comédies françaises nulles à chier

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ramassis de clichés enchainés les uns après les autres...

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tentative d'humour.

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gênant au possible, alors que le contexte socio-historique était prometteur.

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un grand malaise s'est fait sentir, tant les personnages et l'intrigue sont incohérents.

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Kad Merad en grand seigneur des gigolos, à voir de toute urgence.

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l'époque de jadis et de naguère où les enfants n'avaient pas de smartphone...

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tout un tas de poncifs homophobes et racistes, on dirait que ça a été écrit par un militant du PS...

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incohérent par rapport à la réalité, mais on apprécie l'intention.

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moins pire que son itération moderne, le jeu des acteurs est pas si terrible, mais ça reste globalement nul.

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film vraiment intenable, aucune drôlerie à se mettre sous la dent.

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ça manque d'explosions et de guillotines.

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ode à la maltraitance animale.

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je n'avais jamais regardé ce navet, et dieu sait qu'il a fait de nombreuses entrées. il faudra m'expliquer ce qui a autant plu dans cet enchainements de stéréotypes et de problématiques bourgeoises...

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encore plus désastreux que le précédent, le film se termine sur une morale assez douteuse prônant le racisme ordinaire comme condition sine qua non à la "diversité".

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ennui total. si les autres avaient encore la décence de me décrocher quelques sourires, voire presque un rire nerveux, celui-là m'a lessivé.

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adaptation consensuelle de la BD : ni surpris, ni mécontent. (mention spéciale à l'instit' qui apprend à séduire sa collègue de travail grâce à "La drague pour les nuls" offert par sa maman...)

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le scénariste a fait le scénario avec un doigt dans le cul ; le dialoguiste a fait les dialogues avec deux doigts dans le cul ; le réalisateur a fait la réalisation avec trois doigts dans le cul ; et le cadreur a fait le cadrage avec un POING dans le cul.

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un cringe incontrôlable se fait sentir en regardant ce navet - on sent que Rex a excessivement besoin de sexe (sans mauvais jeu de mot).

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des adultes en pleine crise d'adolescence...

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sans doute un des films les plus antisémites de 2023.

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"Le Gengis Khan des temps modernes" - bien que M. Balthazar pourrait également concourir à ce titre suggérant la conquête et la fécondation universelle.

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un des films de mon enfance et un trio comique qui reste efficace, du moins efficace à leur époque, puisque qu'aujourd'hui mieux vaut ne pas regarder ce que sont devenues leurs productions... sans parler des films où Didier Bourdon apparait qui frise toujours le racisme décomplexé, un peu comme le concerné dans ses prises de paroles médiatiques.

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le monde se porterait mieux sans ces escalades de conflits générés par des comportements virilistes déviants. un désastre névrotique qui aurait pu être empêché si Didier et Bernard s'étaient confiés sur ce qu'ils ressentent dans leur petit cœur meurti...

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un prétexte pour déclarer la guerre. de facture classique, mais ça passe toujours bien.

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archéologie vers les commencements du coaching en séduction. conseils à fuir comme la peste - il n'y a rien de bon à garder là-dedans.

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c'est nul, pas insultant du tout, juste nul...

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Josiane découvre Tinder en pleine crise de la quarantaine et trompe son mari abondamment jusqu'à qu'elle revienne vers lui ; et qu'on apprenne qu'il faisait la même chose de son côté depuis le début. critique subtile de la marchandisation de l'amour.... (non)

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une énième expédition au cœur de la distinction sociale - dédicace au mec qui a eu l'idée de traduire du Céline Dion en latin.