Les meilleurs albums de William Sheller

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Le dépouillage des chansons de Sheller de tous instruments pop ou rock (voix exceptée), remplacés par une musique savante, alliant les références musicales pointues aux textes imagés, donne a cet album un mariage entre l'intellectuel et le sensitif extrêmement heureux. Un album d'une beauté insigne.

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Selon moi la période faste de Sheller commence avec cet album pour se fini avec Épures. Et quel album ! Sheller ose tout ici, en restant dans un univers de chansons. Mais simplement au piano, avec une formation rock ou un orchestre symphonique, il varie à foison, expérimente, sans jamais se planter, tout en restant abordable. L'intelligence de son écriture montre combien un compositeur accompli peut être libre et créatif.

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Entre rock psychédélique et musique sacrée, le compositeur montre déjà combien il est affranchi. C'est les Pink Floyd qui jouent avec Gabriel Fauré (dans l'idée). C'est une œuvre de jeunesse diablement maligne.

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Sûrement le pic de la première période pop/chanson de Sheller, chaque élément fait mouche à chaque instant.

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Sheller nous refait le coup du mélange chanson, rock et musique savante, mais cette fois empreint de bidouillages électro. C'est à tomber par terre.

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Avec juste un piano et une voix, c'est un album qui montre combien la mélancolie peut être sublime.

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En vrai, les sept premiers albums de cette liste sont selon moi géniaux. Albion voit Sheller s'aventurer dans le rock, le vrai de vrai, mais avec sa touche singulière. Un album pas si facile d'accès mais qui offre des joies étonnantes. À noter l'incroyable réinterprétation d'Excalibur.

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Une collection de superbes chansons, pur jus Sheller, rien à enlever.

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Son premier album de chansons est très intéressant, marqué par les Beatles, on y voit déjà combien il est un auteur-compositeur unique et libre.

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Un travail d'orfèvre aux chansons pop/rock.

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Il est difficile de classer les œuvres instrumentales de Sheller parmi ses albums de chansons. Disons quand même que son travail de compositeur néo-classique est admirable et qu'il a rassemblé ici des musiciens de qualité sous une direction impeccable. On est loin des folies transgressives de Lux Aeterna, mais ce n'est pas le but recherché, qui est plutôt de laisser se développer les couleurs de sa musique sans la cage dorée des mots à travers la structure éprouvée de la symphonie.

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Son seul album studio quatuor à corde/voix, alors que c'est un concept que Sheller a pas mal utilisé sur scène. Stylus a un esprit proche de celui d'Épures, mais un peu moins inspiré et moins à fleur de peau.

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Ça aurait pu être un très grand album si ça avait été plus qu'un mini-album (six titres seulement...). Reste une collection de chansons magiques.

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Compilation des compositions de Sheller pour quatuor à cordes, parfaitement interprétées par le Quatuor Parisii. Collection de bonbons très plaisants.

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Sheller n'est pas extrêmement bon dans les chansons humoristiques, reste les perles comme Une chanson qui te ressemblerait, Le Carnet à spirale ou C'est l'hiver demain.

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Magnifique bande originale instrumentale du film éponyme, l'écoute de l'album souffre un peu des différentes variations de thèmes qui peut rendre le tout légèrement redondant.

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Il y a des chansons formidables sur cet album comme À franchement parlé, À l'après-minuit ou Catherine, mais aussi l'irritante Elle dit soleil elle dit..., tout ça couvert par une production par trop variétoch.

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Première compilation de ses quatuors. C'est sympathique mais dispensable depuis l'édition des Quatuors Parisii qui contient les mêmes titres augmentés de nouveaux. Pour le plaisir d'une interprétation différente...

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Les séquences musicales sont trop courtes pour que Sheller puisse développer son univers.