Classiques vus en 2020

Annotation :

Que dire ? Scénario parfait, acteurs au sommet, intrigue précise. Huis-clos haletant.

Annotation :

La musique est incroyable. Le scénario simple mais efficace. Il y a même parfois de la chorégraphie, voire de la danse dans ce film. Un peu long mais savoureux.

Annotation :

Une version horriblement longue de 4 heures... Et c'est au bout de 3h45 que l'on commence à apercevoir un peu de profondeur chez les personnages. Jusque là, ils sont juste insignifiants et abjectes avec les femmes... La musique est super. Mais depuis quand une musique rattrape tout un film pas très clair en terme d'intrigue...

Annotation :

Film fascinant. Hypnotique.

Annotation :

"L'horreur, l'horreur", comme le dit le personnage de Marlon Brandon, puis ensuite, pour conclure le film, phrase répétée par le personnage de Martin Sheen. L'horreur de la guerre, insensée, comme celle d'avant, comme celle d'après. Comme toutes. Ces lumières autour du fleuve, cette folie communicative, enivrante.
Et malgré tout, cet œil qui brille chez Martin Sheen, comme pour rappeler qu'il est encore vivant.

Annotation :

Simple, clair, efficace. La réalité macabre de la résistance. Et cette drôle d'impression de voir tomber plus de résistants tués par les leurs que d'ennemis. C'est une autre vision de la guerre qui nous est donné. Certaines scènes sont très fortes et explique sans mot ce qu'est un cas de conscience.

Annotation :

Huis-clos parfait ! Les péripéties théâtrales sont bien réalisées. Dans la dernière demi-heure j'étais vraiment à fond devant mon écran ! Mention spéciale pour Grace Kelly, qui porte très bien son prénom.

Annotation :

Génial ce Parrain à la française, en version comique évidemment. Quels acteurs, quels dialogues ! Ça sent bon les années 60.

Annotation :

J'ai bien aimé le regard paumé de Jean Seberg, la folie de Belmondo et voir le Paris de 1960.

Annotation :

Pas du tout sensible au surréalisme. Ça m'a au contraire beaucoup ennuyé. Seule la réalisation m'a plu.

Annotation :

Expérience à multiples tiroirs. Quand Tarkovski questionne la foi, alors un bon milier d'interprétations sont possibles. Quoiqu'il en soit, c'est traité avec une finesse incroyable. L'imaginaire de Stalker, son univers fantastique, reste dans la tête.

Annotation :

Expérience cinématographique. Entre la folie occidentale de vouloir tout maîtriser, tout dominer et l'ultra violence des personnages thaïlandais, difficile de ne pas être choqué. Mais le choc est sans doute utile. Film épuré. Pas de mot, pas d'image en trop. Et si l'on préfère comprendre, alors il y a une foule d'hypothèses.

Annotation :

Ce que je retiens : la musique, rengaine plaisante ; les vêtements portés par les personnages, notamment ceux du personnage féminin ; la façon de filmer les corps, avec ces formes qui reviennent comme des rimes en poésie ; les coiffures, d'une grande élégance ; les décors, d'inspiration théâtrale ; la tension amoureuse, délicate mais forte.

Annotation :

Gilliam a créé un univers. On ne sait pas dans quel pays nous sommes, ni à quelle époque, mais on perçoit déjà assez bien le poids d'un état totalitaire, rempli d'absurdités. Sous ses airs de garantir un monde logique et ultra-codifié, finalement ce qu'il reste c'est la violence et le chaos. Gilliam arrive à le raconter sans prendre le spectateur par la main. Avec peu d'explications, on comprend finalement tout à la cruauté de ce monde.
Tout cela avec une forme onirique, un peu nébuleuse, mais assez belle aussi.

Annotation :

Plaisant film de science-fiction noire. Le scénario est simple, mais ça fonctionne quand même.

Annotation :

Mais alors j'ai pas du tout compris ou su ressentir le message et l'intérêt de ce film. J'ai vu un personnage principal malade et dangereux. Pour sa passion et favoriser ses choix de vie, il ne s'intéresse à personne, est clairement irrespectueux, est imbu de sa personne et se croit intouchable. Ce personnage est juste individualiste et égoïste, sans autres reliefs. Son mentor est monomaniaque. Ceci n'est pas condanable, mais ce qui plus dérangeant c'est la valorisation tout au long du film du harcèlement répété et dégueulasse qu'il inflige aux autres. C'est le grand problème de ce long-métrage : le film fait l'apologie de l'excellence et du sacrifice, mais dans une version dépourvu de recul et en valorisant sans cesse l'individualisme.

Annotation :

Une intense et cruelle allégorie de l'injustice.

Annotation :

Mais qu'est-ce que ce film est long. J'ai bien aimé les dix premières minutes et j'ai trouvé plaisant les moments les plus contemplatifs et oniriques, mais les trois quart du film m'ont beaucoup ennuyé.

Annotation :

Le concept est très bien trouvé. C'est aussi très drôle et assez original. Manque peut-être juste une femme avec un vrai rôle.

Annotation :

Film d'action plaisant. Quelques passages assez bien écrit. Notamment les discussions sans intérêt qui sont savoureuses. La policière enceinte, seul personnage sensé au milieu des autres vaut le coût. Les autres, stéréotypes de la brute, du mari grotesque, du riche patron, de la femme soumise (et j'en passe) restent à leur place de stéréotypes sans consistance...