les envolées pseudo-scientifiques sont à se tordre de rire... Second degré requis.

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Peut-être plus enfantin que la majorité des Miyazaki, mais le coup de crayon est très agréable. On se laisse facilement bercer.

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Une ambiance saisissante, des personnages inspirés, un réalisateur qui sait tenir une caméra... mais le manque de subtilité(s) qui parsème le film a gangréné mon plaisir et mon immersion.

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[Cinéma]
Rien de nouveau sur le fond, avec quelques passages hilarants (forcément, en 3 heures). Le final est glaçant. La scène dans le métro, unique intrusion dans la réalité des gens "normaux", semble irréelle.

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Le traumatisme japonais dépeint ici est très intéressant à analyser, dans le contexte que l'on connaît bien maintenant, 60 ans après.

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Il manque un petit quelque chose à cette histoire pour qu'elle s'envole vraiment... Le film n'est toutefois pas dénué d'intérêt, en dépeignant la Chine des années 1970, à l'époque de la "révolution culturelle".