Court métrage

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a revoir.

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a revoir mais le souvenir est intense.

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C'est une idée plutôt intéressante, m'enfin ça casse pas des briques non plus. C'est beaucoup trop court pour développer quoi que ce soit.

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Plutôt marrant, le style de dessin est assez intéressant. Il s'agit d'une suite de mini-scènes intenses, une idée très simple qui implique du sexe ou de la violence (duh), les deux plus gros moteurs de l'avancement humain...

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Pas grand grand chose à se mettre sous la dent, surréaliste et pas engageant.

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Une illustration de l'holocauste sans doute. J'ai trouvé ça beau, étrangement touchant, et pas mal glauque et angoissant. On est bien évidemment dans une représentation des camps nazis, fugitivement et abstraitement. Je pense que la sorte de malaise qui s'installe rapidement vient de ce point là.

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Une collection d'object coquins. Particulier en effet, mais rien à se mettre sous la dent ; les objets sont présentés les uns à la suite des autres, d'une façon documentaire stérile. Au delà de l'aspect vaguement amusant des objets en eux-même, c'est le vide.

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♫ Plastic and glaaaaaass ♫

La complainte des éboueurs. Á part ça rien d'intéressant à en tirer.

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Marrant, l'idée est sympa. Ça pourrait pas fonctionner plus longtemps que 5 minutes.

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a revoir, peu de souvenir mais c'était bien

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Processus très intéressant et surprenant pour 1933! Illustration fantastique de la nuit sur le mont Chauve. Ce cout métrage est réalisé en pinscreen, une technique inventé par Alexeieff et Parker à l'époque. Cette technique consiste à projeter des ombres sur un écran à l'aide d'un tableau d'épines rétractables ; ces épines peuvent créer des formes complexes comme on peut le constater dans le film. C'est étrangement angoissant et la semi-pagaille permanente à l'image renforce ce sentiment.

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Une adaptation de la nouvelle de Gogol, là aussi en pinscreen. Quasiment 3 décennies séparent les deux œuvres, on peut constater que la qualité s'est grandement amélioré (les appareils de capture également, ce qui doit beaucoup jouer sur la qualité de l'image).

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L'idée est assez folle et fonctionne magnifiquement. Ça certainement à revoir une fois que j'aurai lu et approfondi le texte.

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Absolument sublime. La beauté du trait de Dali, le génie de l'animation de Disney. Envoutant et magique.

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Vu totalement au hasard sur une page Wikipedia. Difficile de juger évidemment vu l'année, mais si je fais une rapide comparaisons avec ce que Méliès faisait exactement à la même époque, c'est assez vide. C'est uniquement intéressant parce que c'est la première tentative d'adaptation du livre au cinéma.

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Porno staniste, peut-être à vertu documentaire, m'enfin j'ai du mal à voir l'intérêt.

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Tatatatatatatatatatatatatatatatatatatatatatatatatata

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C'est fou à quel point ce type est taré. La catastrophe évitée de justesse n'enlève rien à la folie d'Herzog et son équipe, qui brave la nature au péril de leur propre vies.

Les 3 mecs interviewés qui attendent la mort, quel passage remarquable. Presque comme une image d'Épinal, ils attendent la mort, Dieu en a décidé ainsi.

Et cette ville déserte, les chiens et les cochons sur la route. Y'a quelque chose de profondément marquant dans la démarche d'Herzog, qui au péril de sa vie part filmer les forces de la nature au plus proche, soulignant la soumission de l'Homme à ces forces, qui a tendance à oublier trop souvent sa fragilité face aux cataclysmes qui plantent au dessus de sa tête.

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Il y a quelque chose de proprement fascinant dans ces images, je pense que c'est l'élégance étrange de la preuve, sa manière de se mouvoir. Painlevé pose sa caméra et laisse la pieuvre se lover dans les interstices de son aquarium. Il y a là dedans quelque chose d'étrangement beau et poétique, c'est vraiment vraiment bizarre.

Je recommande très très fortement (puisque c'est un muet), la pièce The Atomium de Stars of the Lid (tiré de l'album Avec Laudenum) pendant le visionnage, l'expérience s'en retrouve magnifié.

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Moins fascinant que la pieuvre parce que plus statique, et plus scientifique aussi dans son approche et sa manière de filmer l'animal. Y'a des petits dessins des plans au "microciné" pour qu'on comprenne bien...

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Formellement, c'est un foto film sans vrai intérêt cinematographique. Cependant, voir cet homme, l'un des plus grands penseurs de l'histoire moderne dans cet état, ça fait quelque chose...

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Revu.

C'est tellement mignon, inventif, drôle!

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Toute l'esthétique et l'imagerie Burtonnienne est déjà là, les thèmes de l'enfance et de l'imagination aussi. Quasiment une synthèse de son travail en somme.

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Toute la poésie et l'esthétisme de l'univers Disney réuni en quelques minutes. L'animation, les couleurs et évidemment la nostalgie jouent gravement à l'appréciation de l'œuvre.

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Je pourrais copier/coller le commentaire de "La Pieuvre". Tous ces petits docus se ressemblent beaucoup, y'a pas grand chose de particulier à dire dessus individuellement.

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Un peu la même chose que pour "Les Oursins" : trop scientifique dans l'approche pour vraiment me plaire, on perd la magie naive des images dansantes avec les petits commentaires marrants de Painlevé.

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Vague exploration de l'image et des formes, sans réelle cohésion. Difficile de conserver un intérêt soutenu, mais vu la longueur on peut faire l'effort de rester concentrer 3 minutes. L'idée des plans finaux est très joli.