Concerts 2014

Annotation :

Vu à la Reitschule de Berne, une salle chaleureuse, façon chalet de montagne un peu qui a elle seule mérite qu'on s'y rende une fois.
Et A Silver Mt. Zion a très bien défendu son nouvel album que je découvrais avec ce concert. En tout cas en live il prend une belle dimension. Avec le fameux "What we Loved was not Enough" et cette phrase répétée en boucle qui raisonne encore toute la journée du lendemain "and the days come, when we no longer feel..."

Par contre les hippies échappées des films de Bollywood qui dansent comme des épileptique, c'est pas possible, j'ai passé mon temps à prendre des coups de cheveux.

Cela dit, ce fut un très bon moment. Ces canons de voix qui se superposent me mettent toujours sur le cul!

Annotation :

Vu au Bikini Test à la Chaux-de-Fonds.

Première fois que je vois David Eugene Edwards jouer debout. Le gars a déjà un sacré charisme quand il joue assis alors si on y ajoute ses 1m90 (je suppose, il est grand), ça fait son petit effet. C'est aussi la première fois que je le vois avec ses nouveaux musiciens.
Tous les morceaux qu'il a joué se situaient entre ses deux derniers albums (Long Horn et Refractory Obdurate donc), marquant bien le changement qui s'opère dans la musique de DEE, beaucoup plus incisive, plus lourde. Et en live ça rend bien! Il y a toujours une touche un peu mystique comme ça mais peut-être plus en retrait par rapport à ce qu'elle a pu être dans les premiers albums (enfin, encore que, j'trouve pas tant que ça niveau prestance scénique c'est toujours bien barré, le mec il est ailleurs, on se demande comment il tient debout parfois).

Si quelqu'un veut m'offrir un(e) banjola pour mon anniversaire, je suis son débiteur à vie.

J'ai été particulièrement touché par le morceau "Salomé". Dancing Girl; je sais pas pourquoi, mais ces mots me restent depuis.

Petit bémol, comme il a changé ses musiciens du tout au tout (même son batteur a été retenu au pays pour des raisons perso), il y a moins de liberté de réinterprétation contrairement à ce qu'il faisait avant en live où on n'avait jamais l’impression de réentendre les mêmes morceaux. C'est dommage (mais ça n'enlève rien à la qualité de ses morceaux et de son interprétation).

J'aime toujours pas les gens qui décident de se mettre dans mon périmètre pour danser. Et je ne comprend pas pourquoi chaque fois que je décide d'aller en concert, les gens décident de tous être plus grand que la moyenne (et accessoirement de se tenir toujours en mur dressé juste devant mes yeux).

C'était très bien.

Annotation :

Que dire? C'était beau. Quand il chante il a une voix... Une puissance... Et en même temps c'est doux. Et ces images qui défilent, mais qu'est-ce que c'est beau. Je suis désolé j'ai vraiment pas beaucoup de choses à en dire, c'est beau, y a probablement eu des moments où j'ai eu des larmes, je me souviens pas bien mais j'ai été ému, sans rien comprendre aux paroles mais il n'y a pas besoin de ça.
Cette impression d'être happé dans quelque chose, par moments j'avais l'impression de perdre pied, heureusement on était assis.
Ce qui me permet de rappeler que la salle du Bourg à Lausanne est vraiment très chouette, allez-y.
Il y a des instants qui font fortement penser à du krautrock aussi dans le concert, mais parlons d'electro pour ne brusquer personne, au premier abord c'est vrai que ça surprend mais j'ai beaucoup apprécié aussi.

C'était beau.

Annotation :

Cf ma critique. J'dois être honnête, j'y suis allé en sachant que j'aimerais pas, mais d'un autre côté j'ai jamais eu la chance de voir Pascal Humbert avec Wovenhand donc c'était quand même une occasion de le voir.

Cette scène du Paléo n'a jamais eu autant de public, c'était impressionnant. Mais bon... J'aime pas, désolé, pensez bien que je regrette mais vraiment, c'est insupportable.

Mais ces lignes de basse <3

Et les gens qui débattent tous avec le vent, c'était drôle.

Annotation :

Concert d'ouverture du Paléo. Pop, lo-fi, folk, neo-folk même un peu, c'était pas trop jusqu'au boutiste parce qu'il faut que ça passe bien dans un festival populaire mais c'était un bon concert quand même. Peu de monde mais on s'en fiche.
Ils chantent en Suisse-Allemand, c'est plutôt rare, et ça rend très bien.
Pas grand chose à en dire malgré tout, mais j'ai bien aimé sans que ce soit transcendant.

Annotation :

Bon j'suis pas resté longtemps mais c'était drôle. La plupart des gens étaient là dans l'espoir d'entendre une chanson du roi lion.
Une fille à peine majeur probablement à un moment se retourne pour me dire "on se fait chier hein?"
J'ai bien ris.

Annotation :

Alors pour commencer il est drôle. J'aime bien Florent Marchet et son côté complètement à l'ouest. Musicalement c'était sympa comme tout, en concert ça rend très bien. Puis ses présentations de morceaux sont drôles, il fait des reprises de Plastic Bertrand et que ça sonne pas dégueulasse et tout et tout.
Un bon moment.

Annotation :

Il a rien inventé mais c'était pas ennuyant non plus.

Annotation :

J'ai peu de souvenirs de ce concert mais je crois que j'en suis sorti avec un sentiment positif. De ce que je me rappelle il est assez drôle et gentil. Musicalement un peu maladroit parfois j'ai trouvé, les montées en puissance ne sont pas très assumées sur certains morceaux.

Annotation :

Ah qu'est-ce que c'était chouette. On a bien rit. Et la chorale du bonheur <3

Bon c'est de la musique rigolote, faut prendre ça pour ce que c'est, mais c'est pêchu. Pis bon, elle fait du punk-rock avec un banjo.

P'TET' QUE DEMAIN ÇA IRA MIEUX MAIS AUJOURD'HUI MA VIE C'EST D'LA MAAAAAARDE!

Annotation :

Que dire?
La miss qui jouait des coudes en mode "thug life, j'ai la gueule truffée de plombs et j'ai des écarteurs qui déchireraient ton anus dans mes oreilles alors ziva fais moi d'la place" c'était drôle.

J'serais pas capable de dire quel morceau est passé ce soir là. Mais le pit c'était un peu fou-fou. Bon gentiment hein, c'est le paléo, faut pas oublier que les gens qui sont là sont usuellement banquier dans la vie et qu'ils jouent les hippies une semaine. Et le reste c'est des lycéens qui sont là pour voir Tryo.

Annotation :

Je pense que c'est un des points culminants du paléo de cette année pour moi. Ce type fabrique des guitares avec n'importe quoi (jantes de voiture, manche à ballet, truc pour faire la lessive etc), c'est drôle et attachant. Ses petits enfants doivent l'adorer.

Annotation :

Ben je suis pas franchement convaincu. C'est un peu une grosse machine, tout est calculé et tout, bien sûr les morceaux sont ce qu'ils sont, c'est percutant, mais j'ai pas trouvé que le live apportait quoique ce soit en plus.
Et bon les festivals c'est agaçant pour ça parce que tout le monde est là pour entendre une chanson unique. Donc passé Lonely Boy où le public se réveille, "parce qu'on peut danser comme le black là, c'est rigolo, c'est décomplexé, c'est la banania attitude", bah y se passe pas grand chose.

Annotation :

Qu'est-ce que c'était drôle! Jared Letho ressemblait à Sebastien Tellier ambassadeur de la paix, il dansait avec un drapeau Suisse sur scène, il faisait monter des enfants, il faisait des câlins aux gens.
Ses musiciens n'étaient pas éclairés du tout. Ils étaient trois sur scène mais le son sortait comme s'ils étaient toute une armada.

J'ai bien ris.

Annotation :

Le son était abominable, on entendait rien, je sais pas trop ce qu'il s'est passé ce soir là mais plein de monde a quitté le concert assez vite, ce qui a permis de se rapprocher de la scène. Là on entendait mieux et il avait des pogos de jeunes coq, ça rappelait l'adolescence, c'était bien.

Annotation :

Je suis pas forcément très connaisseur, ni très amateur mais ce concert était intimiste, boueux et en définitive il y avait quelque chose d'attendrissant à être là et l'écouter raconter ses histoires et voir plein de gens d'autres générations émus.